The Volunteered Slaves
24 - Deuxième single
Sortie le 15 avril 2021
Label: Day After Music
Evocation d’un voyage dans le 24 ème monde où un son venu de nulle part téléporte le voyageur dans un univers affranchi du temps et de l’espace.
Depuis leur création, The Volunteered Slaves aiment évoluer en altitude. Avec SpaceShipOne, ils se hissent encore plus haut pour atteindre des sommets jazz éternels.
Né dans la ferveur du Festival Jazz In Marciac en 2002, le groupe, dont le nom est inspiré par l’album Volunteered Slavery de Roland Kirk paru en 1969, réunit des personnalités hautes en couleur et des talents affûtés : Olivier Temime au saxophone, Emmanuel Duprey au piano Rhodes, Akim Bournane à la basse et Julien Charlet à la batterie. Les irréductibles seront rejoints en 2016 par l'organiste Emmanuel Bex.
Dès le départ, ils décident de ne rien décider et improvisent une musique au-dessus des genres et des chapelles. Jazz, funk ou afro, nul ne sait où ils habitent mais ils donnent instantanément envie d'y vivre aussi.
Véritable collectif de jazz protéiforme, ils enchainent les albums, Streetwise (2005), Breakfast in Babylone (2009), The Day Aflter (2012) ou Ripcord (2017) et dessinent une musique à la fois roots et très ancrée dans le sol, mais aussi aérienne, presque planante. En live, les corps et les esprits s'échauffent : même les clubs de jazz les plus feutrés peuvent se transformer en dancefloor.
Avec SpaceShipOne, The Volunteered Slaves ne visent plus le ciel mais l'espace. La musique, toujours organique, se charge d'électro. La poésie est bien là, entre lyrisme et transe.
Le groupe est entré en cabine d'enregistrement en mars 2020, pour une mise en orbite de l'album deux mois après le solstice d’été de 2021.
En attendant cet évènement qui ne se produit qu’une seule fois tous les 4 ou 5 ans, le combo vient de sortir Astronaef en avant-première le 15 janvier 2021, titre annonciateur à la fois planant et groovy qui sonne comme une pulsation de l’âme et nous emmène sur une planète où règne une musique aux influences multiples.
Né dans la ferveur du Festival Jazz In Marciac en 2002, le groupe, dont le nom est inspiré par l’album Volunteered Slavery de Roland Kirk paru en 1969, réunit des personnalités hautes en couleur et des talents affûtés : Olivier Temime au saxophone, Emmanuel Duprey au piano Rhodes, Akim Bournane à la basse et Julien Charlet à la batterie. Les irréductibles seront rejoints en 2016 par l'organiste Emmanuel Bex.
Dès le départ, ils décident de ne rien décider et improvisent une musique au-dessus des genres et des chapelles. Jazz, funk ou afro, nul ne sait où ils habitent mais ils donnent instantanément envie d'y vivre aussi.
Véritable collectif de jazz protéiforme, ils enchainent les albums, Streetwise (2005), Breakfast in Babylone (2009), The Day Aflter (2012) ou Ripcord (2017) et dessinent une musique à la fois roots et très ancrée dans le sol, mais aussi aérienne, presque planante. En live, les corps et les esprits s'échauffent : même les clubs de jazz les plus feutrés peuvent se transformer en dancefloor.
Avec SpaceShipOne, The Volunteered Slaves ne visent plus le ciel mais l'espace. La musique, toujours organique, se charge d'électro. La poésie est bien là, entre lyrisme et transe.
Le groupe est entré en cabine d'enregistrement en mars 2020, pour une mise en orbite de l'album deux mois après le solstice d’été de 2021.
En attendant cet évènement qui ne se produit qu’une seule fois tous les 4 ou 5 ans, le combo vient de sortir Astronaef en avant-première le 15 janvier 2021, titre annonciateur à la fois planant et groovy qui sonne comme une pulsation de l’âme et nous emmène sur une planète où règne une musique aux influences multiples.
Après 20 ans d’existence et 5 albums sur plusieurs maisons de disques, le groupe s’affranchît et décide de créer son propre label. Produire ses propres projets discographiques et scéniques, diffuser ses albums précédents et accompagner les projets musicaux amis des membres du band, nos créations en tant que sidemen ou leaders est apparu comme une évidence. Paru en 2012, l’album Day After Music faisait référence à la fin du monde telle annoncée par les Mayas et à un mémorable concert au Duc des Lombards le 21.12.2012 lors duquel aucune météorite n’a manifestement transpercé le ciel alors que le feu était sur scène. Autre ironie du sort, le lancement du label devait coïncider avec l’enregistrement en Bretagne de l’album. C’était le 14 mars 2020, 2 jours avant le premier confinement, qui leur fit écourter les séances et rentrer ventre à terre du golfe du Morbihan après un seul jour de prises. L’album a finalement été enregistré en juin 2020. C’était Le Jour d’Après ?