Oan Kim & The Dirty Jazz
+ 3 inédits
Sortie le 20 janvier 2023
Label: Pias
Piano, violon, saxophone, guitare, claviers, comme les instruments, Oan Kim a pratiqué beaucoup de styles musicaux. De la musique contemporaine au pop-rock indé, du classique à la musique de film, il a balayé un spectre si large que, s’il fallait choisir, Oan serait attiré dans des directions opposées.
OAN KIM est un saxophoniste, chanteur, compositeur, ainsi que réalisateur et photographe franco-coréen.
A 5 ans sa mère le met au violon (c’était ça ou le violoncelle), qu’il pratique pendant 15 ans.
A l’adolescence il se passionne pour le jazz et se met
au saxophone alto, puis ténor, qu’il perfectionne à l‘EDIM avec Daniel Beaussier et Julien Loureau.
Persuadé qu’il doit aussi être un pianiste correct pour devenir compositeur, il étudie le piano jazz à la Bill Evans Piano Academy avec Samy Abenhaïm et Philippe Le Barrelec
Il se passionne pour la musique contemporaine, suit les conférences de Pierre Boulez au collège de France, étudie les partitions de Berio, Nono, Ferneyhough, Xenakis, Cage, fréquente l’IRCAM comme d’autres les discothèques.
Il poursuit en même temps des études d’écriture
musicale au CSNM de Paris, étudiant l’harmonie et l’orchestration avec Jean-François Zygel, le contrepoint
avec Alain de Crépy, la fugue avec Thierry Escaich, l’analyse musicale avec Michael Levinas et la musique indienne
avec Patrick Moutal.
Depuis il compose des musiques pour
l’audiovisuel (documentaire et télé) et pour l’Art contemporain, collaborant notamment régulièrement avec l’artiste Jungwan Bae et les photographes de l’agence MYOP.
Enthousiasmé par la scène indé, il décide d’y participer et crée le groupe de rock Film Noir (un album sorti chez le Son du Maquis), puis le duo electro-rock Chinese Army (trois EP sortis notamment sur le label Balades Sonores) qu’il forme avec le guitariste Benoît Perraudeau. Avec ces deux formations il fait plus de 80 concerts en France et à l’étranger.
Depuis 2019 il renoue avec le saxophone jazz et entame un nouveau projet que la pandémie le pousse à développer en solo, entre jazz et musiques modernes, quelque part entre Pharoah Sanders et Radiohead..
Par ailleurs à ses activités musicales il est aussi un photographe et réalisateur de documentaire ayant reçu plusieurs prix (Prix Swiss Life à 4 mains, Silver Horn du Krakow Film Festival, Prix des Nuits Photographiques, Tomorrow's Artist Prize Sungkok Museum), membre co-fondateur de l'agence M.Y.O.P de photographes indépendants.
A 5 ans sa mère le met au violon (c’était ça ou le violoncelle), qu’il pratique pendant 15 ans.
A l’adolescence il se passionne pour le jazz et se met
au saxophone alto, puis ténor, qu’il perfectionne à l‘EDIM avec Daniel Beaussier et Julien Loureau.
Persuadé qu’il doit aussi être un pianiste correct pour devenir compositeur, il étudie le piano jazz à la Bill Evans Piano Academy avec Samy Abenhaïm et Philippe Le Barrelec
Il se passionne pour la musique contemporaine, suit les conférences de Pierre Boulez au collège de France, étudie les partitions de Berio, Nono, Ferneyhough, Xenakis, Cage, fréquente l’IRCAM comme d’autres les discothèques.
Il poursuit en même temps des études d’écriture
musicale au CSNM de Paris, étudiant l’harmonie et l’orchestration avec Jean-François Zygel, le contrepoint
avec Alain de Crépy, la fugue avec Thierry Escaich, l’analyse musicale avec Michael Levinas et la musique indienne
avec Patrick Moutal.
Depuis il compose des musiques pour
l’audiovisuel (documentaire et télé) et pour l’Art contemporain, collaborant notamment régulièrement avec l’artiste Jungwan Bae et les photographes de l’agence MYOP.
Enthousiasmé par la scène indé, il décide d’y participer et crée le groupe de rock Film Noir (un album sorti chez le Son du Maquis), puis le duo electro-rock Chinese Army (trois EP sortis notamment sur le label Balades Sonores) qu’il forme avec le guitariste Benoît Perraudeau. Avec ces deux formations il fait plus de 80 concerts en France et à l’étranger.
Depuis 2019 il renoue avec le saxophone jazz et entame un nouveau projet que la pandémie le pousse à développer en solo, entre jazz et musiques modernes, quelque part entre Pharoah Sanders et Radiohead..
Par ailleurs à ses activités musicales il est aussi un photographe et réalisateur de documentaire ayant reçu plusieurs prix (Prix Swiss Life à 4 mains, Silver Horn du Krakow Film Festival, Prix des Nuits Photographiques, Tomorrow's Artist Prize Sungkok Museum), membre co-fondateur de l'agence M.Y.O.P de photographes indépendants.
Piano, violon, saxophone, guitare, claviers, comme les instruments, Oan Kim a pratiqué beaucoup de styles musicaux. De la musique contemporaine au pop-rock indé, du classique à la musique de film, il a balayé un spectre si large que, s'il fallait choisir, Oan serait attiré dans des directions opposées.
Les réunir toutes, devenir l’aimant qui les attirera si fort les unes aux autres, qu’aucune cloison ne pourrait se dresser entre elles. Les fusionner sur une série de photos aux couleurs jazz, les fixer dans des teintes qu’il aura lui-même façonnées. Dans un mélange musical hybride où influences et expériences passées ne forment plus qu’un.
Grésillements, triturages et boucles s’assemblent alors les unes aux autres. Les circuits imprimés font leur ouvrage, détournent, déconstruisent et remodèlent le son à leur manière. La guitare devient méconnaissable, les modulations s’installent pour accompagner batterie et percussions. Dans des détails rendus perceptibles par le seul casque audio, se met en place le ballet rythmique electro.
Le contraste de la photo s’accentue, à en devenir saisissant.
Brut, le saxophone s’y installe. Spontané. Dénudé. Le souffle capté au plus près des notes qu’escorte un léger murmure éolien. Des improvisations qui trouvent leur écho dans les années rock d’Oan, quand la simplicité était la règle, autant que dans la rugosité de la musique traditionnelle coréenne, héritage paternel.
L’ambiance appelle les mélodies, et les mélodies, les arrangements.
Laisser passer plus de lumières, jouer sur les ombres et faire ressortir le grain du saxophone jusqu’à l’exposer plaintif et torturé. Embrumer l’espace quand vient le moment de méditer, de voyager dans les paysages imaginaires captés au grand-angle. Y emporter son corps tout entier ou uniquement son âme.
Anche et voix se passent le relais. Après les notes, jaillissent les mots, brutalement expulsés, ou lentement couchés sur des mélodies infusées de mélancolie. Teinte dominante de l’album, diffuse par endroits, dominante à d’autres, elle infiltre les partitions, habite instruments et chant pour habiller l’ensemble d’une dimension atmosphérique.
Compositeur de musiques pour films, expositions d’art contemporains ou installations d’art vidéo, Oan Kim pratique également l’art de la photo. Lui qui habille de ses compositions des images déjà existantes crée, avec Oan Kim & The Dirty Jazz, une musique sur laquelle il appartiendra à chacun de poser ses propres images...
Les réunir toutes, devenir l’aimant qui les attirera si fort les unes aux autres, qu’aucune cloison ne pourrait se dresser entre elles. Les fusionner sur une série de photos aux couleurs jazz, les fixer dans des teintes qu’il aura lui-même façonnées. Dans un mélange musical hybride où influences et expériences passées ne forment plus qu’un.
Grésillements, triturages et boucles s’assemblent alors les unes aux autres. Les circuits imprimés font leur ouvrage, détournent, déconstruisent et remodèlent le son à leur manière. La guitare devient méconnaissable, les modulations s’installent pour accompagner batterie et percussions. Dans des détails rendus perceptibles par le seul casque audio, se met en place le ballet rythmique electro.
Le contraste de la photo s’accentue, à en devenir saisissant.
Brut, le saxophone s’y installe. Spontané. Dénudé. Le souffle capté au plus près des notes qu’escorte un léger murmure éolien. Des improvisations qui trouvent leur écho dans les années rock d’Oan, quand la simplicité était la règle, autant que dans la rugosité de la musique traditionnelle coréenne, héritage paternel.
L’ambiance appelle les mélodies, et les mélodies, les arrangements.
Laisser passer plus de lumières, jouer sur les ombres et faire ressortir le grain du saxophone jusqu’à l’exposer plaintif et torturé. Embrumer l’espace quand vient le moment de méditer, de voyager dans les paysages imaginaires captés au grand-angle. Y emporter son corps tout entier ou uniquement son âme.
Anche et voix se passent le relais. Après les notes, jaillissent les mots, brutalement expulsés, ou lentement couchés sur des mélodies infusées de mélancolie. Teinte dominante de l’album, diffuse par endroits, dominante à d’autres, elle infiltre les partitions, habite instruments et chant pour habiller l’ensemble d’une dimension atmosphérique.
Compositeur de musiques pour films, expositions d’art contemporains ou installations d’art vidéo, Oan Kim pratique également l’art de la photo. Lui qui habille de ses compositions des images déjà existantes crée, avec Oan Kim & The Dirty Jazz, une musique sur laquelle il appartiendra à chacun de poser ses propres images...