Talila
Le Temps des Bonheurs
Sortie le 6 Novembre 2012
Label : Naïve
« C’est cela la musique Yiddish : un art du mélange des genres, de la rumba lente à la complainte des rues, en passant par le swing des comédies musicales américaines ».
Chanteuse, comédienne, écrivaine et conteuse, Talila nous propose « Le temps des bonheurs », son nouvel album.
Chanteuse, comédienne, écrivaine et conteuse, Talila nous propose « Le temps des bonheurs », son nouvel album.
« C’est cela la musique Yiddish : un art du mélange des genres, de la rumba lente à la complainte des rues, en passant par le swing des comédies musicales américaines ».
Chanteuse, comédienne, écrivaine et conteuse, Talila nous propose « Le temps des bonheurs », son nouvel album.
Talila chante, en yiddish, et explore ce répertoire depuis de longues années. Elle raconte aussi, au gré des spectacles, le monde ashkénaze parisien dont elle est issue et dont les héros ressemblent à ses parents tailleurs (cf Notre langue d’intérieur, Naïve).
Après « Mon yiddish blues » (Naïve) elle revient avec un nouvel album, « Le temps des bonheurs », qui ouvre sur de nouvelles perspectives musicales. Teddy Lasry en est toujours l’arrangeur et a voulu inviter des grands noms du jazz : André Ceccarelli, Christophe Wallemme, la guitare électrique de Denys Lable pour colorer et vivifier ces mélodies qui traversent le temps.
« Je suis la voix d’un monde englouti
Après moi le déluge et l’oubli
Mon chant donne à des millions de vies
Un sursis »
Mais « Le temps des bonheurs » c’est aussi la chanson qui ouvre l’album, écrite par Jean Rouaud (Prix Goncourt 1990) et célébrée en français par Talila, langue désormais pleinement assumée dans son chant. Une chanson qui annonce la couleur pourrait-on dire, à la fois tournée vers un passé révolu et douloureux, mais ouverte à tous les possibles d’un présent terriblement vivant, comme un résumé de cet album. Jean Rouaud signe aussi « La vieille dame de la rue de Siam ».
Talila chant
Teddy Lasry piano, clarinettes, saxophone, accordéon
Pierre Mortarelli contrebasse (4, 6, 7, 9, 11)
Christophe Wallemme contrebasse (2, 3, 5, 10, 12, 13, 14)
André Ceccarelli batterie (2, 3, 5, 10, 12, 13, 14)
Marc Pujol percussions Denys Lable guitare électrique
Slim Pezin banjo Daniel Zimmermann trombone
Michel Derouin cornet, bugle Olivier Manoury bandonéon
Chanteuse, comédienne, écrivaine et conteuse, Talila nous propose « Le temps des bonheurs », son nouvel album.
Talila chante, en yiddish, et explore ce répertoire depuis de longues années. Elle raconte aussi, au gré des spectacles, le monde ashkénaze parisien dont elle est issue et dont les héros ressemblent à ses parents tailleurs (cf Notre langue d’intérieur, Naïve).
Après « Mon yiddish blues » (Naïve) elle revient avec un nouvel album, « Le temps des bonheurs », qui ouvre sur de nouvelles perspectives musicales. Teddy Lasry en est toujours l’arrangeur et a voulu inviter des grands noms du jazz : André Ceccarelli, Christophe Wallemme, la guitare électrique de Denys Lable pour colorer et vivifier ces mélodies qui traversent le temps.
« Je suis la voix d’un monde englouti
Après moi le déluge et l’oubli
Mon chant donne à des millions de vies
Un sursis »
Mais « Le temps des bonheurs » c’est aussi la chanson qui ouvre l’album, écrite par Jean Rouaud (Prix Goncourt 1990) et célébrée en français par Talila, langue désormais pleinement assumée dans son chant. Une chanson qui annonce la couleur pourrait-on dire, à la fois tournée vers un passé révolu et douloureux, mais ouverte à tous les possibles d’un présent terriblement vivant, comme un résumé de cet album. Jean Rouaud signe aussi « La vieille dame de la rue de Siam ».
Talila chant
Teddy Lasry piano, clarinettes, saxophone, accordéon
Pierre Mortarelli contrebasse (4, 6, 7, 9, 11)
Christophe Wallemme contrebasse (2, 3, 5, 10, 12, 13, 14)
André Ceccarelli batterie (2, 3, 5, 10, 12, 13, 14)
Marc Pujol percussions Denys Lable guitare électrique
Slim Pezin banjo Daniel Zimmermann trombone
Michel Derouin cornet, bugle Olivier Manoury bandonéon