Yom & Wang Li
Green Apocalypse
Sortie le 3 Mars 2012
Label : Buda Musique
L’un vient de Chine, est un autodidacte de la guimbarde et joue exclusivement en solo. L’autre est né et vit à Paris, a étudié au conservatoire et joue en groupe, à la clarinette, des musiques juives de l’est.
A la recherche du plus élevé commun dénominateur, tel est l’équipement de la pensée de Yom et Wang Li : puissance tellurique, élégante virtuosité, énorme appétit d’âme, soif inextinguible de spiritualité.
L’un vient de Chine, est un autodidacte de la guimbarde et joue exclusivement en solo. L’autre est né et vit à Paris, a étudié au conservatoire et joue en groupe, à la clarinette, des musiques juives de l’est.
L’apprivoisement mutuel de ces deux orients si éloignés fut un long travail de balbutiements, d’onomatopées, de borborygmes : au terme d‘une « transformation silencieuse » pour reprendre les mots de François Jullien, Yom et Wang Li ont créé leur lexique musical, un nouveau langage, ni sino-judaïque, ni judéo-chinois, résolument traditionnel, décidément contemporain, violemment respectueux.
Le terrain de cette confrontation, de cette connivence, fut également, en cette période troublée et troublante, une inquiétude partagée face aux dérives des nationalismes exacerbés et aux ravages causés par l’homme à la nature.
Green Apocalypse : un aboutissement esthétique et humain, un manifeste musical et écologique.
Il existe aussi une version courte de cette histoire :
Un juif et un Chinois (l’un n’empêchant pas l’autre), tous deux férus de musiques traditionnelles, tous deux habités de souci spirituel et d’inquiétude climatique, se rencontrèrent un beau jour au Musée des Arts Premiers et décidèrent de travailler ensemble.
Quelques laps plus tard, ils s’aperçurent qu’ils éprouvaient l’un pour l’autre amitié et respect. Il décidèrent donc d’enregistrer un disque écologiste et se déclarèrent aptes à représenter, parmi d’autres, la France d’aujourd’hui (mais peut-être pas à l’Eurovision).
L’un vient de Chine, est un autodidacte de la guimbarde et joue exclusivement en solo. L’autre est né et vit à Paris, a étudié au conservatoire et joue en groupe, à la clarinette, des musiques juives de l’est.
L’apprivoisement mutuel de ces deux orients si éloignés fut un long travail de balbutiements, d’onomatopées, de borborygmes : au terme d‘une « transformation silencieuse » pour reprendre les mots de François Jullien, Yom et Wang Li ont créé leur lexique musical, un nouveau langage, ni sino-judaïque, ni judéo-chinois, résolument traditionnel, décidément contemporain, violemment respectueux.
Le terrain de cette confrontation, de cette connivence, fut également, en cette période troublée et troublante, une inquiétude partagée face aux dérives des nationalismes exacerbés et aux ravages causés par l’homme à la nature.
Green Apocalypse : un aboutissement esthétique et humain, un manifeste musical et écologique.
Il existe aussi une version courte de cette histoire :
Un juif et un Chinois (l’un n’empêchant pas l’autre), tous deux férus de musiques traditionnelles, tous deux habités de souci spirituel et d’inquiétude climatique, se rencontrèrent un beau jour au Musée des Arts Premiers et décidèrent de travailler ensemble.
Quelques laps plus tard, ils s’aperçurent qu’ils éprouvaient l’un pour l’autre amitié et respect. Il décidèrent donc d’enregistrer un disque écologiste et se déclarèrent aptes à représenter, parmi d’autres, la France d’aujourd’hui (mais peut-être pas à l’Eurovision).