Julia Sarr
Daraludul Yow
Sortie le 22 septembre 2014
Dist : L’Autre Distribution
Avoir l’album Daraludul Yow entre les mains, c’est disposer, à coup sûr, d’un trésor dont on ne pourra plus se séparer. La voix de Julia Sarr vous transporte dans les bulles d’un afro-jazz chaloupé, plein de grâce. On swingue, on chavire, bercé par ce timbre limpide et cette puissance émotionnelle qui ont fait d’elle une choriste appréciée des grands noms de la musique contemporaine : Lokua Kanza, Richard Bona, Youssou N’dour, Salif Keïta, Oumou Sangaré, Mano Solo, Alpha Blondy, MC Solaar, … Julia a également accompagné la grande Miriam Makéba, pour qui elle a écrit la chanson Lindelani, dans son album « Homeland ». L’éclectisme des environnements, où elle a muri son talent et sa technique, donne une idée de la richesse de son univers musical. Parce que la chrysalide finit par déployer ses ailes de papillon, Julia a enfin pris son envol pour embellir sa part d’azur et la nôtre.
Avoir l’album Daraludul Yow entre les mains, c’est disposer, à coup sûr, d’un trésor dont on ne pourra plus se séparer. La voix de Julia Sarr vous transporte dans les bulles d’un afro-jazz chaloupé, plein de grâce. On swingue, on chavire, bercé par ce timbre limpide et cette puissance émotionnelle qui ont fait d’elle une choriste appréciée des grands noms de la musique contemporaine : Lokua Kanza, Richard Bona, Youssou N’dour, Salif Keïta, Oumou Sangaré, Mano Solo, Alpha Blondy, MC Solaar, … Julia a également accompagné la grande Miriam Makéba, pour qui elle a écrit la chanson Lindelani, dans son album « Homeland ». L’éclectisme des environnements, où elle a muri son talent et sa technique, donne une idée de la richesse de son univers musical. Parce que la chrysalide finit par déployer ses ailes de papillon, Julia a enfin pris son envol pour embellir sa part d’azur et la nôtre.
Kora, Ngoni, Piano, Viole d’amour ! Des cordes tendues pour laisser courir tant d’émotions, scandées, ici et là, par l’exubérance du Tama ou la basse pudique de la Calebasse. Il suffit d’entendre le dialogue inspiré de ces instruments pour mesurer l’ouverture et la richesse des mélodies de Julia. L’Afrique, bien sûr, avec le tassou wolof actualisé, délicatement agrémenté de sonorités arrondies et spirituelles. Au confluent des cultures, Julia conjugue ses influences africaines et européennes dans une harmonie qui séduit au-delà des tiroirs identitaires. Chanteuse et compositrice, auteure de la plupart des textes, Julia aborde divers thèmes avec beaucoup de sensibilité : la condition des femmes, des exilés, des enfants… Et parce qu’il serait impardonnable que sa voix envoûtante ne chante pas l’amour, elle le fait avec une sensualité qui n’appartient qu’à elle. Voix inoubliable, trouvailles musicales époustouflantes, il se dégage de cet album une ambiance intimiste et chaleureuse qui apaise l’âme tout en exaltant l’esprit. Emerveillement garanti !
Fatou Diome
Julia Sarr, née à Dakar, Sénégal, mais installée en France depuis vingt-cinq ans maintenant, est une jeune femme d’aujourd’hui, une Africaine de Paris, cultivée curieuse de l’autre, ancrée dans sa culture d’origine,- la culture woloff-, mais ouverte au monde, à ses métamorphoses, à son métissage incessant.
« Daraludul Yow » est son premier véritable projet solo. Elle a cependant su s’entourer en demandant à cinq pianistes d’horizons différents d’arranger librement ses propres mélodies, d’enregistrer et de créer sans contraintes :
● Samuli Mikkonen, Finlande
● Bojan Z, Serbie
● Fred Soul, France
● Jean Philippe Rykiel, France
● Mario Canonge, Martinique
Un projet sur lequel on retrouvera également la viole d’amour du tunisien Jasser Haj Youssef, le n’goni de Moriba Koita, la kora de Yakouba Sissoko et les percussions sénégalaises d’Alioune Wade et de Mamané Thiam.
Un trio défendra ce projet sur scène, le piano de Joel Bouquet echangera avec les percussions de Fred Soul et dialoguera avec la voix de Julia.
Kora, Ngoni, Piano, Viole d’amour ! Des cordes tendues pour laisser courir tant d’émotions, scandées, ici et là, par l’exubérance du Tama ou la basse pudique de la Calebasse. Il suffit d’entendre le dialogue inspiré de ces instruments pour mesurer l’ouverture et la richesse des mélodies de Julia. L’Afrique, bien sûr, avec le tassou wolof actualisé, délicatement agrémenté de sonorités arrondies et spirituelles. Au confluent des cultures, Julia conjugue ses influences africaines et européennes dans une harmonie qui séduit au-delà des tiroirs identitaires. Chanteuse et compositrice, auteure de la plupart des textes, Julia aborde divers thèmes avec beaucoup de sensibilité : la condition des femmes, des exilés, des enfants… Et parce qu’il serait impardonnable que sa voix envoûtante ne chante pas l’amour, elle le fait avec une sensualité qui n’appartient qu’à elle. Voix inoubliable, trouvailles musicales époustouflantes, il se dégage de cet album une ambiance intimiste et chaleureuse qui apaise l’âme tout en exaltant l’esprit. Emerveillement garanti !
Fatou Diome
Julia Sarr, née à Dakar, Sénégal, mais installée en France depuis vingt-cinq ans maintenant, est une jeune femme d’aujourd’hui, une Africaine de Paris, cultivée curieuse de l’autre, ancrée dans sa culture d’origine,- la culture woloff-, mais ouverte au monde, à ses métamorphoses, à son métissage incessant.
« Daraludul Yow » est son premier véritable projet solo. Elle a cependant su s’entourer en demandant à cinq pianistes d’horizons différents d’arranger librement ses propres mélodies, d’enregistrer et de créer sans contraintes :
● Samuli Mikkonen, Finlande
● Bojan Z, Serbie
● Fred Soul, France
● Jean Philippe Rykiel, France
● Mario Canonge, Martinique
Un projet sur lequel on retrouvera également la viole d’amour du tunisien Jasser Haj Youssef, le n’goni de Moriba Koita, la kora de Yakouba Sissoko et les percussions sénégalaises d’Alioune Wade et de Mamané Thiam.
Un trio défendra ce projet sur scène, le piano de Joel Bouquet echangera avec les percussions de Fred Soul et dialoguera avec la voix de Julia.