Ludovico Einaudi
In a Time Lapse
Sortie le 12 février 2013
Label : Ponderosa
Composé sur une période de deux ans, In A Time Lapse a été enregistré en octobre 2012 dans un monastère près de Vérone, en Vénétie.
Comme dans ses précédents albums, In A Time Lapse se joue comme une suite, à l’instar d’un roman divisé en différents chapitres. Quatorze chapitres qui nous projettent dans un vaste voyage à destination inconnue, joyeusement ornementé par les apports subtils de cordes, de percussions et d’éléments électro.
Comme dans ses précédents albums, In A Time Lapse se joue comme une suite, à l’instar d’un roman divisé en différents chapitres. Quatorze chapitres qui nous projettent dans un vaste voyage à destination inconnue, joyeusement ornementé par les apports subtils de cordes, de percussions et d’éléments électro.
Composé sur une période de deux ans, In A Time Lapse a été enregistré en octobre 2012 dans un monastère près de Vérone, en Vénétie.
Comme dans ses précédents albums, In A Time Lapse se joue comme une suite, à l’instar d’un roman divisé en différents chapitres. Quatorze chapitres qui nous projettent dans un vaste voyage à destination inconnue, joyeusement ornementé par les apports subtils de cordes, de percussions et d’éléments électro.
Aussi intense que Divenire, aussi expérimental que Nightbook, ce nouvel album va plus loin encore en explorant de nouvelles textures et imaginant de nouveaux arrangements. On sera touché par les échos de la musique baroque et du folklore italien mais aussi par les cordes élégantes et aériennes de l’ensemble I Virtuosi Italiani et de la star internationale du violon Daniel Hope. Des ambiances sonores uniques au service d’une profonde réflexion sur l’idée de temps. Selon les mots de Ludovico Einaudi : « quand on prend conscience que notre temps est limité, c’est le moment d’essayer de remplir cet espace avec toute son énergie et toutes ses émotions, de vivre pleinement chaque instant comme lorsqu’on était enfant ».
Un lyrisme inclassable - Acclamé en Italie, en Grande-Bretagne, aux Etats-Unis, au Japon, le pianiste et compositeur italien Ludovico Einaudi s’est constitué, ces dix dernières années, un répertoire unique en son genre. Equilibriste et singulière en ce sens qu’elle est à la fois riche et sobre, foisonnante et épurée, sa musique est traversée par des mélodies lunaires et racées, propices à la méditation. Circulaire, répétitif au besoin, tout en élégance et parfois au bord de la transe, le chant de son piano nous y guide comme s’il tirait les ficelles d’une rêverie sans fin.
Un parcours éclectique - Pour mémoire, Ludovico Einaudi se trouve être le fils d’un très fameux éditeur milanais, Giulio Einaudi, et donc le petit-fils de Luigi Einaudi, Président de la République italienne de 1948 à 1955… Issu d’une bourgeoisie érudite et éclairée, il a pris goût au piano dès l’enfance sous l’influence de sa mère, a étudié au Conservatoire Verdi de Milan avant de suivre les enseignements du compositeur Luciano Berio, fameux pionnier de l’électroacoustique. Il a par la suite collaboré avec des musiciens issus d’horizons très divers comme Ballaké Sissoko, maître de la kora malienne (Diario Mali), Ibrahim Maalouf, virtuose de la trompette, Mercan Dede, l’un de meilleurs souffleurs et percussionnistes soufis, Paolo Fresu…
Ses musiques et ses mélodies aériennes, tour à tour incandescentes et apaisantes, n’en gardent pas moins une identité forte qui séduit aussi le cinéma, lequel leur a réservé de fort belles plages dans les films Le Prix du Désir, Aprile, This Is England, The Reader et plus récemment INTOUCHABLES.
Mais leur créateur, lui, reste dans son monde. « J’aime me complaire dans mes rêves et rester, comme on dit, la tête dans les nuages. La musique et le jeu sont un moyen privilégié d’accéder à d’autres dimensions, et de les partager. » S’il doit beaucoup aux influences croisées de Brian Eno, Philip Glass et Steve Reich, le pianiste tient aussi à citer Arvo Part. « Des artistes qui ont su rompre l’impasse de la vieille avant-garde, donner un souffle neuf à la création musicale. » Pêle-mêle, il cite aussi Monteverdi, Vivaldi, Bach, Stravinsky, Bartok, Berio, mais aussi les Beatles, Pink Floyd, Radiohead qu’il estime « poétique et aventurier », U2 qu’il trouve « romantique et prophétique », ainsi que les musiques traditionnelles du Mali, d’Arménie, de Russie et du Salento, l’extrême sud de l’Italie.
DISCOGRAPHIE :
Le Onde (1996/2004) Eden Roc (1999) I Giorni (2001) Diario Mali (2003) Una Mattina (2004) Live a la Scala (2005) Divenire (2007) Nightbook (2009) Live at the Royal Albert Hall (2010) Einaudi Essentiel (2012)
Comme dans ses précédents albums, In A Time Lapse se joue comme une suite, à l’instar d’un roman divisé en différents chapitres. Quatorze chapitres qui nous projettent dans un vaste voyage à destination inconnue, joyeusement ornementé par les apports subtils de cordes, de percussions et d’éléments électro.
Aussi intense que Divenire, aussi expérimental que Nightbook, ce nouvel album va plus loin encore en explorant de nouvelles textures et imaginant de nouveaux arrangements. On sera touché par les échos de la musique baroque et du folklore italien mais aussi par les cordes élégantes et aériennes de l’ensemble I Virtuosi Italiani et de la star internationale du violon Daniel Hope. Des ambiances sonores uniques au service d’une profonde réflexion sur l’idée de temps. Selon les mots de Ludovico Einaudi : « quand on prend conscience que notre temps est limité, c’est le moment d’essayer de remplir cet espace avec toute son énergie et toutes ses émotions, de vivre pleinement chaque instant comme lorsqu’on était enfant ».
Un lyrisme inclassable - Acclamé en Italie, en Grande-Bretagne, aux Etats-Unis, au Japon, le pianiste et compositeur italien Ludovico Einaudi s’est constitué, ces dix dernières années, un répertoire unique en son genre. Equilibriste et singulière en ce sens qu’elle est à la fois riche et sobre, foisonnante et épurée, sa musique est traversée par des mélodies lunaires et racées, propices à la méditation. Circulaire, répétitif au besoin, tout en élégance et parfois au bord de la transe, le chant de son piano nous y guide comme s’il tirait les ficelles d’une rêverie sans fin.
Un parcours éclectique - Pour mémoire, Ludovico Einaudi se trouve être le fils d’un très fameux éditeur milanais, Giulio Einaudi, et donc le petit-fils de Luigi Einaudi, Président de la République italienne de 1948 à 1955… Issu d’une bourgeoisie érudite et éclairée, il a pris goût au piano dès l’enfance sous l’influence de sa mère, a étudié au Conservatoire Verdi de Milan avant de suivre les enseignements du compositeur Luciano Berio, fameux pionnier de l’électroacoustique. Il a par la suite collaboré avec des musiciens issus d’horizons très divers comme Ballaké Sissoko, maître de la kora malienne (Diario Mali), Ibrahim Maalouf, virtuose de la trompette, Mercan Dede, l’un de meilleurs souffleurs et percussionnistes soufis, Paolo Fresu…
Ses musiques et ses mélodies aériennes, tour à tour incandescentes et apaisantes, n’en gardent pas moins une identité forte qui séduit aussi le cinéma, lequel leur a réservé de fort belles plages dans les films Le Prix du Désir, Aprile, This Is England, The Reader et plus récemment INTOUCHABLES.
Mais leur créateur, lui, reste dans son monde. « J’aime me complaire dans mes rêves et rester, comme on dit, la tête dans les nuages. La musique et le jeu sont un moyen privilégié d’accéder à d’autres dimensions, et de les partager. » S’il doit beaucoup aux influences croisées de Brian Eno, Philip Glass et Steve Reich, le pianiste tient aussi à citer Arvo Part. « Des artistes qui ont su rompre l’impasse de la vieille avant-garde, donner un souffle neuf à la création musicale. » Pêle-mêle, il cite aussi Monteverdi, Vivaldi, Bach, Stravinsky, Bartok, Berio, mais aussi les Beatles, Pink Floyd, Radiohead qu’il estime « poétique et aventurier », U2 qu’il trouve « romantique et prophétique », ainsi que les musiques traditionnelles du Mali, d’Arménie, de Russie et du Salento, l’extrême sud de l’Italie.
DISCOGRAPHIE :
Le Onde (1996/2004) Eden Roc (1999) I Giorni (2001) Diario Mali (2003) Una Mattina (2004) Live a la Scala (2005) Divenire (2007) Nightbook (2009) Live at the Royal Albert Hall (2010) Einaudi Essentiel (2012)