Yom
Unue
Sortie le 26 octobre 2009
Label : Buda Musique
Après s’être fait reconnaître par les professionnels et le public comme un des grands virtuoses de la clarinette Klezmer, Yom nous présente un projet plus introspectif : UNUE. Exaltante série de duos inspirés par des rencontres musicales tous azimuts, à la fois bigarrée et méditative, cette suite charme et surprend, émeut et dérange, transporte et élève vers de nouvelles perceptions musicales. UNUE raconte des histoires de rencontres, de voyages (qu’ils soient géographiques, mystiques, philosophiques) et de transcendance.
Les duos « tour à tour nostalgiques, caressants, étranges ou joyeux » font de Unué un disque « original et envoûtant »
Mondomix
Le dernier opus de Yom avec ses invités Wang Li, Bijan Chemirani, Ibrahim Maalouf, Iuri Morar, Farid D, et Denis Cuniot présente une « unité spirituelle d’où émane un profond sentiment de paix.
Le Nouvel Observateur
Ce disque de duos ravit.
Le Monde
Les duos « tour à tour nostalgiques, caressants, étranges ou joyeux » font de Unué un disque « original et envoûtant »
Mondomix
Le dernier opus de Yom avec ses invités Wang Li, Bijan Chemirani, Ibrahim Maalouf, Iuri Morar, Farid D, et Denis Cuniot présente une « unité spirituelle d’où émane un profond sentiment de paix.
Le Nouvel Observateur
Ce disque de duos ravit.
Le Monde
Le disque regroupe sept musiciens virtuoses issus des « Musiques du Monde » vivant en France. Ce sont des artistes solidement ancrés dans leurs racines et leur identité, mais également des poètes contemporains prêts à s’éloigner de leur tradition et à faire un pas vers l’autre pour renouveler leur langage.
Malgré le nombre des intervenants, le disque apparaît dans une unité forte, construit dans la cohérence des compositions de Yom, chaque pièce entrant en résonance avec l’autre, chaque intervenant apportant un élément nécessaire au puzzle. Le tout relié par les UNUE, leitmotiv joué tour à tour par l’ensemble des musiciens, comme une incantation permanente, un éternel recommencement. C’est le disque du ressenti et de l’indicible, avec comme point d’appui la question des origines et du commencement. Pour Yom, il s’agit d’entrapercevoir les racines de son judaïsme, de remonter le temps jusqu’au désert originel. Durant la réalisation de ce projet, il a constamment gardé à l’esprit les Nigunim (ces mélodies tristes et simples typiquement juives) de Giora Feidman, à qui il dédie ce disque. Le Klezmer se définit selon Yom comme une musique qui s’est toujours enrichie et intégrée dans son contexte géographique et culturel. Quoi de plus normal pour un artiste qui est en même temps à la recherche des origines et du devenir que de fusionner avec l’esprit cosmopolite d’un pays comme la France ? UNUE représente en fin de compte la recherche d’un langage fondateur perdu et d’un langage à créer, celui de peuples qui se nourrissent, s’enrichissent et affirment leur identité dans l’échange avec l’Autre.
Wang Li (Guimbardes et Flûte à calebasse) :
Après son concert en solo au Musée du Quai Branly qui m’a fortement ému et impressionné, je suis allé voir Wang Li pour lui dire que je voulais l’inviter sur deux morceaux à un de mes concerts. Il a accepté, nous avons depuis beaucoup travaillé ensemble, appris à nous connaître musicalement et humainement. Cette rencontre a été extrêmement intense et étonnante, incroyablement enrichissante et entièrement dédiée à la poésie.
Iurie Morar (Cymbalum) :
J’aime le cymbalum, j’aime son timbre, j’aime son répertoire, j’aime ses origines géographiques qui sont celles de mes grands parents (la Hongrie). La rencontre avec Iurie a été pour moi proche du traumatisme ; musicien impressionnant et virtuose hors pair, il m’a permis de passer une étape supplémentaire dans ma quête (éternelle ?) des musiques d’Europe Centrale et Orientale, juives ou non.
Ibrahim Maalouf (Trompette) :
Ibrahim est un virtuose, un musicien incroyable à la sensibilité à fleur de peau ; venu pour jouer un morceau avec moi sur un concert un jour, j’ai tout de suite senti sa capacité à être immédiatement dans la musique, à son service, la faisant vivre dès le premier son… son jeu de trompette, les modes qu’il utilise sont pour moi d’une poésie incroyable, d’une pureté précieuse.
Denis Cuniot (Piano) :
Je partage de nombreuses choses avec Denis (on joue ensemble depuis 1997…) mais la principale est sans doute le mysticisme qui nous relie à la musique, cette manière d’invoquer Dieu sans être croyant, cette envie d’avoir envie de pleurer en jouant, cette sensation que quelque chose de vital se joue à chaque note… La musique avec Denis Cuniot ne peut qu’être profonde.
Bijan Chemirani (Zarb, Daf, Bendir, Saz) :
La musicalité de Bijan, sa précision de frappe, sa poésie percussive ont permis d’amener ma composition très loin, dans une forme d’abstraction inspirée qui n’était possible qu’avec lui, dans un univers épique plein de surprises et de développements lyriques, où la musique n’est plus faite de notes ou de rythmes, mais de matière et d’espace…
Farid D. (Violoncelle) :
J’ai rencontré Farid D lors de l’enrégistrement d’un disque de musique contemporaine (!), je l’ai entendu dans un coin jouer du violoncelle comme d’un oud, en quart de ton et pizz déchaînés, j’ai immédiatement compris qu’on avait la même vision de la musique.
Malgré le nombre des intervenants, le disque apparaît dans une unité forte, construit dans la cohérence des compositions de Yom, chaque pièce entrant en résonance avec l’autre, chaque intervenant apportant un élément nécessaire au puzzle. Le tout relié par les UNUE, leitmotiv joué tour à tour par l’ensemble des musiciens, comme une incantation permanente, un éternel recommencement. C’est le disque du ressenti et de l’indicible, avec comme point d’appui la question des origines et du commencement. Pour Yom, il s’agit d’entrapercevoir les racines de son judaïsme, de remonter le temps jusqu’au désert originel. Durant la réalisation de ce projet, il a constamment gardé à l’esprit les Nigunim (ces mélodies tristes et simples typiquement juives) de Giora Feidman, à qui il dédie ce disque. Le Klezmer se définit selon Yom comme une musique qui s’est toujours enrichie et intégrée dans son contexte géographique et culturel. Quoi de plus normal pour un artiste qui est en même temps à la recherche des origines et du devenir que de fusionner avec l’esprit cosmopolite d’un pays comme la France ? UNUE représente en fin de compte la recherche d’un langage fondateur perdu et d’un langage à créer, celui de peuples qui se nourrissent, s’enrichissent et affirment leur identité dans l’échange avec l’Autre.
Wang Li (Guimbardes et Flûte à calebasse) :
Après son concert en solo au Musée du Quai Branly qui m’a fortement ému et impressionné, je suis allé voir Wang Li pour lui dire que je voulais l’inviter sur deux morceaux à un de mes concerts. Il a accepté, nous avons depuis beaucoup travaillé ensemble, appris à nous connaître musicalement et humainement. Cette rencontre a été extrêmement intense et étonnante, incroyablement enrichissante et entièrement dédiée à la poésie.
Iurie Morar (Cymbalum) :
J’aime le cymbalum, j’aime son timbre, j’aime son répertoire, j’aime ses origines géographiques qui sont celles de mes grands parents (la Hongrie). La rencontre avec Iurie a été pour moi proche du traumatisme ; musicien impressionnant et virtuose hors pair, il m’a permis de passer une étape supplémentaire dans ma quête (éternelle ?) des musiques d’Europe Centrale et Orientale, juives ou non.
Ibrahim Maalouf (Trompette) :
Ibrahim est un virtuose, un musicien incroyable à la sensibilité à fleur de peau ; venu pour jouer un morceau avec moi sur un concert un jour, j’ai tout de suite senti sa capacité à être immédiatement dans la musique, à son service, la faisant vivre dès le premier son… son jeu de trompette, les modes qu’il utilise sont pour moi d’une poésie incroyable, d’une pureté précieuse.
Denis Cuniot (Piano) :
Je partage de nombreuses choses avec Denis (on joue ensemble depuis 1997…) mais la principale est sans doute le mysticisme qui nous relie à la musique, cette manière d’invoquer Dieu sans être croyant, cette envie d’avoir envie de pleurer en jouant, cette sensation que quelque chose de vital se joue à chaque note… La musique avec Denis Cuniot ne peut qu’être profonde.
Bijan Chemirani (Zarb, Daf, Bendir, Saz) :
La musicalité de Bijan, sa précision de frappe, sa poésie percussive ont permis d’amener ma composition très loin, dans une forme d’abstraction inspirée qui n’était possible qu’avec lui, dans un univers épique plein de surprises et de développements lyriques, où la musique n’est plus faite de notes ou de rythmes, mais de matière et d’espace…
Farid D. (Violoncelle) :
J’ai rencontré Farid D lors de l’enrégistrement d’un disque de musique contemporaine (!), je l’ai entendu dans un coin jouer du violoncelle comme d’un oud, en quart de ton et pizz déchaînés, j’ai immédiatement compris qu’on avait la même vision de la musique.