Souleance
Beautiful
Sortie le 6 octobre 2023
Label: Heavenly Swetness
Quelle notion plus subjective que la beauté ?
Dans l’absolu, on apprécie tous ce qui est beau. Dans la réalité, qu’elle soit spirituelle ou physique, chacun en a sa propre définition. Un repas entre amis, un bon disque, un paysage qui se prête à goûter le temps qui passe.
Dans l’absolu, on apprécie tous ce qui est beau. Dans la réalité, qu’elle soit spirituelle ou physique, chacun en a sa propre définition. Un repas entre amis, un bon disque, un paysage qui se prête à goûter le temps qui passe.
Quelle notion plus subjective que la beauté ?
Dans l’absolu, on apprécie tous ce qui est beau. Dans la réalité, qu’elle soit spirituelle ou physique, chacun en a sa propre définition. Un repas entre amis, un bon disque, un paysage qui se prête à goûter le temps qui passe.
Apprécier autant qu’admirer la beauté, plus qu’un art, le duo Souleance en a fait une règle de vie. Retranscrire en musique ces moments qui traversent et habitent leur quotidien, en faire le carburant de leurs créations, c’est avec cette ligne artistique inflexible que le duo signe son arrivée beautiful, chez Heavenly Sweetness.
Toujours adepte des collages sonores et du sampling, Souleance s’est ici engagé sur une voie plus riche en instruments. Fulgeance en mastermind, à la fois aux claviers, à la basse et au beatmaking ; Soulist en force motrice de la composition et des scratches. Une seule et unique directive : faire la musique qui les fait vibrer, sans contrainte de tendances ou de critères de beauté qui ne sont pas les leurs. Sans calque à poser sur un genre précis et définitif. L’important est qu'à l’écoute de Beautiful, chacun se sente vivant. Habité par les grooves, désarmé devant la force d’attraction de ces titres-bons moments.
La culture de la boucle héritée du hip hop toujours en embuscade, synthétiseurs analogiques et modulations de Moog habilleront ici d’une élégance jazz-funk 70s’ les intraitables beats claquants. Ailleurs, les ambiances clubs et leurs claviers cristallins, aidés de la grosse caisse, prendront le pouvoir. Des guitares viendront accrocher leur fanion auriverde sur la carlingue d’une navette spatiale, pour, ensuite, laisser la place à des riffs de piano aux glissandos discoïdes.
Rien n’est figé, la beauté est partout. Les voix en font partie
Attirés par le Brésil, la Turquie ou Israël, les micros se sont d’eux-mêmes dirigés vers Joao Selva pour un instant de poésie dans les rues de Rio, entre une mère et son fils. Descendus de La Réunion pour danser avec Kaloune & Papatef au son d’un accordéon hypnotisant tournant sur lui-même..., mis le cap vers l’Orient et l’Istanbul psyché-funk de Kit Sebastian. Enfin, se remettre un peu du périple, et danser à Tel-Aviv avec la soul de Jenny Penkin.
Parce que la musique est un langage qu’il n’est pas nécessaire de maîtriser pour être touché, Souleance a laissé parler au maximum son penchant naturel épicurien. Sans plan de vol défini au préalable autre que celui de savourer le moment de création autant que celui de l’écoute.
Quelle notion plus subjective que la beauté ?
Souleance en donne sa définition avec les quinze titres de Beautiful.
Dans l’absolu, on apprécie tous ce qui est beau. Dans la réalité, qu’elle soit spirituelle ou physique, chacun en a sa propre définition. Un repas entre amis, un bon disque, un paysage qui se prête à goûter le temps qui passe.
Apprécier autant qu’admirer la beauté, plus qu’un art, le duo Souleance en a fait une règle de vie. Retranscrire en musique ces moments qui traversent et habitent leur quotidien, en faire le carburant de leurs créations, c’est avec cette ligne artistique inflexible que le duo signe son arrivée beautiful, chez Heavenly Sweetness.
Toujours adepte des collages sonores et du sampling, Souleance s’est ici engagé sur une voie plus riche en instruments. Fulgeance en mastermind, à la fois aux claviers, à la basse et au beatmaking ; Soulist en force motrice de la composition et des scratches. Une seule et unique directive : faire la musique qui les fait vibrer, sans contrainte de tendances ou de critères de beauté qui ne sont pas les leurs. Sans calque à poser sur un genre précis et définitif. L’important est qu'à l’écoute de Beautiful, chacun se sente vivant. Habité par les grooves, désarmé devant la force d’attraction de ces titres-bons moments.
La culture de la boucle héritée du hip hop toujours en embuscade, synthétiseurs analogiques et modulations de Moog habilleront ici d’une élégance jazz-funk 70s’ les intraitables beats claquants. Ailleurs, les ambiances clubs et leurs claviers cristallins, aidés de la grosse caisse, prendront le pouvoir. Des guitares viendront accrocher leur fanion auriverde sur la carlingue d’une navette spatiale, pour, ensuite, laisser la place à des riffs de piano aux glissandos discoïdes.
Rien n’est figé, la beauté est partout. Les voix en font partie
Attirés par le Brésil, la Turquie ou Israël, les micros se sont d’eux-mêmes dirigés vers Joao Selva pour un instant de poésie dans les rues de Rio, entre une mère et son fils. Descendus de La Réunion pour danser avec Kaloune & Papatef au son d’un accordéon hypnotisant tournant sur lui-même..., mis le cap vers l’Orient et l’Istanbul psyché-funk de Kit Sebastian. Enfin, se remettre un peu du périple, et danser à Tel-Aviv avec la soul de Jenny Penkin.
Parce que la musique est un langage qu’il n’est pas nécessaire de maîtriser pour être touché, Souleance a laissé parler au maximum son penchant naturel épicurien. Sans plan de vol défini au préalable autre que celui de savourer le moment de création autant que celui de l’écoute.
Quelle notion plus subjective que la beauté ?
Souleance en donne sa définition avec les quinze titres de Beautiful.
