Hollie Cook
Twice
Sortie le 12 mai 2014
Label : Mr Bongo
Hollie Cook “Twice” est le deuxième album très attendu d’une jeune pousse qui en 2011 avait réussi à mettre tout le monde d’accord avec un album éponyme radieux et gorgé de tubes.
« De la feel-good music avec un cœur tout bleu. On pense beaucoup au What’s Going On de Marvin Gaye à l’écoute de Twice. Un futur classique, donc. » Les Inrocks.com – SD 11.03.14
« De la feel-good music avec un cœur tout bleu. On pense beaucoup au What’s Going On de Marvin Gaye à l’écoute de Twice. Un futur classique, donc. » Les Inrocks.com – SD 11.03.14
Hollie Cook “Twice” est le deuxième album très attendu d’une jeune pousse qui en 2011 avait réussi à mettre tout le monde d’accord avec un album éponyme radieux et gorgé de tubes.
“ Une pop tropicale délicieuse”. Marianne
“…un premier album radieux de bout en bout ». Télérama ffff
“…les mélodies fondantes mêlées à la voix vanillée d’Hollie font merveille“ Les Inrocks
“ Une collection de tubes de l’été à écouter sans lever les yeux au ciel ». Le Nouvel Obs
“a gorgeous late 70’s style reggae pop“ Q Magazine
“one of the most enjoyable reggae album of 2011“ BBC
Hollie Cook est née dans l’ouest de Londres. Un père célèbre, le bien nommé Paul Cook, émérite batteur des Sex Pistols, lui donna très tôt l’occasion de forger son identité musicale. Elle grandit au son de Marc Bolan, The Cure, David Bowie mais va très vite s’intéresser au rocksteady, au reggae et se prendre de passion pour des chanteuses comme Janet Kay ou Phyllis Dillon. Hollie voue également un culte aux groupes féminins des années 60. D’ailleurs, sa mère Jennie fut la chanteuse des Belle Stars et Hollie sera également un long moment membre des Slits (dont la chanteuse Ari Up nous a quitté récemment). Petrie de toutes ces influences, Hollie Cook invente un style qu’elle a elle même baptisé « Tropical Pop ». Elle entend d’ailleurs le faire partager à travers ce deuxieme album, produit par son ami et collaborateur de longue date, Mike Pelanconi, plus connu sous le nom de Prince Fatty.
Son nouvel album Twice, nous présente une Hollie Cook toujours aussi imprégnée de reggae mais qui s’appuie désormais sur de nouvelles influences, percussions brésiliennes, sections de cordes et chœur du Macedonian Radio Symphonic Orchestra, on y entend aussi parfois planer l’ombre disco de Giorgio Moroder. Toujours sous la direction de Prince Fatty, elle a été épaulée sur l’album par Dennis Bovell (célèbre guitariste et producteur reggae dub anglais), Omar (chanteur anglais de soul et r’n’b), George Dekker (membre des Pionneers) et Winston Francis (dont la reprise de « Stand by me » avait eu un énorme succès en France en 1993).
“ Une pop tropicale délicieuse”. Marianne
“…un premier album radieux de bout en bout ». Télérama ffff
“…les mélodies fondantes mêlées à la voix vanillée d’Hollie font merveille“ Les Inrocks
“ Une collection de tubes de l’été à écouter sans lever les yeux au ciel ». Le Nouvel Obs
“a gorgeous late 70’s style reggae pop“ Q Magazine
“one of the most enjoyable reggae album of 2011“ BBC
Hollie Cook est née dans l’ouest de Londres. Un père célèbre, le bien nommé Paul Cook, émérite batteur des Sex Pistols, lui donna très tôt l’occasion de forger son identité musicale. Elle grandit au son de Marc Bolan, The Cure, David Bowie mais va très vite s’intéresser au rocksteady, au reggae et se prendre de passion pour des chanteuses comme Janet Kay ou Phyllis Dillon. Hollie voue également un culte aux groupes féminins des années 60. D’ailleurs, sa mère Jennie fut la chanteuse des Belle Stars et Hollie sera également un long moment membre des Slits (dont la chanteuse Ari Up nous a quitté récemment). Petrie de toutes ces influences, Hollie Cook invente un style qu’elle a elle même baptisé « Tropical Pop ». Elle entend d’ailleurs le faire partager à travers ce deuxieme album, produit par son ami et collaborateur de longue date, Mike Pelanconi, plus connu sous le nom de Prince Fatty.
Son nouvel album Twice, nous présente une Hollie Cook toujours aussi imprégnée de reggae mais qui s’appuie désormais sur de nouvelles influences, percussions brésiliennes, sections de cordes et chœur du Macedonian Radio Symphonic Orchestra, on y entend aussi parfois planer l’ombre disco de Giorgio Moroder. Toujours sous la direction de Prince Fatty, elle a été épaulée sur l’album par Dennis Bovell (célèbre guitariste et producteur reggae dub anglais), Omar (chanteur anglais de soul et r’n’b), George Dekker (membre des Pionneers) et Winston Francis (dont la reprise de « Stand by me » avait eu un énorme succès en France en 1993).