Minino Garay
Tunga Tunga’s Band
Sortie le 21 septembre 2018
Label : Viavox
Ce disque est un hommage à mon père, « Tito » Garay, récemment disparu ; rejoignant mon oncle Ranulfo Taborda, les engueulades ont dû reprendre de plus belle !
Sur scène
Minino Garay
Christophe Lampidecchia
Pajaro Canzani
Jonthan Grande
Lalo Zanelli
Sur scène
Minino Garay
Christophe Lampidecchia
Pajaro Canzani
Jonthan Grande
Lalo Zanelli
Ce disque est un hommage à mon père, « Tito » Garay, récemment disparu ; rejoignant mon oncle Ranulfo Taborda, les engueulades ont dû reprendre de plus belle !
C’est ce dernier qui m’a familiarisé très tôt au cuarteto, également appelé le Tunga Tunga, inscrit au cœur de la tradition musicale de ma province argentine natale, Córdoba. Ce rythme est un métissage de tarentelles, de paso doble, et d’autres musiques européennes, débarquées avec les immigrants venus s’installer dans la Pampa humide du début du XXème siècle.
En intensifiant la basse de sa main gauche, la pianiste Leonor Marzano crée le cuarteto cordobes et révèle cet équilibre entre les rythmes venus d’Europe, l’accordéon riche de ses contrepoints et le violon ou la flûte qui l’enrichissent de séduisantes mélodies. Les textes se nourrissent de dictons populaires, coquins, et racontent des histoires d’amour, heureuses ou faites de déboires… Cette musique, particulièrement vivante, c’est celle des bals populaires, c’est l’histoire de tout un peuple ; elle fut la seule à être interdite pendant la dernière dictature militaire.
Pour cet album, les légendes du cuarteto ont répondu à mon invitation : Carlos « La Mona » Jimenez, Carlos « Pueblo » Rolan, Ariel Ferrari ainsi que le fils de Leonor Marzano et Miguel Gelfo (fondateurs du Cuarteto Leo), l’accordéoniste Eduardo Gelfo. D’autres musiciens de Cordoba ont aussi collaboré : Diego Bravo, pianiste et producteur artistique et Fernando Huergo, bassiste installé à Boston. Une de ses particularités est due à la présence de l’accordéon très « musette » de Christophe Lampidecchia qui rappelle le son des bals populaires français.
Si la vie m’a plutôt conduit vers la world et le jazz, je suis né au cœur du cuarteto ; ce disque sonne comme une exploration personnelle de mes racines et contribuera à valoriser ce patrimoine musical de mon pays. « Seguí, seguí bailando, porque lo que te toca, te toca… ».
Minino Garay – juillet 2018
Line up album
● Minino Garay : percussions, voix
● Fernando Huergo : basse
● Christophe Lampidecchia : accordéon
● Diego Bravo : Piano, Orgue Hammond B 3, Wurlitzer, basse (3, 11)
● Alex Pandev : voix (5, 12)
● Lore Jimenez : voix (6, 10)
● Carlos "la Mona" Jimenez : voix (3)
● Carlos "Pueblo" Rolan : voix (11)
● Ariel Ferrari : voix (7)
● Eduardo Gelfo : accordéon (11)
● Martin "Tincho" Rolan : voix (11)
● Los Caligaris (Martin Panpiglione, Juan Taieb, Diego Panpiglione ) : voix (14)
● Fernando Bladys : voix (9, 14)
● Turco Oliva : voix (9)
● Maxime Zampieri : batterie (3, 7, 10, 13)
C’est ce dernier qui m’a familiarisé très tôt au cuarteto, également appelé le Tunga Tunga, inscrit au cœur de la tradition musicale de ma province argentine natale, Córdoba. Ce rythme est un métissage de tarentelles, de paso doble, et d’autres musiques européennes, débarquées avec les immigrants venus s’installer dans la Pampa humide du début du XXème siècle.
En intensifiant la basse de sa main gauche, la pianiste Leonor Marzano crée le cuarteto cordobes et révèle cet équilibre entre les rythmes venus d’Europe, l’accordéon riche de ses contrepoints et le violon ou la flûte qui l’enrichissent de séduisantes mélodies. Les textes se nourrissent de dictons populaires, coquins, et racontent des histoires d’amour, heureuses ou faites de déboires… Cette musique, particulièrement vivante, c’est celle des bals populaires, c’est l’histoire de tout un peuple ; elle fut la seule à être interdite pendant la dernière dictature militaire.
Pour cet album, les légendes du cuarteto ont répondu à mon invitation : Carlos « La Mona » Jimenez, Carlos « Pueblo » Rolan, Ariel Ferrari ainsi que le fils de Leonor Marzano et Miguel Gelfo (fondateurs du Cuarteto Leo), l’accordéoniste Eduardo Gelfo. D’autres musiciens de Cordoba ont aussi collaboré : Diego Bravo, pianiste et producteur artistique et Fernando Huergo, bassiste installé à Boston. Une de ses particularités est due à la présence de l’accordéon très « musette » de Christophe Lampidecchia qui rappelle le son des bals populaires français.
Si la vie m’a plutôt conduit vers la world et le jazz, je suis né au cœur du cuarteto ; ce disque sonne comme une exploration personnelle de mes racines et contribuera à valoriser ce patrimoine musical de mon pays. « Seguí, seguí bailando, porque lo que te toca, te toca… ».
Minino Garay – juillet 2018
Line up album
● Minino Garay : percussions, voix
● Fernando Huergo : basse
● Christophe Lampidecchia : accordéon
● Diego Bravo : Piano, Orgue Hammond B 3, Wurlitzer, basse (3, 11)
● Alex Pandev : voix (5, 12)
● Lore Jimenez : voix (6, 10)
● Carlos "la Mona" Jimenez : voix (3)
● Carlos "Pueblo" Rolan : voix (11)
● Ariel Ferrari : voix (7)
● Eduardo Gelfo : accordéon (11)
● Martin "Tincho" Rolan : voix (11)
● Los Caligaris (Martin Panpiglione, Juan Taieb, Diego Panpiglione ) : voix (14)
● Fernando Bladys : voix (9, 14)
● Turco Oliva : voix (9)
● Maxime Zampieri : batterie (3, 7, 10, 13)