Aldorande
Trois
Sortie le 30 mai 2025
Label: Favorite Recordings
Découvrez ALDORANDE et leur nouvel album « Trois » : Une odyssée jazz-funk cosmique.
ALDORANDE, ce sont cinq aventuriers du groove, menés par leur fondateur et capitaine Virgile Raffaëlli, qui repoussent les frontières de la musique avec une passion débordante et une maîtrise instrumentale hors pair. Après deux albums acclamés, le groupe revient avec « Trois », le dernier volet de leur trilogie spatiale, enregistré sur bandes dans un prestigieux studio parisien.
« Trois » est un album épique, nourri par des explorations instrumentales audacieuses et des vagues de chœurs célestes. Inspiré par la fusion des années 70, il rend hommage aux maîtres du genre tout en apportant une touche unique et contemporaine. Les textures galactiques et les arrangements sophistiqués transportent l’auditeur dans un voyage astral inoubliable.
ALDORANDE, ce sont cinq aventuriers du groove, menés par leur fondateur et capitaine Virgile Raffaëlli, qui repoussent les frontières de la musique avec une passion débordante et une maîtrise instrumentale hors pair. Après deux albums acclamés, le groupe revient avec « Trois », le dernier volet de leur trilogie spatiale, enregistré sur bandes dans un prestigieux studio parisien.
« Trois » est un album épique, nourri par des explorations instrumentales audacieuses et des vagues de chœurs célestes. Inspiré par la fusion des années 70, il rend hommage aux maîtres du genre tout en apportant une touche unique et contemporaine. Les textures galactiques et les arrangements sophistiqués transportent l’auditeur dans un voyage astral inoubliable.
Découvrez ALDORANDE et leur nouvel album "Trois" : Une odyssée jazz-funk cosmique.
ALDORANDE, ce sont cinq aventuriers du groove, menés par leur fondateur et capitaine Virgile Raffaëlli, qui repoussent les frontières de la musique avec une passion débordante et une maîtrise instrumentale hors pair. Après deux albums acclamés, le groupe revient avec "Trois", le dernier volet de leur trilogie spatiale, enregistré sur bandes dans un prestigieux studio parisien.
"Trois" est un album épique, nourri par des explorations instrumentales audacieuses et des vagues de chœurs célestes. Inspiré par la fusion des années 70, il rend hommage aux maîtres du genre tout en apportant une touche unique et contemporaine. Les textures galactiques et les arrangements sophistiqués transportent l'auditeur dans un voyage astral inoubliable.
Une fois de plus, Favorite Recordings a mis tout son cœur et son savoir-faire dans cet album. Chaque note, chaque arrangement a été minutieusement travaillé pour capturer l'essence de cette époque, avec la détermination pour que chaque étape de production et d'enregistrement se rapproche le plus fidèlement possible des références du genre.
À la batterie, Mathieu Edouard impose un groove assassin qui ne laisse personne indifférent. Florian Pellissier, aux claviers, déploie une palette sonore interstellaire avec une collection spectaculaire d'instruments : Fender Rhodes, Yamaha CP-70B, Moog Minimoog Model D, Sequential Prophet 5, ARP Solina String Ensemble, Roland Juno 106, Roland Jupiter 8, et Oberheim OB-8. Aux percussions, Erwan Loeffel sème une jungle de rythmes enivrants. Laurent Guillet, à la guitare, enchaîne des riffs efficaces et envoûtants, tandis que Virgile Raffaëlli, à la basse, assure des lignes profondes et mélodiques qui donnent à l'ensemble une dimension unique et captivante.
Préparez-vous à décoller avec ALDORANDE et leur album "Trois", qui promet de vous emmener au-delà des étoiles.
ALDORANDE, ce sont cinq aventuriers du groove, menés par leur fondateur et capitaine Virgile Raffaëlli, qui repoussent les frontières de la musique avec une passion débordante et une maîtrise instrumentale hors pair. Après deux albums acclamés, le groupe revient avec "Trois", le dernier volet de leur trilogie spatiale, enregistré sur bandes dans un prestigieux studio parisien.
"Trois" est un album épique, nourri par des explorations instrumentales audacieuses et des vagues de chœurs célestes. Inspiré par la fusion des années 70, il rend hommage aux maîtres du genre tout en apportant une touche unique et contemporaine. Les textures galactiques et les arrangements sophistiqués transportent l'auditeur dans un voyage astral inoubliable.
Une fois de plus, Favorite Recordings a mis tout son cœur et son savoir-faire dans cet album. Chaque note, chaque arrangement a été minutieusement travaillé pour capturer l'essence de cette époque, avec la détermination pour que chaque étape de production et d'enregistrement se rapproche le plus fidèlement possible des références du genre.
À la batterie, Mathieu Edouard impose un groove assassin qui ne laisse personne indifférent. Florian Pellissier, aux claviers, déploie une palette sonore interstellaire avec une collection spectaculaire d'instruments : Fender Rhodes, Yamaha CP-70B, Moog Minimoog Model D, Sequential Prophet 5, ARP Solina String Ensemble, Roland Juno 106, Roland Jupiter 8, et Oberheim OB-8. Aux percussions, Erwan Loeffel sème une jungle de rythmes enivrants. Laurent Guillet, à la guitare, enchaîne des riffs efficaces et envoûtants, tandis que Virgile Raffaëlli, à la basse, assure des lignes profondes et mélodiques qui donnent à l'ensemble une dimension unique et captivante.
Préparez-vous à décoller avec ALDORANDE et leur album "Trois", qui promet de vous emmener au-delà des étoiles.
“Arrivés sur cette planète au premier abord hostile et inerte qu’ils avaient baptisée Aldorande, le Commandant Raffaëlli et son équipage y avaient découvert la présence ancestrale d’une vie enfouie n’aspirant qu’à sa renaissance. Arrivés jusqu’au sarcophage de marbre qui renfermait la pierre des mondes, au prix d’un récit haletant et riche en rebondissements, ils purent enfin briser le mystère contenu dans les symboles cabalistiques découverts gravés dans la roche…”
Comme une prophétie, l’expédition imprévue a porté ses fruits. Annoncé dès le chapitre II, libérer Aldorande des entraves qui empêchent l’épanouissement de la vie musicale, réveiller les forces enfouies depuis trop longtemps entraînerait une si forte propagation des ondes à travers le cosmos, que la planète deviendrait de fait le centre d’un univers jusqu’alors ténébreux.
Captés par un réel intérêt ou constatant une importante perturbation de leurs instruments de navigation, quelle que puisse être la cause première, la conséquence pour tous les vaisseaux passant alentour est la même : établir un nouveau plan de vol s’il le faut, mais rejoindre Aldorande. Qu’importe d’y atterrir en même temps ou avant les autres, la planète déborde d’espaces à occuper pour y établir sa base, construire sa scène, interagir avec son environnement. Profiter de la luxuriance créative offerte par l’endroit, sans la piller, ni oublier de lui rendre. Désormais abondamment irrigués, ces canyons qui, avant l’arrivée de l’équipage salvateur, n’étaient que roches et poussières seront, pour des siècles encore, le lit d’un groove aussi torrentiel qu’intarissable.
Vue de haut, la surface d’Aldorande se déchire d’éruptions jazz-fusion aux reflets vert et rouges, striée d’électricité, elle s’anime, depuis ses profondeurs, de vibrations sismiques où basse et batterie s’entrelacent l’une à l’autre pour ne faire qu’un. Au travers des orages de percussions, naissent les voix des sirènes qui partent s’évanouir dans l’atmosphère, là où les claviers ont dessiné leur constellation de notes cristallines et de nappes futuristes.
Hormis peut-être leur destin écrit dans des partitions par une puissance supérieure qui ne leur aura révélé ni son nom ni sa forme durant leur périple, rien ne prédestinait l’équipage du Commandant Raffaëlli à révéler cette planète aride à elle-même pour lui permettre de devenir l’épicentre d’un épanouissement hédoniste.
Centre névralgique d’une galaxie musicale maintenant en mouvement, elle est pourtant devenue trop étroite pour eux. S’ils veulent continuer à s’exprimer comme ils l’entendent, ils n’ont plus d’autre choix que de la quitter. Animés par le sentiment profond d’une mission aussi imprévue qu’accomplie, ils contemplent à présent Aldorande avec toujours plus de distance, à mesure qu’ils s’éloignent dans le fracas des réacteurs…
Back to Mother Earth, landing site Gulf of Mexico
Franck Cochon
Comme une prophétie, l’expédition imprévue a porté ses fruits. Annoncé dès le chapitre II, libérer Aldorande des entraves qui empêchent l’épanouissement de la vie musicale, réveiller les forces enfouies depuis trop longtemps entraînerait une si forte propagation des ondes à travers le cosmos, que la planète deviendrait de fait le centre d’un univers jusqu’alors ténébreux.
Captés par un réel intérêt ou constatant une importante perturbation de leurs instruments de navigation, quelle que puisse être la cause première, la conséquence pour tous les vaisseaux passant alentour est la même : établir un nouveau plan de vol s’il le faut, mais rejoindre Aldorande. Qu’importe d’y atterrir en même temps ou avant les autres, la planète déborde d’espaces à occuper pour y établir sa base, construire sa scène, interagir avec son environnement. Profiter de la luxuriance créative offerte par l’endroit, sans la piller, ni oublier de lui rendre. Désormais abondamment irrigués, ces canyons qui, avant l’arrivée de l’équipage salvateur, n’étaient que roches et poussières seront, pour des siècles encore, le lit d’un groove aussi torrentiel qu’intarissable.
Vue de haut, la surface d’Aldorande se déchire d’éruptions jazz-fusion aux reflets vert et rouges, striée d’électricité, elle s’anime, depuis ses profondeurs, de vibrations sismiques où basse et batterie s’entrelacent l’une à l’autre pour ne faire qu’un. Au travers des orages de percussions, naissent les voix des sirènes qui partent s’évanouir dans l’atmosphère, là où les claviers ont dessiné leur constellation de notes cristallines et de nappes futuristes.
Hormis peut-être leur destin écrit dans des partitions par une puissance supérieure qui ne leur aura révélé ni son nom ni sa forme durant leur périple, rien ne prédestinait l’équipage du Commandant Raffaëlli à révéler cette planète aride à elle-même pour lui permettre de devenir l’épicentre d’un épanouissement hédoniste.
Centre névralgique d’une galaxie musicale maintenant en mouvement, elle est pourtant devenue trop étroite pour eux. S’ils veulent continuer à s’exprimer comme ils l’entendent, ils n’ont plus d’autre choix que de la quitter. Animés par le sentiment profond d’une mission aussi imprévue qu’accomplie, ils contemplent à présent Aldorande avec toujours plus de distance, à mesure qu’ils s’éloignent dans le fracas des réacteurs…
Back to Mother Earth, landing site Gulf of Mexico
Franck Cochon