Ludovico Einaudi
The Summer Portraits
Sortie le 31 janvier 2025
Label: Decca
Ludovico Einaudi est un phénomène ! Des millions d’albums vendus dans le monde, des milliards de streams, des concerts complets aux quatre coins de la planète et pourtant il reste une énigme. Quelque part entre Arvo Pärt, Brian Eno, Erik Satie et Steve Reich, l’Italien fait partie des défenseurs du « less is more ».
● Le 4 mars 2025 – Zénith de Nantes (complet)
● Le 5 mars 2025 – Accor Arena à Paris (complet)
● Le 6 mars 2025 – LDLC Arena à Lyon (complet)
● Le 21 juin 2025 – La Défense Arena
● Le 4 mars 2025 – Zénith de Nantes (complet)
● Le 5 mars 2025 – Accor Arena à Paris (complet)
● Le 6 mars 2025 – LDLC Arena à Lyon (complet)
● Le 21 juin 2025 – La Défense Arena
The Summer Portaits est le 17ème album de Ludovico Einaudi. A l’été 2023, l’artiste séjourne sur l’Ile d’Elbe dans une grande demeure imprégnée d’histoire et tapissée de tableaux manifestement peints de la même main. Intrigué et curieux, l’artiste découvre l’histoire de la femme qui possédait la maison. Elle y passait tous ses étés et avait l’habitude d’y peindre et d’y accrocher ses toiles sur tous les murs de la bâtisse. Elles y sont toujours.
« J'ai commencé à repenser à mes étés, à l'époque où ma vie était étroitement liée à tous mes sens, où les jours ressemblaient à des mois et les mois à des années, où j'étais libre du matin au soir, où chaque jour était une nouvelle découverte de la vie et où la nature en était un élément fondamental, où nous étions la nature. Je me suis dit que chacun avait sa propre version des portraits d'été (‘Summer Portraits’) », explique-t-il. « Une belle saison liée aux meilleurs moments de notre vie. J'ai donc commencé à réaliser mes propres peintures en musique. Cet album est dédié à tous nos souvenirs d'étés sans fin, à tous nos beaux moments."
Ludovico Einaudi
Une partie de l'album a été enregistrée à Abbey Road, avec des contributions de Théotime Langlois De Swarte au violon baroque et des parties orchestrales avec les cordes du Royal Philharmonic Orchestra, sous la direction de Robert Ames. Et toujours avec ses fidèles musiciens, Federico Mecozzi au violon et à l'alto, Redi Hasa au violoncelle et le multi-instrumentiste Francesco Arcuri. Ils ont enregistré presque tous les morceaux de l'album. Les morceaux les plus intimes ont été enregistrés dans le home studio d'Einaudi à la campagne, où l'expérience a été plus personnelle, capturant ainsi l'essence des « Summer Portraits ».
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Ludovico Einaudi est un phénomène ! Des millions d’albums vendus dans le monde, des milliards de streams, des concerts complets aux quatre coins de la planète et pourtant il reste une énigme. Quelque part entre Arvo Pärt, Brian Eno, Erik Satie et Steve Reich, l’Italien fait partie des défenseurs du « less is more ».
Un lyrisme inclassable - Acclamé en Italie, en Grande-Bretagne, aux Etats-Unis, au Japon, le pianiste et compositeur italien Ludovico Einaudi s’est constitué, ces vingt dernières années, un répertoire unique en son genre. Equilibriste et singulière en ce sens qu’elle est à la fois riche et sobre, foisonnante et épurée, sa musique est traversée par des mélodies lunaires et racées, propices à la méditation. Circulaire, répétitif au besoin, tout en élégance et parfois au bord de la transe, le chant de son piano nous y guide comme s’il tirait les ficelles d’une rêverie sans fin. De quoi nous projeter dans un vaste voyage à destination inconnue, joyeusement ornementé par les apports subtils de cordes, de percussions, d’éléments électro.
Un parcours éclectique - Pour mémoire, Ludovico Einaudi se trouve être le fils d’un très fameux éditeur milanais, Giulio Einaudi, et donc le petit-fils de Luigi Einaudi, Président de la République italienne de 1948 à 1955… Rejeton d’une bourgeoisie érudite et éclairée, il a pris goût au piano dès l’enfance sous l’influence de sa mère, a étudié au Conservatoire Verdi de Milan avant de suivre les enseignements du compositeur Luciano Berio, fameux pionnier de l’électroacoustique.
Ses musiques et ses mélodies aériennes, tour à tour incandescentes et apaisantes, n’en gardent pas moins une identité forte qui séduit aussi cinéma, lequel lui a réservé de fort belles plages dans les films This Is England, Intouchables The Father, Nomadland, La Tresse… Elles ont aussi beaucoup attiré la publicité. Mais leur créateur, lui, reste dans son monde. « J’aime me complaire dans mes rêves et rester, comme on dit en italien, la tête dans les nuages. La musique et le jeu sont un moyen privilégié d’accéder à d’autres dimensions, et de les partager. » S’il doit beaucoup aux influences croisées de Brian Eno, Philip Glass et Steve Reich, le pianiste tient aussi à citer Arvo Part. « Des artistes qui ont su rompre l’impasse de la vieille avant-garde, donner un souffle neuf à la création musicale. » Pêle-mêle, il cite aussi Monteverdi, Vivaldi, Bach, Stravinsky, Bartok, Berio, mais aussi les Beatles, Pink Floyd, Radiohead qu’il estime « poétique et aventurier », U2 qu’il trouve « romantique et prophétique », ainsi que les musiques traditionnelles du Mali, d’Arménie, d’Albanie et du Salento, l’extrême sud de l’Italie.
« J'ai commencé à repenser à mes étés, à l'époque où ma vie était étroitement liée à tous mes sens, où les jours ressemblaient à des mois et les mois à des années, où j'étais libre du matin au soir, où chaque jour était une nouvelle découverte de la vie et où la nature en était un élément fondamental, où nous étions la nature. Je me suis dit que chacun avait sa propre version des portraits d'été (‘Summer Portraits’) », explique-t-il. « Une belle saison liée aux meilleurs moments de notre vie. J'ai donc commencé à réaliser mes propres peintures en musique. Cet album est dédié à tous nos souvenirs d'étés sans fin, à tous nos beaux moments."
Ludovico Einaudi
Une partie de l'album a été enregistrée à Abbey Road, avec des contributions de Théotime Langlois De Swarte au violon baroque et des parties orchestrales avec les cordes du Royal Philharmonic Orchestra, sous la direction de Robert Ames. Et toujours avec ses fidèles musiciens, Federico Mecozzi au violon et à l'alto, Redi Hasa au violoncelle et le multi-instrumentiste Francesco Arcuri. Ils ont enregistré presque tous les morceaux de l'album. Les morceaux les plus intimes ont été enregistrés dans le home studio d'Einaudi à la campagne, où l'expérience a été plus personnelle, capturant ainsi l'essence des « Summer Portraits ».
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Ludovico Einaudi est un phénomène ! Des millions d’albums vendus dans le monde, des milliards de streams, des concerts complets aux quatre coins de la planète et pourtant il reste une énigme. Quelque part entre Arvo Pärt, Brian Eno, Erik Satie et Steve Reich, l’Italien fait partie des défenseurs du « less is more ».
Un lyrisme inclassable - Acclamé en Italie, en Grande-Bretagne, aux Etats-Unis, au Japon, le pianiste et compositeur italien Ludovico Einaudi s’est constitué, ces vingt dernières années, un répertoire unique en son genre. Equilibriste et singulière en ce sens qu’elle est à la fois riche et sobre, foisonnante et épurée, sa musique est traversée par des mélodies lunaires et racées, propices à la méditation. Circulaire, répétitif au besoin, tout en élégance et parfois au bord de la transe, le chant de son piano nous y guide comme s’il tirait les ficelles d’une rêverie sans fin. De quoi nous projeter dans un vaste voyage à destination inconnue, joyeusement ornementé par les apports subtils de cordes, de percussions, d’éléments électro.
Un parcours éclectique - Pour mémoire, Ludovico Einaudi se trouve être le fils d’un très fameux éditeur milanais, Giulio Einaudi, et donc le petit-fils de Luigi Einaudi, Président de la République italienne de 1948 à 1955… Rejeton d’une bourgeoisie érudite et éclairée, il a pris goût au piano dès l’enfance sous l’influence de sa mère, a étudié au Conservatoire Verdi de Milan avant de suivre les enseignements du compositeur Luciano Berio, fameux pionnier de l’électroacoustique.
Ses musiques et ses mélodies aériennes, tour à tour incandescentes et apaisantes, n’en gardent pas moins une identité forte qui séduit aussi cinéma, lequel lui a réservé de fort belles plages dans les films This Is England, Intouchables The Father, Nomadland, La Tresse… Elles ont aussi beaucoup attiré la publicité. Mais leur créateur, lui, reste dans son monde. « J’aime me complaire dans mes rêves et rester, comme on dit en italien, la tête dans les nuages. La musique et le jeu sont un moyen privilégié d’accéder à d’autres dimensions, et de les partager. » S’il doit beaucoup aux influences croisées de Brian Eno, Philip Glass et Steve Reich, le pianiste tient aussi à citer Arvo Part. « Des artistes qui ont su rompre l’impasse de la vieille avant-garde, donner un souffle neuf à la création musicale. » Pêle-mêle, il cite aussi Monteverdi, Vivaldi, Bach, Stravinsky, Bartok, Berio, mais aussi les Beatles, Pink Floyd, Radiohead qu’il estime « poétique et aventurier », U2 qu’il trouve « romantique et prophétique », ainsi que les musiques traditionnelles du Mali, d’Arménie, d’Albanie et du Salento, l’extrême sud de l’Italie.