Vanessa da Mata
Sim
Sortie le 6 juin 2008
Label : Discograph
Un ange brésilien déploie ses ailes sur l’été… Vanessa da Mata délivre un album à couper le souffle. La chanson Boa Sorte/Good Luck, en duo avec Ben Harper, atteint un sommet d’une rare intensité…
Vanessa da Mata est un véritable phénomène au Brésil. Acclamée par la presse, déjà récompensée par un album de platine au Brésil et au Portugal, la jeune chanteuse arrive enfin en France...
Sim, premier album en France est en réalité son troisième album ; produit par Mario Caldato (producteur de Jack Johnson, Beastie Boys, Beck, ...), plusieurs titres ont été réalisés par Sly & Robbie (producteurs de Serge Gainsbourg, Grace Jones, et tant d’autres...). Et compte surtout une collaboration unique, à la beauté simple, naturelle, évidente : la chanson Boa Sorte/Good Luck a été écrite, composée et interprétée en duo avec Ben Harper. Le succès de ce titre sur Youtube est sidérant : plus de 4 millions de streamings à ce jour...! Et la chanson est déjà numéro 1 des radios brésiliennes, portugaises, suisses...
L’album navigue entre bossa nova (dont les 50 ans sont célébrés cette année), pop et reggae, porté par une voix à la douceur enchanteresse... "Sim" ("Oui") symbolise pour Vanessa "une réponse positive à la vie".
Vanessa da Mata est née en 1976, à Alto Garças, Mato Grosso – une petite ville entourée de rivières et cascades, située à 400 kilomètres de Cuiabá, la capitale de l´Etat. Autodidacte, elle s’est imprégnée tout au long de son enfance des classiques de la musique brésilienne : Luiz Gonzaga, Tom Jobim, Milton Nascimento, Orlando Silva... À 14 ans, elle déménage à Uberlândia, Minas Gerais, à 1200 kms de Alto Garças. Elle y part seule, avec l’intention première d’y étudier médecine. Mais dès l’âge de 15 ans, elle chante et commence à se produire dans des cafés de la ville...
En 1992, elle gagne São Paulo, enchaîne les concerts, les rencontres, et rejoint la formation jamaïcaine Black Uhuru. Insatiable, elle trouve encore le temps de poursuivre conjointement une carrière de mannequin et une carrière de joueuse de basket.
En 1997, première rencontre décisive : elle compose avec Chico César la chanson "A força que nunca seca", qui sera enregistrée par Maria Bethânia, nommée au Grammy Awards. Le Brésil découvrait une grande compositrice. Et Vanessa de multiplier les participations scèniques : Milton Nascimento, Maria Bethânia, Baden Powell...
Après le succès d’estime de son premier album, "Essa boneca tem manual", paru en 2004 (son second album), reçoit un disque de platine au Brésil, et un des titres ("Ai ai ai...") a été le morceau le plus joué à la radio nationale en 2006 !
Vanessa da Mata se place en tête de liste des meilleurs talents de la nouvelle génération de la Musique Populaire Brésilienne (MPB).
L’histoire de "Boa sorte / Good luck" tient en quelques lignes. "Lorsque j’ai enregistré cette chanson, j’avais l’impression qu´elle n´était pas terminée, que quelque chose manquait. C’est à cette période que j’ai eu la chance de rencontrer l’immense Ben Harper, presque par hasard... Quelques temps après, je lui ai chantonné la mélodie au téléphone. Simplement, naturellement. Et il a trouvé immédiatement les mots justes pour répondre aux paroles en portugais, comme touché par l’évidence du texte et par la douceur de la mélodie. Le résultat est surprenant : deux personnes vivant de part et d’autre de l’équateur, parlant une langue différente, et chantant la même chanson en duo ; Boa Sorte/Good Luck traite du thème de la séparation...".
Sim, premier album en France est en réalité son troisième album ; produit par Mario Caldato (producteur de Jack Johnson, Beastie Boys, Beck, ...), plusieurs titres ont été réalisés par Sly & Robbie (producteurs de Serge Gainsbourg, Grace Jones, et tant d’autres...). Et compte surtout une collaboration unique, à la beauté simple, naturelle, évidente : la chanson Boa Sorte/Good Luck a été écrite, composée et interprétée en duo avec Ben Harper. Le succès de ce titre sur Youtube est sidérant : plus de 4 millions de streamings à ce jour...! Et la chanson est déjà numéro 1 des radios brésiliennes, portugaises, suisses...
L’album navigue entre bossa nova (dont les 50 ans sont célébrés cette année), pop et reggae, porté par une voix à la douceur enchanteresse... "Sim" ("Oui") symbolise pour Vanessa "une réponse positive à la vie".
Vanessa da Mata est née en 1976, à Alto Garças, Mato Grosso – une petite ville entourée de rivières et cascades, située à 400 kilomètres de Cuiabá, la capitale de l´Etat. Autodidacte, elle s’est imprégnée tout au long de son enfance des classiques de la musique brésilienne : Luiz Gonzaga, Tom Jobim, Milton Nascimento, Orlando Silva... À 14 ans, elle déménage à Uberlândia, Minas Gerais, à 1200 kms de Alto Garças. Elle y part seule, avec l’intention première d’y étudier médecine. Mais dès l’âge de 15 ans, elle chante et commence à se produire dans des cafés de la ville...
En 1992, elle gagne São Paulo, enchaîne les concerts, les rencontres, et rejoint la formation jamaïcaine Black Uhuru. Insatiable, elle trouve encore le temps de poursuivre conjointement une carrière de mannequin et une carrière de joueuse de basket.
En 1997, première rencontre décisive : elle compose avec Chico César la chanson "A força que nunca seca", qui sera enregistrée par Maria Bethânia, nommée au Grammy Awards. Le Brésil découvrait une grande compositrice. Et Vanessa de multiplier les participations scèniques : Milton Nascimento, Maria Bethânia, Baden Powell...
Après le succès d’estime de son premier album, "Essa boneca tem manual", paru en 2004 (son second album), reçoit un disque de platine au Brésil, et un des titres ("Ai ai ai...") a été le morceau le plus joué à la radio nationale en 2006 !
Vanessa da Mata se place en tête de liste des meilleurs talents de la nouvelle génération de la Musique Populaire Brésilienne (MPB).
L’histoire de "Boa sorte / Good luck" tient en quelques lignes. "Lorsque j’ai enregistré cette chanson, j’avais l’impression qu´elle n´était pas terminée, que quelque chose manquait. C’est à cette période que j’ai eu la chance de rencontrer l’immense Ben Harper, presque par hasard... Quelques temps après, je lui ai chantonné la mélodie au téléphone. Simplement, naturellement. Et il a trouvé immédiatement les mots justes pour répondre aux paroles en portugais, comme touché par l’évidence du texte et par la douceur de la mélodie. Le résultat est surprenant : deux personnes vivant de part et d’autre de l’équateur, parlant une langue différente, et chantant la même chanson en duo ; Boa Sorte/Good Luck traite du thème de la séparation...".