Setenta
We Latin Like That
Sortie le 9 novembre 2018
Label : Latin Big Note
Setenta. Qu’ils soient débutants ou confirmés, les danseurs de salsa connaissent cette passe qui étourdit un peu plus la cavalière pour la faire succomber définitivement.
SETENTA. Qu’ils soient férus du genre ou auditeurs éclairés, les amateurs du son Nuyorican connaissent ce groupe.
Ce septet parisien fédéré par le chanteur-percussionniste Osman Jr. qui, depuis 2006, rallie sous un seul groove musiques caribéennes et afro-cubaines, le mambo, le boogaloo. Préférant l’originalité à la copie calquée, et même si la vibration moite et brûlante du Spanish Harlem de Joe Bataan (avec qui le groupe a fait la tournée Joe Bataan Meets Setenta ) reste sa fondation principale, SETENTA a toujours préféré emprunter les rues latérales pour y ramener du funk, du hip hop, ou du jazz, plutôt que de rester tranquillement sur la route balisée et éclairée. Basse, batterie, guitare, claviers et tonnerre de percussions, en trois albums, Setenta aura veillé à ne jamais se figer dans le code de chacun des genres.
Pour We Latin Like That, leur quatrième album, c’est dans un sillon plus soul que SETENTA a décidé de faire courir son diamant. Latin soul, évidemment.
SETENTA. Qu’ils soient férus du genre ou auditeurs éclairés, les amateurs du son Nuyorican connaissent ce groupe.
Ce septet parisien fédéré par le chanteur-percussionniste Osman Jr. qui, depuis 2006, rallie sous un seul groove musiques caribéennes et afro-cubaines, le mambo, le boogaloo. Préférant l’originalité à la copie calquée, et même si la vibration moite et brûlante du Spanish Harlem de Joe Bataan (avec qui le groupe a fait la tournée Joe Bataan Meets Setenta ) reste sa fondation principale, SETENTA a toujours préféré emprunter les rues latérales pour y ramener du funk, du hip hop, ou du jazz, plutôt que de rester tranquillement sur la route balisée et éclairée. Basse, batterie, guitare, claviers et tonnerre de percussions, en trois albums, Setenta aura veillé à ne jamais se figer dans le code de chacun des genres.
Pour We Latin Like That, leur quatrième album, c’est dans un sillon plus soul que SETENTA a décidé de faire courir son diamant. Latin soul, évidemment.
Setenta. Qu’ils soient débutants ou confirmés, les danseurs de salsa connaissent cette passe qui étourdit un peu plus la cavalière pour la faire succomber définitivement.
SETENTA. Qu’ils soient férus du genre ou auditeurs éclairés, les amateurs du son Nuyorican connaissent ce groupe.
Ce septet parisien fédéré par le chanteur-percussionniste Osman Jr. qui, depuis 2006, rallie sous un seul groove musiques caribéennes et afro-cubaines, le mambo, le boogaloo. Préférant l’originalité à la copie calquée, et même si la vibration moite et brûlante du Spanish Harlem de Joe Bataan (avec qui le groupe a fait la tournée Joe Bataan Meets Setenta ) reste sa fondation principale, SETENTA a toujours préféré emprunter les rues latérales pour y ramener du funk, du hip hop, ou du jazz, plutôt que de rester tranquillement sur la route balisée et éclairée. Basse, batterie, guitare, claviers et tonnerre de percussions, en trois albums, Setenta aura veillé à ne jamais se figer dans le code de chacun des genres.
Pour We Latin Like That, leur quatrième album, c’est dans un sillon plus soul que SETENTA a décidé de faire courir son diamant. Latin soul, évidemment.
Un album pour lequel le studio aura été abordé comme un lieu de créativité puissant, chacun s’y rendant avec l’envie et la volonté de créer et enregistrer.
Ensemble, cela va de soi. Sans collaborations ni coups de mains extérieurs.
Uniquement le noyau dur de sept musiciens qui, dans la composition comme l’interprétation, aura desserré sa bride pour se projeter encore plus loin, ouvrant son groove à des sonorités carnaval, du funk léché, ou nouant des connexions inédites entre les vibrations de Porto Rico et les Antilles. Le micro partagé entre trois des membres, le choix de l’anglais, de l’espagnol voire du créole dicté par la vibe du titre.
Capable de sophistication ou d’explorations psychés 70’s à la force des Moog et Clavinet. SETENTA révèle aussi ici une facette redoutablement dancefloor, la production maitrisée d’Osman Jr. s’affirmant apte à affronter les pistes de danse les plus exigeantes comme de mettre en valeur des instrumentations dépouillées où les percussions mènent les hostilités, sans basse ni guitares.
Huit titres, quatre par face pour la version vinyle, là n’est pas le seul clin d’oeil que SETENTA envoie aux glorieux enregistrements des années 70. Car tout au long de son tracklisting, ce sont plusieurs clés et signaux que We Latin Like That dépose à l’attention des amateurs de musique latine…
SETENTA. Qu’ils soient férus du genre ou auditeurs éclairés, les amateurs du son Nuyorican connaissent ce groupe.
Ce septet parisien fédéré par le chanteur-percussionniste Osman Jr. qui, depuis 2006, rallie sous un seul groove musiques caribéennes et afro-cubaines, le mambo, le boogaloo. Préférant l’originalité à la copie calquée, et même si la vibration moite et brûlante du Spanish Harlem de Joe Bataan (avec qui le groupe a fait la tournée Joe Bataan Meets Setenta ) reste sa fondation principale, SETENTA a toujours préféré emprunter les rues latérales pour y ramener du funk, du hip hop, ou du jazz, plutôt que de rester tranquillement sur la route balisée et éclairée. Basse, batterie, guitare, claviers et tonnerre de percussions, en trois albums, Setenta aura veillé à ne jamais se figer dans le code de chacun des genres.
Pour We Latin Like That, leur quatrième album, c’est dans un sillon plus soul que SETENTA a décidé de faire courir son diamant. Latin soul, évidemment.
Un album pour lequel le studio aura été abordé comme un lieu de créativité puissant, chacun s’y rendant avec l’envie et la volonté de créer et enregistrer.
Ensemble, cela va de soi. Sans collaborations ni coups de mains extérieurs.
Uniquement le noyau dur de sept musiciens qui, dans la composition comme l’interprétation, aura desserré sa bride pour se projeter encore plus loin, ouvrant son groove à des sonorités carnaval, du funk léché, ou nouant des connexions inédites entre les vibrations de Porto Rico et les Antilles. Le micro partagé entre trois des membres, le choix de l’anglais, de l’espagnol voire du créole dicté par la vibe du titre.
Capable de sophistication ou d’explorations psychés 70’s à la force des Moog et Clavinet. SETENTA révèle aussi ici une facette redoutablement dancefloor, la production maitrisée d’Osman Jr. s’affirmant apte à affronter les pistes de danse les plus exigeantes comme de mettre en valeur des instrumentations dépouillées où les percussions mènent les hostilités, sans basse ni guitares.
Huit titres, quatre par face pour la version vinyle, là n’est pas le seul clin d’oeil que SETENTA envoie aux glorieux enregistrements des années 70. Car tout au long de son tracklisting, ce sont plusieurs clés et signaux que We Latin Like That dépose à l’attention des amateurs de musique latine…