Collection Jazz Reference
14 références Dreyfus Jazz
Sortie le 19 octobre 2018
Label : BMG
Pour célébrer le naissance du 3eme millénaire, Francis Dreyfus lançait en 2000 la collection « Jazz Reference », un incroyable catalogue regroupant les plus grands noms du jazz proposé dans une qualité de son jamais égalée depuis. Le résultat d’un travail de plusieurs années avec son acolyte René Ameline et les collaborations de Claude Carrière, Noël Hervé et Daniel Nevers, une équipe de passionnés. Ils accouchèrent de ce qui reste, presque 20 ans après, la référence. Pour faire découvrir à une nouvelle génération les trésors de cette collection (et les faire redécouvrir aux plus avertis), BMG a décidé de lui redonner toute la place qu’elle mérite. C’est donc une première sélection de 14 disques réédités sous le label DREYFUS JAZZ, dans un nouveau packaging et pour la première fois en Vinyle, qui arrive dans les bacs au mois d’octobre.
Pour célébrer le naissance du 3eme millénaire, Francis Dreyfus lançait en 2000 la collection « Jazz Reference », un incroyable catalogue regroupant les plus grands noms du jazz proposé dans une qualité de son jamais égalée depuis. Le résultat d’un travail de plusieurs années avec son acolyte René Ameline et les collaborations de Claude Carrière, Noël Hervé et Daniel Nevers, une équipe de passionnés. Ils accouchèrent de ce qui reste, presque 20 ans après, la référence. Pour faire découvrir à une nouvelle génération les trésors de cette collection (et les faire redécouvrir aux plus avertis), BMG a décidé de lui redonner toute la place qu’elle mérite. C’est donc une première sélection de 14 disques réédités sous le label DREYFUS JAZZ, dans un nouveau packaging et pour la première fois en Vinyle, qui arrive dans les bacs au mois d’octobre.
Mais qui de mieux placé que le principal initiateur de ce projet pour en parler ? Voici ce que disait Francis Dreyfus lui-même à la sortie de sa collection :
Depuis ma plus tendre enfance, je suis un fou de jazz. C’est pour transmettre cette passion toujours neuve que j’ai décidé de créer Dreyfus Jazz.
Pour faire découvrir « autrement » les chefs-d’œuvre de cette langue incorrigiblement vivante, j’ai lancé une collection des plus remarquables plages enregistrées avant 1960 (en 78 tours et en mono) par ses plus grands et irréfutables créateurs : d’Armstrong à Parker, de Duke à Count Basie, de Django à Dizzy Gillespie, sans oublier ces « génies » moins médiatisés mais pourtant essentiels que sont Charlie Christian, Nat King Cole, Woody Herman et Don Byas.
Pourquoi ai-je donc imaginé cette anthologie ?
Pour tous ceux qui aiment déjà le jazz et qui auront un immense plaisir à le redécouvrir grâce à une qualité sonore inespérée et inégalée. Mais aussi, pour ceux, et surtout les jeunes, qui ne savent pas encore qu’ils vont aimer cette musique qui a incendié de sa violence créatrice et de son swing jubilatoire tout le XXème siècle.
Il me fallait d’abord réussir un pari presque impossible : « franchir le mur du son », pour offrir des conditions nouvelles et optimales d’écoute des sublimes cires d’antan. Comme si elles avaient été enregistrées hier. Grâce à la magie de la technologie informatique, et aux recherches obstinées d’un ingénieur du son d’exception, René Ameline, il a été possible, avec infiniment de passion et patience, en partant des meilleures sources (les meilleurs titres et les meilleurs documents, pas de « second takes » ou de faux départs) de donner une nouvelle jeunesse à la voix d’Ella et Billie, d’offrir une fraîcheur inouïe aux géniales improvisations de Louis Armstrong ou Charlie Parker.
Mon idée était de partir du signal originel, d’élargir et de valoriser tout le spectre sonore jusqu’alors inaudible et muet, pour faire (re)découvrir le meilleur du jazz classique et be-bop. Il a fallu « dénoiser » chaque titre choisi, c’est-à-dire nettoyer chaque plage de tout scratch inutile et de tout clic agaçant, tout en veillant à ne pas trop gommer le souffle originel. Afin de jouer vraiment sur la spatialisation du son. Afin de proposer une qualité jusqu’à maintenant inconnue, une richesse de relief et une profondeur sonore jamais encore réalisées à partir de documents tirés de 78 tours de collection.
Le résultat est vraiment spectaculaire !
Cette collection est vraiment unique : par la volonté de perfectionnisme passionné qui a animé sa conception comme son enfantement ; par le concours d’une équipe de « spécialistes » amoureux du jazz dans toutes ses dimensions, Claude Carrière, Noël Hervé et Daniel Nevers.
Pour vraiment définir l’esprit de cette aventure qui a exigé près de deux années de travail, je ne peux mieux faire que citer Claude Debussy : « Enfin de la musique sauvage avec tout le confort moderne. »
Francis Dreyfus
Mais qui de mieux placé que le principal initiateur de ce projet pour en parler ? Voici ce que disait Francis Dreyfus lui-même à la sortie de sa collection :
Depuis ma plus tendre enfance, je suis un fou de jazz. C’est pour transmettre cette passion toujours neuve que j’ai décidé de créer Dreyfus Jazz.
Pour faire découvrir « autrement » les chefs-d’œuvre de cette langue incorrigiblement vivante, j’ai lancé une collection des plus remarquables plages enregistrées avant 1960 (en 78 tours et en mono) par ses plus grands et irréfutables créateurs : d’Armstrong à Parker, de Duke à Count Basie, de Django à Dizzy Gillespie, sans oublier ces « génies » moins médiatisés mais pourtant essentiels que sont Charlie Christian, Nat King Cole, Woody Herman et Don Byas.
Pourquoi ai-je donc imaginé cette anthologie ?
Pour tous ceux qui aiment déjà le jazz et qui auront un immense plaisir à le redécouvrir grâce à une qualité sonore inespérée et inégalée. Mais aussi, pour ceux, et surtout les jeunes, qui ne savent pas encore qu’ils vont aimer cette musique qui a incendié de sa violence créatrice et de son swing jubilatoire tout le XXème siècle.
Il me fallait d’abord réussir un pari presque impossible : « franchir le mur du son », pour offrir des conditions nouvelles et optimales d’écoute des sublimes cires d’antan. Comme si elles avaient été enregistrées hier. Grâce à la magie de la technologie informatique, et aux recherches obstinées d’un ingénieur du son d’exception, René Ameline, il a été possible, avec infiniment de passion et patience, en partant des meilleures sources (les meilleurs titres et les meilleurs documents, pas de « second takes » ou de faux départs) de donner une nouvelle jeunesse à la voix d’Ella et Billie, d’offrir une fraîcheur inouïe aux géniales improvisations de Louis Armstrong ou Charlie Parker.
Mon idée était de partir du signal originel, d’élargir et de valoriser tout le spectre sonore jusqu’alors inaudible et muet, pour faire (re)découvrir le meilleur du jazz classique et be-bop. Il a fallu « dénoiser » chaque titre choisi, c’est-à-dire nettoyer chaque plage de tout scratch inutile et de tout clic agaçant, tout en veillant à ne pas trop gommer le souffle originel. Afin de jouer vraiment sur la spatialisation du son. Afin de proposer une qualité jusqu’à maintenant inconnue, une richesse de relief et une profondeur sonore jamais encore réalisées à partir de documents tirés de 78 tours de collection.
Le résultat est vraiment spectaculaire !
Cette collection est vraiment unique : par la volonté de perfectionnisme passionné qui a animé sa conception comme son enfantement ; par le concours d’une équipe de « spécialistes » amoureux du jazz dans toutes ses dimensions, Claude Carrière, Noël Hervé et Daniel Nevers.
Pour vraiment définir l’esprit de cette aventure qui a exigé près de deux années de travail, je ne peux mieux faire que citer Claude Debussy : « Enfin de la musique sauvage avec tout le confort moderne. »
Francis Dreyfus