Ben Sidran
Blue Camus
Sortie le 4 novembre 2014
Label : Bonsaï Music
Ben Sidran est né le 14 août 1943 à Chicago (Illinois) et grandit à Racine (Wisconsin).
Dans les années 1960, il joue au sein de The Ardells avec Steve Miller et Boz Scaggs…
Dans les années 1960, il joue au sein de The Ardells avec Steve Miller et Boz Scaggs…
Ben Sidran est né le 14 août 1943 à Chicago (Illinois) et grandit à Racine (Wisconsin).
Dans les années 1960, il joue au sein de The Ardells avec Steve Miller et Boz Scaggs. Devenu le clavier du Steve Miller Band à San Francisco, il compose une bonne partie du répertoire du groupe lors des albums Brave New World (avec le fameux « Space Cowboy »), Number 5 (« Tango ») et produit le mésestimé Recall the Beginning…>A Journey from Eden en 1972.
Diplômé en philosophie et en musicologie, Ben Sidran publie la thèse de référence Black Talk en 1972, puis se lance dans une carrière solo signalée par une série d’albums jazz pop bien accueillis par la critique : Don’t Let Go (1974), Free in America (1976), The Doctor Is In (1977) et A Little Kiss in the Night (1978). Au cours des années 1980, Ben Sidran fait évoluer sa musique dans un style jazz cool un peu funky et introduit de fortes touches de synthés. Les albums de cette époque s’en ressentent. Bop City (1984), le live On the Cool Side (1985) et Cool Paradise (1990) reçoivent les faveurs de son public. En 1988, il renoue avec Steve Miller sur l’excellent Born 2B Blue. Au cours de sa carrière il a également produit des artistes comme Mose Allison ou Diana Ross, et collaboré avec Van Morrison.
Devenu présentateur d’une émission musicale sur la chaîne VH1, il n’en délaisse pas pour autant sa carrière d’artiste, composant la bande originale du film Hoop Dreams (1995) et publiant les albums Concert for Garcia Lorca (live, 2000) et Nick’s Bump (2004). En 2006, son passage à la radio FIP donne lieu au subtil Live à FIP.
Trois ans plus tard, son Dylan Different est vivement salué par la critique.
En novembre 2012, son nouvel album studio « Don’t Cry For No Hipster » produit par son fils Leo Sidran, sera publié par Bonsaï Music, en partenariat avec FIP (Sélection FIP Décembre 2012).
Le 4 novembre 2014, et dans la suite de « Don’t Cry For No Hipster », Ben Sidran publiera en France son nouvel opus « Blue Camus ».
BLUE CAMUS est la combinaison du groove très personnel de BEN SIDRAN et de ses réflexions profondes qu’il traite avec sagesse et humour.
La plupart des nouvelles compositions de cet album sont des hommages à des philosophes et écrivains du XXème siècle. “The King of Harlem” est dédié à Federico Garcia Lorca ; “Blue Camus” évoque “l’Etranger” d’Albert Camus et “A Is For Alligator” est clin d’oeil à “La ferme des Animaux” de George Orwell.
BLUE CAMUS est aussi un hommage à deux belles familles de musiciens : la famille Peterson (les frères Billy et Ricky) et la famille Sidran (Ben et son fils Leo), qui travaillent et jouent ensemble depuis des années et ont contribué à la réalisation d’albums d’artistes de légendes parmi lesquels, Bob Dylan, Prince, Van Morrison, Dave Sanborn et Jorge Drexler.
Dans les années 1960, il joue au sein de The Ardells avec Steve Miller et Boz Scaggs. Devenu le clavier du Steve Miller Band à San Francisco, il compose une bonne partie du répertoire du groupe lors des albums Brave New World (avec le fameux « Space Cowboy »), Number 5 (« Tango ») et produit le mésestimé Recall the Beginning…>A Journey from Eden en 1972.
Diplômé en philosophie et en musicologie, Ben Sidran publie la thèse de référence Black Talk en 1972, puis se lance dans une carrière solo signalée par une série d’albums jazz pop bien accueillis par la critique : Don’t Let Go (1974), Free in America (1976), The Doctor Is In (1977) et A Little Kiss in the Night (1978). Au cours des années 1980, Ben Sidran fait évoluer sa musique dans un style jazz cool un peu funky et introduit de fortes touches de synthés. Les albums de cette époque s’en ressentent. Bop City (1984), le live On the Cool Side (1985) et Cool Paradise (1990) reçoivent les faveurs de son public. En 1988, il renoue avec Steve Miller sur l’excellent Born 2B Blue. Au cours de sa carrière il a également produit des artistes comme Mose Allison ou Diana Ross, et collaboré avec Van Morrison.
Devenu présentateur d’une émission musicale sur la chaîne VH1, il n’en délaisse pas pour autant sa carrière d’artiste, composant la bande originale du film Hoop Dreams (1995) et publiant les albums Concert for Garcia Lorca (live, 2000) et Nick’s Bump (2004). En 2006, son passage à la radio FIP donne lieu au subtil Live à FIP.
Trois ans plus tard, son Dylan Different est vivement salué par la critique.
En novembre 2012, son nouvel album studio « Don’t Cry For No Hipster » produit par son fils Leo Sidran, sera publié par Bonsaï Music, en partenariat avec FIP (Sélection FIP Décembre 2012).
Le 4 novembre 2014, et dans la suite de « Don’t Cry For No Hipster », Ben Sidran publiera en France son nouvel opus « Blue Camus ».
BLUE CAMUS est la combinaison du groove très personnel de BEN SIDRAN et de ses réflexions profondes qu’il traite avec sagesse et humour.
La plupart des nouvelles compositions de cet album sont des hommages à des philosophes et écrivains du XXème siècle. “The King of Harlem” est dédié à Federico Garcia Lorca ; “Blue Camus” évoque “l’Etranger” d’Albert Camus et “A Is For Alligator” est clin d’oeil à “La ferme des Animaux” de George Orwell.
BLUE CAMUS est aussi un hommage à deux belles familles de musiciens : la famille Peterson (les frères Billy et Ricky) et la famille Sidran (Ben et son fils Leo), qui travaillent et jouent ensemble depuis des années et ont contribué à la réalisation d’albums d’artistes de légendes parmi lesquels, Bob Dylan, Prince, Van Morrison, Dave Sanborn et Jorge Drexler.