Walid Ben Selim
Here And Now
Sortie le 11 octobre 2024
Label: Nuun Music
Here and Now – VASTES HORIZONS DE LA POESIE SOUFIE
« Ici et maintenant, entre les débris du chose et du rien nous vivant dans les faubourgs de l’Éternité » Darwich
Ce sont des encres enchantées qui ont noirci des feuilles millénaires, des mots, des vers et des paroles de sages, Ibn Arabi, Rumi, Ibn Fared, Kabir, quand la poésie « soufie » se chante en occident et rejoint la sérénité du bouddhisme pour nous relier à nos sources et à nos ancêtres.
« Ici et maintenant, entre les débris du chose et du rien nous vivant dans les faubourgs de l’Éternité » Darwich
Ce sont des encres enchantées qui ont noirci des feuilles millénaires, des mots, des vers et des paroles de sages, Ibn Arabi, Rumi, Ibn Fared, Kabir, quand la poésie « soufie » se chante en occident et rejoint la sérénité du bouddhisme pour nous relier à nos sources et à nos ancêtres.
Ce sont des encres enchantées qui ont noirci des feuilles millénaires, des mots, des vers et des paroles de sages, Ibn Arabi, Rumi, Ibn Fared, Kabir, quand la poésie « soufie » se chante en occident et rejoint la sérénité du bouddhisme pour nous relier à nos sources et à nos ancêtres.
Cristalliser les mots, pour se rapprocher de la réalité du monde, dire toute la complexité de la vie en sublimant le langage, pour en utiliser que l’essence, c’est le rôle de la poésie.
Here and now, est l’occasion de vivre cette expérience en créant un pont entre les cultures et les époques qui ont vu dans la musique la forme la plus proche de la vibration première et, dans la poésie la sublime expression de la vie.
C’est dans ce sens que la fusion opère. La musique est, pour nous, le plus beau choc des cultures, la plus belle des langues, car elle permet de transcender les conditions humaines et d’exhiber la beauté et l’unité de tous les êtres, car elle survole les différences et n’a qu’un seul objectif, enchanter.
Le courant soufie des débuts s’inscrit entièrement dans cette démarche, la transcendance, la relation entre le visible et l’inaccessible, l’ouverture sur l’autre et la recherche en soi, sans figer la réponse.
« a joie triomphale qui anime le cosmos».
Quant au choix des textes, je veux présenter une poésie avec une autre vision universaliste de la philosophie en langue arabe. L’Amour comme moteur, l’amour du partage et de la transmission, pour faire de ce projet une première étape vers une aventure plus grande, qui rassemblera plusieurs personnes autour de la poésie et de la note musicale, peu importe le territoire, peu importe l’instrument, peu importe la langue et peu importe la signification qu’on donne à la «musique du mon- de», du moment qu’il y a monde dedans. » W.B.S
Cristalliser les mots, pour se rapprocher de la réalité du monde, dire toute la complexité de la vie en sublimant le langage, pour en utiliser que l’essence, c’est le rôle de la poésie.
Here and now, est l’occasion de vivre cette expérience en créant un pont entre les cultures et les époques qui ont vu dans la musique la forme la plus proche de la vibration première et, dans la poésie la sublime expression de la vie.
C’est dans ce sens que la fusion opère. La musique est, pour nous, le plus beau choc des cultures, la plus belle des langues, car elle permet de transcender les conditions humaines et d’exhiber la beauté et l’unité de tous les êtres, car elle survole les différences et n’a qu’un seul objectif, enchanter.
Le courant soufie des débuts s’inscrit entièrement dans cette démarche, la transcendance, la relation entre le visible et l’inaccessible, l’ouverture sur l’autre et la recherche en soi, sans figer la réponse.
« a joie triomphale qui anime le cosmos».
Quant au choix des textes, je veux présenter une poésie avec une autre vision universaliste de la philosophie en langue arabe. L’Amour comme moteur, l’amour du partage et de la transmission, pour faire de ce projet une première étape vers une aventure plus grande, qui rassemblera plusieurs personnes autour de la poésie et de la note musicale, peu importe le territoire, peu importe l’instrument, peu importe la langue et peu importe la signification qu’on donne à la «musique du mon- de», du moment qu’il y a monde dedans. » W.B.S
Chanteur humaniste et compositeur aux formes multiples, amoureux de la poésie à laquelle il dédie son parcours artistique, Créateur du collectif artistique N3rdistan, Walid Ben Selim est né à Casablanca un soir de Septembre 1984, dans la vieille médina, entre le port commercial et la criée. Élève doué et impertinent qui s’inspire des paradoxes de la société et de l’insoumission dès son enfance. Il est élevé par sa mère, avocate engagée dans les causes sociales et militante de gauche, qui fût à la fois sa référence et son soutien dans sa passion pour la musique et qui l’inscrit à l’âge de 6 ans au Conservatoire de Casablanca. Il quitte le Maroc en 2003, après avoir été l’un des fondateurs du mouvement « Nayda », pour rejoindre la France où il poursuit ses études et sa passion.
En 2010, Walid se fait remarqué par le Gowri Art Institut au Kerala, qui l’invite pour une résidence de création sous la direction de Sajitha Shankar, c’est à ce moment là qu’il se replonge dans la poésie arabe, notamment avec Abu Al Alaa Al Maari et El Hallaj.
De retour en France, il pose les bases de la création sonore de N3rdistan qui, deux ans plus tard, sera Inouï de Printemps de Bourges et révélation Visa For Music 2015.
Après plus de 200 concerts avec N3rdistan, notamment à, Jazz sous les pommiers, Oslo World Festival, L’boulevard, Timitar, Journées Musicales de Carthage, Les Suds Arles, Beau Regard, Les Déferlantes, Liverpool World Festival, Montreal Arabe Festival, Walid retrouve le chemin de son studio pour travailler de nouvelles sonorités, et signe notamment une création originale mêlant théâtre et poésie musicale autour de textes de Mahmoud Darwich. Après avoir composé la musique de plusieurs courts métrages et du documentaire « Women SenseTour », il signe, en 2018, la musique du long métrage marocain « Une urgence ordinaire » de Mohcine Besri. il enchaîne les concerts et les invitations,notamment au festival de Musique Sacrée de Fez, Sacred Spirit Festival de Jodhpur (Inde) et Recbeat au Brésil et par la fondation Mahmoud Darwich pour une tournée en Palestine.
Walid Ben Selim devient artiste associé au Silo et Uni’sons en 2019, avec la scène nationale de Sète et l’Opera de Montpellier, il est sollicité par le Festival Arabesques pour créer autour de l’oeuvre de Darwich « Le lanceur de dès » une pièce entre théâtre et musique, où il écrit et dirige pour les musiciens de l’Opéra. Il signe en 2021, la musique du film « Sidi Valentin » de Hicham Laasri sur Netflix, suivi de son long métrage « Haych Maych » en 2022.
En Octobre 2021, Walid est invité à la Symphonie de Miami pour faire l’ouverture du Oslo World Human Right.
Retranché dans un château cathare dans les Pyrénées Orientales, il y installe son laboratoire sonore, et y enregistre ses titres en invitant en résidence son cercle artistique, avec la poésie comme diapason, pour créer des Espaces Poétiques où se mêlent poètes, comédiens et musiciens.
En 2010, Walid se fait remarqué par le Gowri Art Institut au Kerala, qui l’invite pour une résidence de création sous la direction de Sajitha Shankar, c’est à ce moment là qu’il se replonge dans la poésie arabe, notamment avec Abu Al Alaa Al Maari et El Hallaj.
De retour en France, il pose les bases de la création sonore de N3rdistan qui, deux ans plus tard, sera Inouï de Printemps de Bourges et révélation Visa For Music 2015.
Après plus de 200 concerts avec N3rdistan, notamment à, Jazz sous les pommiers, Oslo World Festival, L’boulevard, Timitar, Journées Musicales de Carthage, Les Suds Arles, Beau Regard, Les Déferlantes, Liverpool World Festival, Montreal Arabe Festival, Walid retrouve le chemin de son studio pour travailler de nouvelles sonorités, et signe notamment une création originale mêlant théâtre et poésie musicale autour de textes de Mahmoud Darwich. Après avoir composé la musique de plusieurs courts métrages et du documentaire « Women SenseTour », il signe, en 2018, la musique du long métrage marocain « Une urgence ordinaire » de Mohcine Besri. il enchaîne les concerts et les invitations,notamment au festival de Musique Sacrée de Fez, Sacred Spirit Festival de Jodhpur (Inde) et Recbeat au Brésil et par la fondation Mahmoud Darwich pour une tournée en Palestine.
Walid Ben Selim devient artiste associé au Silo et Uni’sons en 2019, avec la scène nationale de Sète et l’Opera de Montpellier, il est sollicité par le Festival Arabesques pour créer autour de l’oeuvre de Darwich « Le lanceur de dès » une pièce entre théâtre et musique, où il écrit et dirige pour les musiciens de l’Opéra. Il signe en 2021, la musique du film « Sidi Valentin » de Hicham Laasri sur Netflix, suivi de son long métrage « Haych Maych » en 2022.
En Octobre 2021, Walid est invité à la Symphonie de Miami pour faire l’ouverture du Oslo World Human Right.
Retranché dans un château cathare dans les Pyrénées Orientales, il y installe son laboratoire sonore, et y enregistre ses titres en invitant en résidence son cercle artistique, avec la poésie comme diapason, pour créer des Espaces Poétiques où se mêlent poètes, comédiens et musiciens.
Marie-Marguerite commence la musique auprès de Reine Terreau-Le Querrec au C.N.R. de Perpignan.
Dès l’âge de 11 ans, elle participe au Concours National organisé par Radio France et obtient une première médaille en Musique d’Ensemble. Un an plus tard, c’est une première mention qui la récompense aux Journées de la Harpe à Cassis et à 14 ans, elle se verra attribuer le premier accessit au concours de l’U.F.A.M.
Elle entre ensuite dans la classe de Evelyne Haut La Bourdette au C.N.R. de Montpellier et obtient les Médailles d’Or avec mention Très Bien à l’unanimité du jury en harpe et musique de chambre. Dès ses 15 ans, et durant 2 ans, elle est membre d’un sextuor de harpes créé sous la direction de Philippe Le Querrec. Depuis, elle se produit en accompagnant chorales et orchestres lors de leurs diverses représentations et également en concert dans différentes formations de musique de chambre.
Parallèlement à son cursus musical et ses prestations en concerts, elle a poursuivi des études à l’Université et obtient les diplômes de Master 1 en psychologie clinique, psychanalyse et le titre de musicothérapeute. Elle choisit cependant son premier amour, la harpe, et se passionne pour l’enseignement qu’elle dispense depuis plusieurs années à l’école de musique de petite Camargue.
Dès l’âge de 11 ans, elle participe au Concours National organisé par Radio France et obtient une première médaille en Musique d’Ensemble. Un an plus tard, c’est une première mention qui la récompense aux Journées de la Harpe à Cassis et à 14 ans, elle se verra attribuer le premier accessit au concours de l’U.F.A.M.
Elle entre ensuite dans la classe de Evelyne Haut La Bourdette au C.N.R. de Montpellier et obtient les Médailles d’Or avec mention Très Bien à l’unanimité du jury en harpe et musique de chambre. Dès ses 15 ans, et durant 2 ans, elle est membre d’un sextuor de harpes créé sous la direction de Philippe Le Querrec. Depuis, elle se produit en accompagnant chorales et orchestres lors de leurs diverses représentations et également en concert dans différentes formations de musique de chambre.
Parallèlement à son cursus musical et ses prestations en concerts, elle a poursuivi des études à l’Université et obtient les diplômes de Master 1 en psychologie clinique, psychanalyse et le titre de musicothérapeute. Elle choisit cependant son premier amour, la harpe, et se passionne pour l’enseignement qu’elle dispense depuis plusieurs années à l’école de musique de petite Camargue.