Ireke
Ayô Dele
Sortie le 6 mars 2026
Label: Underdog Records
Ayô Dele, « la joie vient à moi » en Yoruba, n’est ni un slogan, ni un miracle promis. C’est un souffle. Celui d’un album qui naît dans les interstices, là où la parole se fraie un chemin entre l’ombre et la lumière, entre le désordre du monde et l’élan d’être.
Au cœur du projet, Julien Gervaix et Damien Tesson, beatmakers multi-instrumentistes, partagent un langage du groove à la fois dense et aéré, où chaque détail respire et trouve sa place. Passés par l’afrobeat, le dub, le funk, la soul, le reggae roots et les musiques électroniques, ils considèrent le studio comme un terrain de jeu.
Au cœur du projet, Julien Gervaix et Damien Tesson, beatmakers multi-instrumentistes, partagent un langage du groove à la fois dense et aéré, où chaque détail respire et trouve sa place. Passés par l’afrobeat, le dub, le funk, la soul, le reggae roots et les musiques électroniques, ils considèrent le studio comme un terrain de jeu.
Ayô Dele, « la joie vient à moi » en Yoruba, n’est ni un slogan, ni un miracle promis. C’est un souffle. Celui d’un album qui naît dans les interstices, là où la parole se fraie un chemin entre l’ombre et la lumière, entre le désordre du monde et l’élan d’être.
Au cœur du projet, Julien Gervaix et Damien Tesson, beatmakers multi-instrumentistes, partagent un langage du groove à la fois dense et aéré, où chaque détail respire et trouve sa place. Passés par l’afrobeat, le dub, le funk, la soul, le reggae roots et les musiques électroniques, ils considèrent le studio comme un terrain de jeu.
Leur musique est un groove hybride qui parle au corps : basses rondes ou bondissantes, cuivres oscillant entre chaleur mélodique et énergie funk, guitares aux arpèges texturés, rhodes enveloppant, clavinet qui glisse, appuie, enlace. Tout s’agence avec exigence et souplesse, dans une écriture inventive et chaleureuse. De la rencontre de leurs expériences et sensibilités naît une musique ouverte, généreuse, faite pour la danse et la vibration.
Avec Ayô Dele, Ireke entame un nouveau chapitre : le duo affine son geste en laissant respirer les voix. Le groove reste moteur, mais s’ouvre à l’intime. Intimité portée par deux voix féminines singulières : Nayel Hoxo, chanteuse/rappeuse bénino-nigeriane, et Agnès Hélène, déjà remarquée sur Tropikadelic avec Petit à Petit. Elles ne chantent pas l’une à côté de l’autre : elles coexistent, se répondent, se croisent parfois. Mais chacune creuse son sillon : Nayel, dans la force d’une parole en yoruba, offre des chants d’élévation, de guérison, de résistance, une lumière née dans les failles. Agnès explore ces failles elles-mêmes : ce qui vacille en nous, ce qui se réinvente dans les liens, les regards, les gestes partagés.
Le temps d’un morceau, Olivya (Dowdelin), rejoint ce dialogue en créole martiniquais. Sa soul solaire esquisse les contours d’une résistance douce et célèbre la lumière retrouvée.
Deux femmes, deux mondes intérieurs : une complicité sensible, un souffle partagé. Une musique qui ne cherche pas l’effet, mais l’écho, tissant une cartographie sonore vivante, entre traditions réinventées et textures contemporaines. Une alchimie fidèle à l’esprit d’Underdog Records, où la musique unit et fait cercle.
Au cœur du projet, Julien Gervaix et Damien Tesson, beatmakers multi-instrumentistes, partagent un langage du groove à la fois dense et aéré, où chaque détail respire et trouve sa place. Passés par l’afrobeat, le dub, le funk, la soul, le reggae roots et les musiques électroniques, ils considèrent le studio comme un terrain de jeu.
Leur musique est un groove hybride qui parle au corps : basses rondes ou bondissantes, cuivres oscillant entre chaleur mélodique et énergie funk, guitares aux arpèges texturés, rhodes enveloppant, clavinet qui glisse, appuie, enlace. Tout s’agence avec exigence et souplesse, dans une écriture inventive et chaleureuse. De la rencontre de leurs expériences et sensibilités naît une musique ouverte, généreuse, faite pour la danse et la vibration.
Avec Ayô Dele, Ireke entame un nouveau chapitre : le duo affine son geste en laissant respirer les voix. Le groove reste moteur, mais s’ouvre à l’intime. Intimité portée par deux voix féminines singulières : Nayel Hoxo, chanteuse/rappeuse bénino-nigeriane, et Agnès Hélène, déjà remarquée sur Tropikadelic avec Petit à Petit. Elles ne chantent pas l’une à côté de l’autre : elles coexistent, se répondent, se croisent parfois. Mais chacune creuse son sillon : Nayel, dans la force d’une parole en yoruba, offre des chants d’élévation, de guérison, de résistance, une lumière née dans les failles. Agnès explore ces failles elles-mêmes : ce qui vacille en nous, ce qui se réinvente dans les liens, les regards, les gestes partagés.
Le temps d’un morceau, Olivya (Dowdelin), rejoint ce dialogue en créole martiniquais. Sa soul solaire esquisse les contours d’une résistance douce et célèbre la lumière retrouvée.
Deux femmes, deux mondes intérieurs : une complicité sensible, un souffle partagé. Une musique qui ne cherche pas l’effet, mais l’écho, tissant une cartographie sonore vivante, entre traditions réinventées et textures contemporaines. Une alchimie fidèle à l’esprit d’Underdog Records, où la musique unit et fait cercle.
Nayel Hoxo – Voix de lumière, langue de mémoire
Chanteuse bénino-nigériane, Nayel Hoxo porte un héritage précieux : celui de son père, Adolphe Yelouassi, figure de la salsa béninoise et compagnon du mythique T.P. Orchestre Poly-Rythmo. Révélée sur la scène internationale avec le Bénin International Musical (BIM), elle impose un flow puissant et habité. Princesse d’Abomey, ville historique du culte vodoun, elle chante en yoruba, sa langue de cœur. Sa voix invoque, élève, répare.
Agnès Hélène – Voix claire pour émotions troubles
Déjà remarquée sur Tropikadelic avec Petit à Petit, hymne solaire à la danse, au groove contagieux, Agnès Hélène tisse, dans Ayô Dele, une parole sensible, précise, intime. À sa manière, Agnès Hélène réinvente la douceur comme une force lucide. Non pas une échappée, mais une écoute de soi, de l’autre, du monde tel qu’il va, et tel qu’il pourrait aller. Une voix qui ne clame rien, mais qui touche longtemps après.
Olivya (Dowdelin) – Une douceur qui élève
Chanteuse du groupe Dowdelin (Underdog Records) et figure singulière de la soul créole, Olivya fait ici une apparition rare et précieuse. Invitée sur Viv Li, elle déploie, en créole martiniquais, une voix fluide et habitée. Entre douceur et force intérieure, elle épouse le groove feutré du morceau, transformant la fragilité en élan vital.
Chanteuse bénino-nigériane, Nayel Hoxo porte un héritage précieux : celui de son père, Adolphe Yelouassi, figure de la salsa béninoise et compagnon du mythique T.P. Orchestre Poly-Rythmo. Révélée sur la scène internationale avec le Bénin International Musical (BIM), elle impose un flow puissant et habité. Princesse d’Abomey, ville historique du culte vodoun, elle chante en yoruba, sa langue de cœur. Sa voix invoque, élève, répare.
Agnès Hélène – Voix claire pour émotions troubles
Déjà remarquée sur Tropikadelic avec Petit à Petit, hymne solaire à la danse, au groove contagieux, Agnès Hélène tisse, dans Ayô Dele, une parole sensible, précise, intime. À sa manière, Agnès Hélène réinvente la douceur comme une force lucide. Non pas une échappée, mais une écoute de soi, de l’autre, du monde tel qu’il va, et tel qu’il pourrait aller. Une voix qui ne clame rien, mais qui touche longtemps après.
Olivya (Dowdelin) – Une douceur qui élève
Chanteuse du groupe Dowdelin (Underdog Records) et figure singulière de la soul créole, Olivya fait ici une apparition rare et précieuse. Invitée sur Viv Li, elle déploie, en créole martiniquais, une voix fluide et habitée. Entre douceur et force intérieure, elle épouse le groove feutré du morceau, transformant la fragilité en élan vital.