Mala
Mala In Cuba
Sortie le 10 Octobre 2012
Label : Brownswood Rds
En mai 2011, Mala, co-leader du duo Digital Mystikz, accompagne Gilles Peterson à la Havane pour collaborer à l’ambitieux projet HAVANA CULTURA « The Search Continues… » Pendant ce voyage, il enregistre l’album « Mala in Cuba » pour le label Brownswood Recordings. Un album dans lequel il distille son Dubstep en terre caraïbe.
01. Introduction
02. Mulata
03. Tribal
04. Changuito
05. Revolution
06. Como Como feat. Dreiser & Sexto Sentido
07. Cuba Electronic
08. The Tunnel
09. Ghost
10. Curfew
11. The Tourist
12. Change
13. Calle F
14. Noche Sueños feat Danay Suarez
01. Introduction
02. Mulata
03. Tribal
04. Changuito
05. Revolution
06. Como Como feat. Dreiser & Sexto Sentido
07. Cuba Electronic
08. The Tunnel
09. Ghost
10. Curfew
11. The Tourist
12. Change
13. Calle F
14. Noche Sueños feat Danay Suarez
En mai 2011, Mala, co-leader du duo Digital Mystikz, accompagne Gilles Peterson à la Havane pour collaborer à l’ambitieux projet HAVANA CULTURA « The Search Continues... » Pendant ce voyage, il enregistre l’album « Mala in Cuba » pour le label Brownswood Recordings. Un album dans lequel il distille son Dubstep en terre caraïbe.
Passionné par la culture des sound-system jamaïcains, Mala, est un précurseur. En compagnie des Skream, Benga, Coki et Loefah, il est des premières vagues de « Dubstep », qui déferlent dans les quartiers jamaïcains du sud de Londres au début des années 2000. Formés au UK Garage et au 2-Step, tous ces producteurs et Djs du quartier de Croydon vont fréquenter les mêmes magasins de disques, les mêmes dancefloors et créer ce nouveau genre musical qui encore aujourd’hui nous livre de riches moments de groove et d’électro.
Très attaché à son indépendance, il fut le co-fondateur du label DMZ et des soirées du même nom. Il a aussi produit certains des morceaux les plus importants du genre sous le nom de Digital Mystikz. Enfin, il a crée en 2006 son label, Deep Medi Musik, pour distribuer ses propres expérimentations sonores et celles de ses producteurs-DJ préférés. Mala est reconnu comme un pionner et un chef de file non seulement dans le mouvement dubstep mais plus généralement dans l’univers de la musique électronique.
Résultat d’un véritable choc des cultures, « Mala in Cuba » mélange les rythmes complexes et les racines spirituelles profondes de Cuba avec les propres racines jamaïcaines de Mala et son engagement dans la culture drum’n’bass.
C’est avec le DJ/animateur radio/collectionneur de disque Gilles Peterson et son collègue producteur-DJ Simbad que Mala arrive a Cuba en 2011 pour des séances d’enregistrement de l’album « Havana Cultura : The Search Continues » au Studio Abdala.
Il s’installe dans un petit studio en face du studio principal. Le flot continu de musiciens et de chanteurs talentueux de passage au studio, de la talentueuse Danay Suarez au fameux percussionniste Changuito, en passant par le célèbre pianiste Roberto Fonseca,…permit de créer une émulation incroyable entre tous les protagonistes.
De retour chez lui avec son ordinateur portable rempli de sons et d’inspirations, Mala a passé plus d’un an à retranscrire son aventure cubaine. « Ca a pris du temps d’essayer de traduire l’expérience que j’ai eu à Cuba, puisqu’en fin de compte c’est ce que représente cet album pour moi. Ce n’est pas moi qui essaye de faire un album de musique cubaine, c’est plutôt moi en train d’explorer ce que j’ai ressenti et ce que j’ai appris quand j’y étais et ce que j’ai rapporté chez moi, à la fois au niveau mental, spirituel et musical ».
Heureusement, la tentative a fonctionné. La puissance, l’ampleur et la profondeur du son sont typiques de Mala, mais les mélodies, les enchainements, les progressions harmoniques, les rythmes et les percussions sont singulièrement cubaines.
Le patron de Brownswood Recordings, Gilles Peterson dit qu’il a rêvé de faire cet album depuis longtemps : « Voilà l’album qui replace le mouvement dubstep dans la culture plus large du sound system ».
Passionné par la culture des sound-system jamaïcains, Mala, est un précurseur. En compagnie des Skream, Benga, Coki et Loefah, il est des premières vagues de « Dubstep », qui déferlent dans les quartiers jamaïcains du sud de Londres au début des années 2000. Formés au UK Garage et au 2-Step, tous ces producteurs et Djs du quartier de Croydon vont fréquenter les mêmes magasins de disques, les mêmes dancefloors et créer ce nouveau genre musical qui encore aujourd’hui nous livre de riches moments de groove et d’électro.
Très attaché à son indépendance, il fut le co-fondateur du label DMZ et des soirées du même nom. Il a aussi produit certains des morceaux les plus importants du genre sous le nom de Digital Mystikz. Enfin, il a crée en 2006 son label, Deep Medi Musik, pour distribuer ses propres expérimentations sonores et celles de ses producteurs-DJ préférés. Mala est reconnu comme un pionner et un chef de file non seulement dans le mouvement dubstep mais plus généralement dans l’univers de la musique électronique.
Résultat d’un véritable choc des cultures, « Mala in Cuba » mélange les rythmes complexes et les racines spirituelles profondes de Cuba avec les propres racines jamaïcaines de Mala et son engagement dans la culture drum’n’bass.
C’est avec le DJ/animateur radio/collectionneur de disque Gilles Peterson et son collègue producteur-DJ Simbad que Mala arrive a Cuba en 2011 pour des séances d’enregistrement de l’album « Havana Cultura : The Search Continues » au Studio Abdala.
Il s’installe dans un petit studio en face du studio principal. Le flot continu de musiciens et de chanteurs talentueux de passage au studio, de la talentueuse Danay Suarez au fameux percussionniste Changuito, en passant par le célèbre pianiste Roberto Fonseca,…permit de créer une émulation incroyable entre tous les protagonistes.
De retour chez lui avec son ordinateur portable rempli de sons et d’inspirations, Mala a passé plus d’un an à retranscrire son aventure cubaine. « Ca a pris du temps d’essayer de traduire l’expérience que j’ai eu à Cuba, puisqu’en fin de compte c’est ce que représente cet album pour moi. Ce n’est pas moi qui essaye de faire un album de musique cubaine, c’est plutôt moi en train d’explorer ce que j’ai ressenti et ce que j’ai appris quand j’y étais et ce que j’ai rapporté chez moi, à la fois au niveau mental, spirituel et musical ».
Heureusement, la tentative a fonctionné. La puissance, l’ampleur et la profondeur du son sont typiques de Mala, mais les mélodies, les enchainements, les progressions harmoniques, les rythmes et les percussions sont singulièrement cubaines.
Le patron de Brownswood Recordings, Gilles Peterson dit qu’il a rêvé de faire cet album depuis longtemps : « Voilà l’album qui replace le mouvement dubstep dans la culture plus large du sound system ».