Ludovico Einaudi
Live at the Royal Albert Hall
Sortie le 4 nov 2010
Label : Ponderosa
Double CD + DVD
« Ce double album live accompagné d’un DVD, capture les moments les plus intenses du concert Nightbook donné au Royal Albert Hall de Londres le 2 mars 2010. Ce fut le dernier concert d’une fantastique tournée avec mon groupe à travers l’Europe et les Etats-Unis. Après plus de 60 concerts, nous étions tous vraiment en symbiose et cette soirée au sein de l’Albert Hall fut pour nous un moment magique. » Sur ces mots enthousiastes, Ludovico Einaudi, compositeur et pianiste acclamé de la scène musicale européenne, décrit un concert qui fut accueilli par un tonnerre d’applaudissement et une standing ovation de la part des 4000 personnes présentes dans la salle.
« La participation de l’orchestre Virtuosi Italiani, qui m’a rejoint sur scène pour la deuxième partie du concert, a rendu la soirée encore plus merveilleuse. J’ai pu avoir la chance de jouer une partie des œuvres retraçant l’évolution de mon travail avec cet orchestre magnifique en plus de quelques nouveaux arrangements de mon répertoire » Ces morceaux incluent les inédits Berlin Song et Tu Sei, des versions orchestrales de Eros, Nightbook et I Giorni ainsi que les compositions les plus connues de Divenire.
Le double CD du concert au Royal Albert Hall est associé à un DVD (le premier de la carrière d’Einaudi) réalisé par Nick Hillel de Yeast Culture, un collectif londonien de réalisateurs et d’artistes vidéastes très apprécié.
« Ce double album live accompagné d’un DVD, capture les moments les plus intenses du concert Nightbook donné au Royal Albert Hall de Londres le 2 mars 2010. Ce fut le dernier concert d’une fantastique tournée avec mon groupe à travers l’Europe et les Etats-Unis. Après plus de 60 concerts, nous étions tous vraiment en symbiose et cette soirée au sein de l’Albert Hall fut pour nous un moment magique. » Sur ces mots enthousiastes, Ludovico Einaudi, compositeur et pianiste acclamé de la scène musicale européenne, décrit un concert qui fut accueilli par un tonnerre d’applaudissement et une standing ovation de la part des 4000 personnes présentes dans la salle.
« La participation de l’orchestre Virtuosi Italiani, qui m’a rejoint sur scène pour la deuxième partie du concert, a rendu la soirée encore plus merveilleuse. J’ai pu avoir la chance de jouer une partie des œuvres retraçant l’évolution de mon travail avec cet orchestre magnifique en plus de quelques nouveaux arrangements de mon répertoire » Ces morceaux incluent les inédits Berlin Song et Tu Sei, des versions orchestrales de Eros, Nightbook et I Giorni ainsi que les compositions les plus connues de Divenire.
Le double CD du concert au Royal Albert Hall est associé à un DVD (le premier de la carrière d’Einaudi) réalisé par Nick Hillel de Yeast Culture, un collectif londonien de réalisateurs et d’artistes vidéastes très apprécié.
Un lyrisme inclassable - Acclamé en Italie, en Grande-Bretagne, aux Etats-Unis, au Japon, le pianiste et compositeur italien Ludovico Einaudi s’est constitué, ces dix dernières années, un répertoire unique en son genre. Equilibriste et singulière en ce sens qu’elle est à la fois riche et sobre, foisonnante et épurée, sa musique est traversée par des mélodies lunaires et racées, propices à la méditation. Circulaire, répétitif au besoin, tout en élégance et parfois au bord de la transe, le chant de son piano nous y guide comme s’il tirait les ficelles d’une rêverie sans fin. De quoi nous projeter dans un vaste voyage à destination inconnue, joyeusement ornementé par les apports subtils de cordes, de percussions, d’éléments électro.
Ludovico Einaudi doit-il être considéré « classique », « expérimental », « minimal », « jazz », « world » ? Trop artiste pour s’en soucier vraiment, ce dernier répond qu’idéalement, il verrait bien ses disques rangés au côté de ceux de Massive Attack et de Portishead. « Mais je me demande bien où-ce qu’on les case eux-mêmes ! Je ne me vois pas au rayon classique, je ne suis pas du passé. Je ne me reconnais pas non plus dans le sigle minimal, ni dans celui de world, associé aux musiques traditionnelles. Quant à la pop, c’est Michael Jackson. »
Une chose est « sûre », c’est dans cette incertitude que sa musique - trop souvent décrite comme « mélancolique » à son goût - affirme en grande partie son sortilège. Et n’empêche aucunement le public de s’y retrouver, ses disques s’étant écoulés à plus de 750 000 copies en Europe. La scène n’est pas en reste. Divenire, paru en septembre 2007 avait déclenché une tournée triomphale à guichet fermé dans les salles les plus prestigieuses, le Royal Albert Hall de Londres, le Kennedy Center de Washington, Le Trianon à Paris.
Un parcours éclectique - Pour mémoire, Ludovico Einaudi se trouve être le fils d’un très fameux éditeur milanais, Giulio Einaudi, et donc le petit-fils de Luigi Einaudi, Président de la République italienne de 1948 à 1955… Rejeton d’une bourgeoisie érudite et éclairée, il a pris goût au piano dès l’enfance sous l’influence de sa mère, a étudié au Conservatoire Verdi de Milan avant de suivre les enseignements du compositeur Luciano Berio, fameux pionnier de l’électroacoustique.
Il a par la suite collaboré avec des musiciens issus d’horizons très divers comme Ballaké Sissoko, maître de la kora malienne (Diario Mali), Ibrahim Maalouf, virtuose de la trompette contemporaine, Mercan Dede, l’un de meilleurs souffleurs et percussionnistes soufis, Paolo Fresu,… Ses musiques et ses mélodies aériennes, tour à tour incandescentes et apaisantes, n’en gardent pas moins une identité forte et qui séduit aussi le cinéma d’auteur, lequel leur a réservé de fort belles plages dans les films Le Prix du Désir, Aprile, This Is England, plus récemment la bande annonce de The Reader…
Elles ont aussi beaucoup attiré la publicité. Mais leur créateur, lui, reste dans son monde. « J’aime me complaire dans mes rêves et rester, comme on dit en italien, la tête dans les nuages. La musique et le jeu sont un moyen privilégié d’accéder à d’autres dimensions, et de les partager. » S’il doit beaucoup aux influences croisées de Brian Eno, Philip Glass et Steve Reich, le pianiste tient aussi à citer Arvo Part. « Des artistes qui ont su rompre l’impasse de la vieille avant-garde, donner un souffle neuf à la création musicale. » Pêle-mêle, il cite aussi Monteverdi, Vivaldi, Bach, Stravinsky, Bartok, Berio, mais aussi les Beatles, Pink Floyd, Radiohead qu’il estime « poétique et aventurier », U2 qu’il trouve « romantique et prophétique », ainsi que les musiques traditionnelles du Mali, d’Arménie, de Russie et du Salento, l’extrême sud de l’Italie.
Tracklist
CD1
01. The Planets
02. Lady Labyrinth
03. Nightbook
04. In Principio
05. Indaco
06. Bye Bye Mon Amour
07. The Crane Dance
08. The Tower
CD2
01. Berlin Song
02. Tu Sei
03. Melodia Africana I
04. I due Fiumi
05. In un’altra vita
06. Stella del Mattino
07. I Giorni
08. Primavera
09. Divenire
10. Nightbook
11. Eros
12. La nascita delle cose segrete
Credits
Ludovico Einaudi : piano, Federico Mecozzi : violin, guitar, bass, Mauro Durante : violin, frame drums, glockenspiel, Antonio Leofreddi : viola, Marco Decimo : cello, glockenspiel, Robert Lippok : live electronics
Orchestra I Virtuosi Italiani :
Alberto Martini : 1st violin, Glauco Bertagnin : 1st violin, Matteo Marzaro : 1st violin, Constantin Beschieru : 1st violin, Luca Falasca : 2nd violin, Alberto Ambrosini : 2nd violin, Vinicio Capriotti : 2nd violin, Ingrid Shllaku : 2nd violin, Flavio Ghilardi : viola, Alessandro Pandolfi : viola, Monica Vatrini : viola, Leonardo Sapere : cello, Gionata Brunelli : cello, Carlo Teodoro : cello, Sante Braia : double bass
Ludovico Einaudi doit-il être considéré « classique », « expérimental », « minimal », « jazz », « world » ? Trop artiste pour s’en soucier vraiment, ce dernier répond qu’idéalement, il verrait bien ses disques rangés au côté de ceux de Massive Attack et de Portishead. « Mais je me demande bien où-ce qu’on les case eux-mêmes ! Je ne me vois pas au rayon classique, je ne suis pas du passé. Je ne me reconnais pas non plus dans le sigle minimal, ni dans celui de world, associé aux musiques traditionnelles. Quant à la pop, c’est Michael Jackson. »
Une chose est « sûre », c’est dans cette incertitude que sa musique - trop souvent décrite comme « mélancolique » à son goût - affirme en grande partie son sortilège. Et n’empêche aucunement le public de s’y retrouver, ses disques s’étant écoulés à plus de 750 000 copies en Europe. La scène n’est pas en reste. Divenire, paru en septembre 2007 avait déclenché une tournée triomphale à guichet fermé dans les salles les plus prestigieuses, le Royal Albert Hall de Londres, le Kennedy Center de Washington, Le Trianon à Paris.
Un parcours éclectique - Pour mémoire, Ludovico Einaudi se trouve être le fils d’un très fameux éditeur milanais, Giulio Einaudi, et donc le petit-fils de Luigi Einaudi, Président de la République italienne de 1948 à 1955… Rejeton d’une bourgeoisie érudite et éclairée, il a pris goût au piano dès l’enfance sous l’influence de sa mère, a étudié au Conservatoire Verdi de Milan avant de suivre les enseignements du compositeur Luciano Berio, fameux pionnier de l’électroacoustique.
Il a par la suite collaboré avec des musiciens issus d’horizons très divers comme Ballaké Sissoko, maître de la kora malienne (Diario Mali), Ibrahim Maalouf, virtuose de la trompette contemporaine, Mercan Dede, l’un de meilleurs souffleurs et percussionnistes soufis, Paolo Fresu,… Ses musiques et ses mélodies aériennes, tour à tour incandescentes et apaisantes, n’en gardent pas moins une identité forte et qui séduit aussi le cinéma d’auteur, lequel leur a réservé de fort belles plages dans les films Le Prix du Désir, Aprile, This Is England, plus récemment la bande annonce de The Reader…
Elles ont aussi beaucoup attiré la publicité. Mais leur créateur, lui, reste dans son monde. « J’aime me complaire dans mes rêves et rester, comme on dit en italien, la tête dans les nuages. La musique et le jeu sont un moyen privilégié d’accéder à d’autres dimensions, et de les partager. » S’il doit beaucoup aux influences croisées de Brian Eno, Philip Glass et Steve Reich, le pianiste tient aussi à citer Arvo Part. « Des artistes qui ont su rompre l’impasse de la vieille avant-garde, donner un souffle neuf à la création musicale. » Pêle-mêle, il cite aussi Monteverdi, Vivaldi, Bach, Stravinsky, Bartok, Berio, mais aussi les Beatles, Pink Floyd, Radiohead qu’il estime « poétique et aventurier », U2 qu’il trouve « romantique et prophétique », ainsi que les musiques traditionnelles du Mali, d’Arménie, de Russie et du Salento, l’extrême sud de l’Italie.
Tracklist
CD1
01. The Planets
02. Lady Labyrinth
03. Nightbook
04. In Principio
05. Indaco
06. Bye Bye Mon Amour
07. The Crane Dance
08. The Tower
CD2
01. Berlin Song
02. Tu Sei
03. Melodia Africana I
04. I due Fiumi
05. In un’altra vita
06. Stella del Mattino
07. I Giorni
08. Primavera
09. Divenire
10. Nightbook
11. Eros
12. La nascita delle cose segrete
Credits
Ludovico Einaudi : piano, Federico Mecozzi : violin, guitar, bass, Mauro Durante : violin, frame drums, glockenspiel, Antonio Leofreddi : viola, Marco Decimo : cello, glockenspiel, Robert Lippok : live electronics
Orchestra I Virtuosi Italiani :
Alberto Martini : 1st violin, Glauco Bertagnin : 1st violin, Matteo Marzaro : 1st violin, Constantin Beschieru : 1st violin, Luca Falasca : 2nd violin, Alberto Ambrosini : 2nd violin, Vinicio Capriotti : 2nd violin, Ingrid Shllaku : 2nd violin, Flavio Ghilardi : viola, Alessandro Pandolfi : viola, Monica Vatrini : viola, Leonardo Sapere : cello, Gionata Brunelli : cello, Carlo Teodoro : cello, Sante Braia : double bass