Raphaël Imbert & Johan Farjot
Les 1001 Nuits du Jazz
Sortie le 6 mars 2020
Label : MDC / PIAS
Initiées par Guillaume Cornut dès la réouverture en 2017 du Bal Blomet – la salle mythique attachée à la légende de Joséphine Baker, l’un des premiers clubs de jazz européens créé en 1924 en pleine effervescence du Montparnasse des années folles – les 1001 nuits du Jazz donnent l’occasion au saxophoniste Raphaël Imbert et au pianiste Johan Farjot de nous raconter une autre histoire du jazz.
Avec Anne Paceo, Daniel Humair, Felipe Cabrera, Hugh Coltman…
Avec Anne Paceo, Daniel Humair, Felipe Cabrera, Hugh Coltman…
Initiées par Guillaume Cornut dès la réouverture en 2017 du Bal Blomet - la salle mythique attachée à la légende de Joséphine Baker, l’un des premiers clubs de jazz européens créé en 1924 en pleine effervescence du Montparnasse des années folles - les 1001 nuits du Jazz donnent l’occasion au saxophoniste Raphaël Imbert et au pianiste Johan Farjot de nous raconter une autre histoire du jazz.
Une histoire qui n’est pas une affaire de spécialistes, d’initiés ou de puristes, mais plutôt un conte qui s’adresse à tous pour mieux apprécier les mystères d’une musique multiple et créolisée, et qui n’arrête pas de se réinventer. Entourés à chaque séance de nouveaux invités, musiciens prestigieux - Anne Paceo, Daniel Humair, Felipe Cabrera, Hugh Coltman, etc. - comme de jeunes espoirs de demain, issus essentiellement du Centre des Musiques Didier Lockwood et du Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris, Raphaël et Johan nous invitent au partage d’une connaissance commune et ludique, où tout le monde, amateur comme néophyte, s’amusera à découvrir un nouvel élément de réflexion, et à satisfaire son appétit de swing, de groove, de liberté. Les 1001 nuits du jazz, c’est une « concérence » à travers les grandes et petites histoires d’une musique qui a construit notre époque, et qui continue de nourrir le lien entre les différents domaines de notre imaginaire collectif.
Une complicité inouïe au service d’un projet pédagogique et original.
« Je pourrais raconter que Johan Farjot à a peu près autant de prix du CNSM qu’il en existe ! Je pourrais dire que Johan Farjot est à l’aise dans la musique de chambre comme dans la pop anglaise, en passant par le jazz et la musique contemporaine. Je pourrais témoigner sur l’honneur du fait qu’il peut, dans la même journée, diriger Brahms, arranger Gershwin, composer avec son âme et faire swinguer comme personne un blues des années 30. Je pourrais dire à quel point son charisme et son intelligence artistique le rendent populaire et recherché par les productions les plus diverses et les plus prestigieuses. Mais si je disais tout cela, et bien plus encore, je ne ferais que dire ce que tout le monde affirme : Johan Farjot est un artiste unique et hors-norme ! Je préfère donc dire ce que je sais moi-même, Johan Farjot est un artiste de l’émotion intense, un curieux de tout, un amoureux des rencontres, une sensibilité originale qui fait mouche dans tous les cas, un fidèle en amitié comme en Art. »
Raphaël Imbert
« Raphaël Imbert est un improvisateur hors norme. Avant tout parce qu’il ne se cantonne pas à des frontières ou chapelles stylistiques ! Sa vision transversale de son art, son érudition connectée à la société, lui permettent de circuler à travers les musiques avec la volubilité du poète, quel que ce soit le monde sonore de ses partenaires (classique, jazz, contemporain, d’autres continents, etc.). Mais il ne s’agit pas là d’une approche intellectuelle - bien qu’il soit un penseur et un compositeur de très haut niveau -, il vit l’improvisation avec son cœur, avec la passion d’un artisan toujours en éveil sur l’évolution de sa pratique. »
Johan Farjot
TRACKLISTING
1. Blues For Angels (3’14)
In Memoriam Didier Lockwood
(Johan Farjot) Guests : Etudiants du CMDL
2. Gee, Baby, Ain’t I Good To You (3’13)
(Don Redman / Andy Razaf) Guests : Hugh Coltman - Chant, Julie Saury - Batterie, Etudiants du CNSMDP
3. Yekermo Sew (9’11)
(Mulatu Astatke) Guests : Anne Paceo - Batterie, Felipe Cabrera - Contrebasse, Jean-Jacques Elangué - Saxophone
4. All To Myself Alone (4’21)
(Ray Charles) Guests : Hugh Coltman - Chant, Julie Saury - Batterie, Etudiants du CNSMDP
5. Redemption Song (4’52)
(Bob Marley) Guests : Aurore Imbert - Chant, Anne Paceo - Batterie, Felipe Cabrera - Contrebasse, Jean-Jacques Elangué - Saxophone
6. Improvisation - Hommage à John Coltrane (4’03)
(Daniel Humair) Guests : Daniel Humair – Batterie, Damien Varaillon - Contrebasse
7. Gravenstein (2’55)
(Daniel Humair) Guests : Daniel Humair – Batterie, Damien Varaillon - Contrebasse
8. The Mooche (6’08)
(Duke Ellington) Guests : Pascal Mabit – Saxophone, Quentin Lourties – Trompette, Cyril Galamini – Trombone, Etudiants du CMDL
9. Sweet Home Chicago (5’21)
(Robert Johnson) Guests : Amandine Bourgeois – Chant, Aurélien Naffrichoux – Guitare
10. Memphis March (4’38)
(Raphaël Imbert) Guests : Etudiants du CMDL
11. De quoi le jazz est-il le nom ? (7’58)
Texte de Raphaël Imbert
Une histoire qui n’est pas une affaire de spécialistes, d’initiés ou de puristes, mais plutôt un conte qui s’adresse à tous pour mieux apprécier les mystères d’une musique multiple et créolisée, et qui n’arrête pas de se réinventer. Entourés à chaque séance de nouveaux invités, musiciens prestigieux - Anne Paceo, Daniel Humair, Felipe Cabrera, Hugh Coltman, etc. - comme de jeunes espoirs de demain, issus essentiellement du Centre des Musiques Didier Lockwood et du Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris, Raphaël et Johan nous invitent au partage d’une connaissance commune et ludique, où tout le monde, amateur comme néophyte, s’amusera à découvrir un nouvel élément de réflexion, et à satisfaire son appétit de swing, de groove, de liberté. Les 1001 nuits du jazz, c’est une « concérence » à travers les grandes et petites histoires d’une musique qui a construit notre époque, et qui continue de nourrir le lien entre les différents domaines de notre imaginaire collectif.
Une complicité inouïe au service d’un projet pédagogique et original.
« Je pourrais raconter que Johan Farjot à a peu près autant de prix du CNSM qu’il en existe ! Je pourrais dire que Johan Farjot est à l’aise dans la musique de chambre comme dans la pop anglaise, en passant par le jazz et la musique contemporaine. Je pourrais témoigner sur l’honneur du fait qu’il peut, dans la même journée, diriger Brahms, arranger Gershwin, composer avec son âme et faire swinguer comme personne un blues des années 30. Je pourrais dire à quel point son charisme et son intelligence artistique le rendent populaire et recherché par les productions les plus diverses et les plus prestigieuses. Mais si je disais tout cela, et bien plus encore, je ne ferais que dire ce que tout le monde affirme : Johan Farjot est un artiste unique et hors-norme ! Je préfère donc dire ce que je sais moi-même, Johan Farjot est un artiste de l’émotion intense, un curieux de tout, un amoureux des rencontres, une sensibilité originale qui fait mouche dans tous les cas, un fidèle en amitié comme en Art. »
Raphaël Imbert
« Raphaël Imbert est un improvisateur hors norme. Avant tout parce qu’il ne se cantonne pas à des frontières ou chapelles stylistiques ! Sa vision transversale de son art, son érudition connectée à la société, lui permettent de circuler à travers les musiques avec la volubilité du poète, quel que ce soit le monde sonore de ses partenaires (classique, jazz, contemporain, d’autres continents, etc.). Mais il ne s’agit pas là d’une approche intellectuelle - bien qu’il soit un penseur et un compositeur de très haut niveau -, il vit l’improvisation avec son cœur, avec la passion d’un artisan toujours en éveil sur l’évolution de sa pratique. »
Johan Farjot
TRACKLISTING
1. Blues For Angels (3’14)
In Memoriam Didier Lockwood
(Johan Farjot) Guests : Etudiants du CMDL
2. Gee, Baby, Ain’t I Good To You (3’13)
(Don Redman / Andy Razaf) Guests : Hugh Coltman - Chant, Julie Saury - Batterie, Etudiants du CNSMDP
3. Yekermo Sew (9’11)
(Mulatu Astatke) Guests : Anne Paceo - Batterie, Felipe Cabrera - Contrebasse, Jean-Jacques Elangué - Saxophone
4. All To Myself Alone (4’21)
(Ray Charles) Guests : Hugh Coltman - Chant, Julie Saury - Batterie, Etudiants du CNSMDP
5. Redemption Song (4’52)
(Bob Marley) Guests : Aurore Imbert - Chant, Anne Paceo - Batterie, Felipe Cabrera - Contrebasse, Jean-Jacques Elangué - Saxophone
6. Improvisation - Hommage à John Coltrane (4’03)
(Daniel Humair) Guests : Daniel Humair – Batterie, Damien Varaillon - Contrebasse
7. Gravenstein (2’55)
(Daniel Humair) Guests : Daniel Humair – Batterie, Damien Varaillon - Contrebasse
8. The Mooche (6’08)
(Duke Ellington) Guests : Pascal Mabit – Saxophone, Quentin Lourties – Trompette, Cyril Galamini – Trombone, Etudiants du CMDL
9. Sweet Home Chicago (5’21)
(Robert Johnson) Guests : Amandine Bourgeois – Chant, Aurélien Naffrichoux – Guitare
10. Memphis March (4’38)
(Raphaël Imbert) Guests : Etudiants du CMDL
11. De quoi le jazz est-il le nom ? (7’58)
Texte de Raphaël Imbert