Festival Porto Latino
Saint-Florent. 5 6 7 8 août 2009
PORTO LATINO : 10 ANS DE PASSION, 10 ANS DE REVE, 10 ANS DE FETE !
2009 sera l’année du dialogue interculturel. Ainsi l’a décrété l’Union européenne ! Une décision qui ne pouvait mieux tomber pour le Festival Porto Latino de Saint-Florent qui se prépare, début août, à souffler ses dix bougies.
La diversité des expressions culturelles et le dialogue entre les cultures sous les remparts de la féerique citadelle génoise, ça on sait faire. Ce festival, en l’espace de dix ans, avec ses musiques, ses danses et ses rites, a su nous faire découvrir et nous rapprocher de cultures qui nous semblaient tellement lointaines voire inaccessibles pour beaucoup.
2009 sera l’année du dialogue interculturel. Ainsi l’a décrété l’Union européenne ! Une décision qui ne pouvait mieux tomber pour le Festival Porto Latino de Saint-Florent qui se prépare, début août, à souffler ses dix bougies.
La diversité des expressions culturelles et le dialogue entre les cultures sous les remparts de la féerique citadelle génoise, ça on sait faire. Ce festival, en l’espace de dix ans, avec ses musiques, ses danses et ses rites, a su nous faire découvrir et nous rapprocher de cultures qui nous semblaient tellement lointaines voire inaccessibles pour beaucoup.
PORTO LATINO : 10 ANS DE PASSION, 10 ANS DE REVE, 10 ANS DE FETE !
2009 sera l'année du dialogue interculturel. Ainsi l'a décrété l'Union européenne ! Une décision qui ne pouvait mieux tomber pour le Festival Porto Latino de Saint-Florent qui se prépare, début août, à souffler ses dix bougies.
La diversité des expressions culturelles et le dialogue entre les cultures sous les remparts de la féerique citadelle génoise, ça on sait faire. Ce festival, en l'espace de dix ans, avec ses musiques, ses danses et ses rites, a su nous faire découvrir et nous rapprocher de cultures qui nous semblaient tellement lointaines voire inaccessibles pour beaucoup.
Le secret des pionniers de Porto Latino est là : celui de la science des solutions imaginaires. Une science qui n'a qu'un seul moteur: la passion !
Ils n'étaient qu'une dizaine, il y a dix ans, à croire en cet imaginaire. Car c'est bien cela qui a donné vie à cet événement estival dont la Corse aurait bien du mal à se défaire aujourd'hui : la fusion entre un lieu, une passion et un collectif d’aficionados réunis autour d’un projet fort : musique des suds du monde, danse, découvertes artistiques et le bal tropical comme élément fédérateur.
Aujourd’hui le résultat est là : c'est désormais la citadelle de Saint-Florent et ses nuits aoûtiennes à nulle autre pareille qui crée l'imaginaire en Corse. Demandez aux dizaines de milliers de spectateurs qui ont foulé le terre-plein de la forteresse (ou Fortaleza) du Nebbiu.
A l'heure où l'Europe s'agrandit, où les frontières tombent, Porto Latino et le village de Saint-Florent ont depuis longtemps pris le large pour nous ouvrir l'horizon. Depuis dix ans, toutes sortes de drapeaux flottent au-dessus du port, à commencer par le drapeau cubain, celui qui a fait connaître Porto Latino qui a su accueillir la déferlante de musique traditionnelle afro-cubaine qui a envahit l'Europe dès le début des années 90.
En dix ans, les plus grands chanteurs ou musiciens cubains sont passés par St Florent. D'Alfredo Rodriguez, l'un des plus célèbres pianistes cubains, décédé en décembre 2006 et qui fut la première tête d'affiche avec « La Famiglia Miranda », à Ibrahim Ferrer, la star du Buena Vista Social Club, en passant par Eddie Palmieri (portoricain d'origine corse), Omar Portuando, sans oublier la triple visite de Yuri Buenaventura, le plus français des colombiens.
Prêts à faire découvrir et aimer leur culture. Prêts à échanger avec tous les autres invités di San Fiurenzu : Jimmy Cliff, Johnny Clegg, Césaria Evora ou Sergent Garcia pour ne citer que ceux-là.
Porto Latino, devenu zone de libre échange ! … Avec l'île de Cuba, le Brésil, l'Afrique, l'Espagne, Puerto Rico, le Venezuela, l'Argentine, le Mexique, la Colombie.
2009 sera l'année du dialogue interculturel. Ainsi l'a décrété l'Union européenne ! Une décision qui ne pouvait mieux tomber pour le Festival Porto Latino de Saint-Florent qui se prépare, début août, à souffler ses dix bougies.
La diversité des expressions culturelles et le dialogue entre les cultures sous les remparts de la féerique citadelle génoise, ça on sait faire. Ce festival, en l'espace de dix ans, avec ses musiques, ses danses et ses rites, a su nous faire découvrir et nous rapprocher de cultures qui nous semblaient tellement lointaines voire inaccessibles pour beaucoup.
Le secret des pionniers de Porto Latino est là : celui de la science des solutions imaginaires. Une science qui n'a qu'un seul moteur: la passion !
Ils n'étaient qu'une dizaine, il y a dix ans, à croire en cet imaginaire. Car c'est bien cela qui a donné vie à cet événement estival dont la Corse aurait bien du mal à se défaire aujourd'hui : la fusion entre un lieu, une passion et un collectif d’aficionados réunis autour d’un projet fort : musique des suds du monde, danse, découvertes artistiques et le bal tropical comme élément fédérateur.
Aujourd’hui le résultat est là : c'est désormais la citadelle de Saint-Florent et ses nuits aoûtiennes à nulle autre pareille qui crée l'imaginaire en Corse. Demandez aux dizaines de milliers de spectateurs qui ont foulé le terre-plein de la forteresse (ou Fortaleza) du Nebbiu.
A l'heure où l'Europe s'agrandit, où les frontières tombent, Porto Latino et le village de Saint-Florent ont depuis longtemps pris le large pour nous ouvrir l'horizon. Depuis dix ans, toutes sortes de drapeaux flottent au-dessus du port, à commencer par le drapeau cubain, celui qui a fait connaître Porto Latino qui a su accueillir la déferlante de musique traditionnelle afro-cubaine qui a envahit l'Europe dès le début des années 90.
En dix ans, les plus grands chanteurs ou musiciens cubains sont passés par St Florent. D'Alfredo Rodriguez, l'un des plus célèbres pianistes cubains, décédé en décembre 2006 et qui fut la première tête d'affiche avec « La Famiglia Miranda », à Ibrahim Ferrer, la star du Buena Vista Social Club, en passant par Eddie Palmieri (portoricain d'origine corse), Omar Portuando, sans oublier la triple visite de Yuri Buenaventura, le plus français des colombiens.
Prêts à faire découvrir et aimer leur culture. Prêts à échanger avec tous les autres invités di San Fiurenzu : Jimmy Cliff, Johnny Clegg, Césaria Evora ou Sergent Garcia pour ne citer que ceux-là.
Porto Latino, devenu zone de libre échange ! … Avec l'île de Cuba, le Brésil, l'Afrique, l'Espagne, Puerto Rico, le Venezuela, l'Argentine, le Mexique, la Colombie.
