Violons Barbares
Wolf’s Cry
Sortie le 27 avril 2018
Label : Violons Barbares
En véritables punks des steppes, voilà une décennie que Violons Barbares embrasent les scènes à coups d’archets furieux et de percussions sauvages, laissant chaque fois derrière eux des auditoires médusés.
En véritables punks des steppes, voilà une décennie que Violons Barbares embrasent les scènes à coups d’archets furieux et de percussions sauvages, laissant chaque fois derrière eux des auditoires médusés.
Un bulgare (Dimitar Gougov) à la gadulka (violons aux 14 cordes), un mongol (Dandarvaanchig Enhkjargal, surnommé Epi) au morin khoor (violon à tête de cheval) et un français (Fabien Guyot) aux percussions - telle est la composition de ce trio atypique et particulièrement fougueux.
Leur troisième album, Wolf’s Cry (ou le Cri du loup) est le fuit de l’énergie brute et unique. Comme un cri animal adressé à la meute, Violons Barbares reviennent avec leurs galops effrénés, délires balkaniques, vertiges de voix mongoles et autres pulsions rock’n roll.
Dans ce nouvel album, le trio démontre une fois encore leur que leurs instruments acoustiques peuvent rivaliser avec la puissance électrique.
● Dimitar Gougov.
Né en Bulgarie, Dimitar baigne depuis son enfance dans les musiques traditionnelles. Disciple du grand maître de la gadulka Atanas Vultchev et membre de l’orchestre de l’ensemble Philippe Koutev, il part vers la France en 2000 et s’installe à Strasbourg où il crée les groupes Boyaet Violons Barbares. Il écrit et arrange des chants pour des voix de femmes et anime des stages de musique des Balkans.
● Dandarvaanchig Enhkjargal.
Né à Ulan Bator, Mongolie, il grandit en traversant la taïga avec sa famille et leurs troupeaux de chevaux. Il étudie la musique au conservatoire d’Ulan Baator et devient disciple du célèbre maître du morin khoor Professeur Jamjan. Depuis 1989, il vit en Europe (Allemagne) et donne de nombreux concerts avec des musiciens issus de la World Music.
● Fabien Guyot
Après un parcours en musique classique au CNR de Nice, il se tourne vers les percussions digitales perses et maghrébines pour finalement ouvrir son horizon sonore à tout ce qui serait susceptible de bruiter...Percussionniste au sein du collectif strasbourgeois L’Assoce Pikante (Shézar, Grand Ensemble de la Méditerranée, Hijâz Car), il participe actuellement sur scène aux projets Les Violons Barbares, Furieuz Casrols (trio de percussions recyclées), Les Cavaliers de l’Aurès (création Houria Aichi et L’Hijâz Car) ou l’Electrik GEM (big band méditerranéen électrifié).
Un bulgare (Dimitar Gougov) à la gadulka (violons aux 14 cordes), un mongol (Dandarvaanchig Enhkjargal, surnommé Epi) au morin khoor (violon à tête de cheval) et un français (Fabien Guyot) aux percussions - telle est la composition de ce trio atypique et particulièrement fougueux.
Leur troisième album, Wolf’s Cry (ou le Cri du loup) est le fuit de l’énergie brute et unique. Comme un cri animal adressé à la meute, Violons Barbares reviennent avec leurs galops effrénés, délires balkaniques, vertiges de voix mongoles et autres pulsions rock’n roll.
Dans ce nouvel album, le trio démontre une fois encore leur que leurs instruments acoustiques peuvent rivaliser avec la puissance électrique.
● Dimitar Gougov.
Né en Bulgarie, Dimitar baigne depuis son enfance dans les musiques traditionnelles. Disciple du grand maître de la gadulka Atanas Vultchev et membre de l’orchestre de l’ensemble Philippe Koutev, il part vers la France en 2000 et s’installe à Strasbourg où il crée les groupes Boyaet Violons Barbares. Il écrit et arrange des chants pour des voix de femmes et anime des stages de musique des Balkans.
● Dandarvaanchig Enhkjargal.
Né à Ulan Bator, Mongolie, il grandit en traversant la taïga avec sa famille et leurs troupeaux de chevaux. Il étudie la musique au conservatoire d’Ulan Baator et devient disciple du célèbre maître du morin khoor Professeur Jamjan. Depuis 1989, il vit en Europe (Allemagne) et donne de nombreux concerts avec des musiciens issus de la World Music.
● Fabien Guyot
Après un parcours en musique classique au CNR de Nice, il se tourne vers les percussions digitales perses et maghrébines pour finalement ouvrir son horizon sonore à tout ce qui serait susceptible de bruiter...Percussionniste au sein du collectif strasbourgeois L’Assoce Pikante (Shézar, Grand Ensemble de la Méditerranée, Hijâz Car), il participe actuellement sur scène aux projets Les Violons Barbares, Furieuz Casrols (trio de percussions recyclées), Les Cavaliers de l’Aurès (création Houria Aichi et L’Hijâz Car) ou l’Electrik GEM (big band méditerranéen électrifié).