Natacha Atlas
Strange Days
Sortie le 20 septembre 2019
Label : Whirlwind Recordings
Il se passe quelque chose d’extraordinaire lorsque les cultures et les genres musicaux fusionnent pour créer de nouvelles ambiances. Ce couple doublement anglo-égyptien entre la chanteuse Natacha Atlas et le violoniste Samy Bishai en est la thèse, l’antithèse et surtout la synthèse à lui tout seul.
Il se passe quelque chose d’extraordinaire lorsque les cultures et les genres musicaux fusionnent pour créer de nouvelles ambiances. Ce couple doublement anglo-égyptien entre la chanteuse Natacha Atlas et le violoniste Samy Bishai en est la thèse, l’antithèse et surtout la synthèse à lui tout seul.
« Il y a quelques années, se rappelle Natacha, j’ai entamé un étroite collaboration avec Samy, en tant que directeur musical et partenaire de composition. Son sens du jazz, de l’imrovisation et sa formation classique ont transformé mon univers arabo-électro-acoustique d’une manière que je ne n’aurais pu imaginer." Le lien est naturel - chacun né d’un père égyptien et d’une mère britannique - cependant leur éducation respective leur a donné des expériences différentes des cultures orientale et occidentale. Mais tous deux étaient attirés par l’idée de combiner les gammes et les textures arabes avec les changements et le langage harmonique du jazz. "La musique arabe a des parallèles avec la musique classique indienne et persane, par exemple ", explique Samy Bishai. "Mais, aussi différent que cela puisse paraître, il y a des points axiomatiques étonnamment similaires, notamment l’improvisation ; et bien que des caractéristiques comme les quarts de tons ne fassent pas partie de l’harmonie occidentale, la flexibilité du jazz permet une intégration étonnante."
Pour mener à bien cette « suite » de Myriad Road, produit en 2015 par Ibrahim Maalouf, le duo s’est adjugé une équipe de Premiere League. Au cœur de celle-ci, la pianiste Alcyona Mick, le bassiste Andy Hamill, les batteurs Laurie Lowe et Asaf Sirkis, le trompettiste Hayden Powell et le tromboniste Robinson Khoury. Outre les cordes et les percussions d’Oli Savill, qui sont au cœur de cette fusion unique et équilibrée de jazz et de musique arabe, on retrouve des invités tels que Idris Rahman, le guitariste Paulo Vinícius, Joss Stone, Tanya Wells et Sofiane Saidi.
"Strange Days est l’aboutissement de ce que je veux exprimer à travers la musique - mon hybridité et ma dualité entre le Moyen-Orient et l’Europe, dans toutes ses facettes", affirme Natacha Atlas. "Nous avons la chance d’avoir ces musiciens qui combinent tout ce qu’on aime du jazz et de la musique arabe."
Tantôt lancinant, tantôt grave, parfois groove, souvent jazz, Strange Days est la digne suite de Myriad Road paru il y a quatre ans et qui signait le retour fracassant de Natacha Atlas.
« Il y a quelques années, se rappelle Natacha, j’ai entamé un étroite collaboration avec Samy, en tant que directeur musical et partenaire de composition. Son sens du jazz, de l’imrovisation et sa formation classique ont transformé mon univers arabo-électro-acoustique d’une manière que je ne n’aurais pu imaginer." Le lien est naturel - chacun né d’un père égyptien et d’une mère britannique - cependant leur éducation respective leur a donné des expériences différentes des cultures orientale et occidentale. Mais tous deux étaient attirés par l’idée de combiner les gammes et les textures arabes avec les changements et le langage harmonique du jazz. "La musique arabe a des parallèles avec la musique classique indienne et persane, par exemple ", explique Samy Bishai. "Mais, aussi différent que cela puisse paraître, il y a des points axiomatiques étonnamment similaires, notamment l’improvisation ; et bien que des caractéristiques comme les quarts de tons ne fassent pas partie de l’harmonie occidentale, la flexibilité du jazz permet une intégration étonnante."
Pour mener à bien cette « suite » de Myriad Road, produit en 2015 par Ibrahim Maalouf, le duo s’est adjugé une équipe de Premiere League. Au cœur de celle-ci, la pianiste Alcyona Mick, le bassiste Andy Hamill, les batteurs Laurie Lowe et Asaf Sirkis, le trompettiste Hayden Powell et le tromboniste Robinson Khoury. Outre les cordes et les percussions d’Oli Savill, qui sont au cœur de cette fusion unique et équilibrée de jazz et de musique arabe, on retrouve des invités tels que Idris Rahman, le guitariste Paulo Vinícius, Joss Stone, Tanya Wells et Sofiane Saidi.
"Strange Days est l’aboutissement de ce que je veux exprimer à travers la musique - mon hybridité et ma dualité entre le Moyen-Orient et l’Europe, dans toutes ses facettes", affirme Natacha Atlas. "Nous avons la chance d’avoir ces musiciens qui combinent tout ce qu’on aime du jazz et de la musique arabe."
Tantôt lancinant, tantôt grave, parfois groove, souvent jazz, Strange Days est la digne suite de Myriad Road paru il y a quatre ans et qui signait le retour fracassant de Natacha Atlas.