Project Gemini
Colours & Light
Sortie le 5 avril 2024
Label: Mr Bongo
– Un album majestueux, réunissant les mondes du folk rock, des bandes sonores psychédéliques et du funk cinématographique brumeux.
– La suite du premier album de 2022, The Children Of Scorpio, acclamé par la critique.
– Variante spéciale en vinyle magenta avec OBI Strip disponible.
– La suite du premier album de 2022, The Children Of Scorpio, acclamé par la critique.
– Variante spéciale en vinyle magenta avec OBI Strip disponible.
Si The Children Of Scorpio (2022) a été le premier album qui a fait découvrir l'univers de Project Gemini aka Paul Osborne, Colours & Light est l'œuvre qui restera profondément enfouie dans les cœurs. C'est un album majestueux, qui réunit les mondes du folk rock, des bandes sonores psychédéliques et du funk cinématographique brumeux.
Une confiance et une aisance croissantes émanent de l'écriture et de la production de ce deuxième album, renforcées par l'accueil réservé à son remarquable premier album. "C'est un album plus étoffé et plus diversifié", explique Paul, "avec un son plus ouvert et plus global, né des disques que j'écoutais et des musiciens avec lesquels j'ai eu la chance de collaborer". L'album est à la fois détendu et sûr de lui, avec un kaléidoscope de sons qui s'entremêlent de manière hypnotique.
Le thème de l'album s'est développé naturellement à travers les paroles que Paul a commencé à écrire. Un processus créatif, à la fois perturbé et alimenté par l'insomnie, nourri par les relations, entremêlé d'émotions, de nuits passées dehors, de nuits passées dedans et des séquelles sur la condition humaine. Des thèmes qui peuvent être abordés, mais qui sont vus à travers le prisme d'un paysage sonore qui englobe de nombreuses cultures et scènes différentes. De l'acid folk au psych-funk, des éléments francophiles aux inspirations anatoliennes et orientales, tout s'imbrique et tourne comme un seul homme.
S'inspirant de ceux qu'il admire, Colours & Light rayonne de collaborations. La chanson-titre, qui fait référence à une version télévisée en direct de 1973 de "Wedding Dress" de Pentangle, fait appel à la guitare folk-rock de Jack Sharp de Wolf People/Large Plants.
Ailleurs, deux titres sont bénis par les voix françaises sulfureuses et enfumées de Wendy Martinez de Gloria, "Extra Nuit" et "Entre chien et loup". Le premier fait écho à l'amour de Paul pour la psychopop française classique de la fin des années 60 et du début des années 70 et pour des artistes tels que Laurance Vanay, Calcium, Leonie et Serge Gainsbourg. La voix sublime de Martinez se fond parfaitement dans les productions psych-folk-funk de Paul, tandis que son partenaire Gloria, Alexis Morel (aka Kid Victrola), ajoute une dose de magie aux lignes de guitare.
La liste des collaborations s'allonge encore avec Raz et Markey Funk, le batteur Tony Coote et le percussionniste Paul Elliott. Le collaborateur régulier et icône de l'underground Barrie Cadogan (Little Barrie) revient avec Bert Page du Cromagnon Band, qui à eux deux fournissent un hit de guitare country détraquée et fuzzée et de folie Moog respectivement sur 'Lost In The Woods (Bacchanal)'.
Pour terminer l'album, la fille de Paul, Olivia Osborne, fournit l'intro au clavier sur l'avant-dernier morceau "Twilight". Dorian Conway de The Soundcarriers (dont le membre du groupe Paul Isherwood est de retour au mixage) superpose ensuite des parties de flûte lourde en écho pour capturer comme par magie les images psychédéliques du lever de soleil qui nous viennent à l'esprit.
En équilibrant l'ombre et la lumière sur ce disque, il y a de la beauté et de la tension, le tout enveloppé dans le talent de conteur vif et viscéral de Paul.
Une confiance et une aisance croissantes émanent de l'écriture et de la production de ce deuxième album, renforcées par l'accueil réservé à son remarquable premier album. "C'est un album plus étoffé et plus diversifié", explique Paul, "avec un son plus ouvert et plus global, né des disques que j'écoutais et des musiciens avec lesquels j'ai eu la chance de collaborer". L'album est à la fois détendu et sûr de lui, avec un kaléidoscope de sons qui s'entremêlent de manière hypnotique.
Le thème de l'album s'est développé naturellement à travers les paroles que Paul a commencé à écrire. Un processus créatif, à la fois perturbé et alimenté par l'insomnie, nourri par les relations, entremêlé d'émotions, de nuits passées dehors, de nuits passées dedans et des séquelles sur la condition humaine. Des thèmes qui peuvent être abordés, mais qui sont vus à travers le prisme d'un paysage sonore qui englobe de nombreuses cultures et scènes différentes. De l'acid folk au psych-funk, des éléments francophiles aux inspirations anatoliennes et orientales, tout s'imbrique et tourne comme un seul homme.
S'inspirant de ceux qu'il admire, Colours & Light rayonne de collaborations. La chanson-titre, qui fait référence à une version télévisée en direct de 1973 de "Wedding Dress" de Pentangle, fait appel à la guitare folk-rock de Jack Sharp de Wolf People/Large Plants.
Ailleurs, deux titres sont bénis par les voix françaises sulfureuses et enfumées de Wendy Martinez de Gloria, "Extra Nuit" et "Entre chien et loup". Le premier fait écho à l'amour de Paul pour la psychopop française classique de la fin des années 60 et du début des années 70 et pour des artistes tels que Laurance Vanay, Calcium, Leonie et Serge Gainsbourg. La voix sublime de Martinez se fond parfaitement dans les productions psych-folk-funk de Paul, tandis que son partenaire Gloria, Alexis Morel (aka Kid Victrola), ajoute une dose de magie aux lignes de guitare.
La liste des collaborations s'allonge encore avec Raz et Markey Funk, le batteur Tony Coote et le percussionniste Paul Elliott. Le collaborateur régulier et icône de l'underground Barrie Cadogan (Little Barrie) revient avec Bert Page du Cromagnon Band, qui à eux deux fournissent un hit de guitare country détraquée et fuzzée et de folie Moog respectivement sur 'Lost In The Woods (Bacchanal)'.
Pour terminer l'album, la fille de Paul, Olivia Osborne, fournit l'intro au clavier sur l'avant-dernier morceau "Twilight". Dorian Conway de The Soundcarriers (dont le membre du groupe Paul Isherwood est de retour au mixage) superpose ensuite des parties de flûte lourde en écho pour capturer comme par magie les images psychédéliques du lever de soleil qui nous viennent à l'esprit.
En équilibrant l'ombre et la lumière sur ce disque, il y a de la beauté et de la tension, le tout enveloppé dans le talent de conteur vif et viscéral de Paul.