Ian Shaw
The Theory of Joy
Sortie le 19 février 2016
Label : Jazz Village
Ian Shaw est un artiste aux multiples facettes : pianiste talentueux, auteur- compositeur, humoriste, animateur radio, producteur de disques. Mais son don le plus marquant reste celui de chanteur de jazz, puisqu’il est l’un des plus singuliers, originaux et créatifs que la Grande-Bretagne ait produit et qu’il peut être considéré avec Mark Murphy et Kurt Elling comme l’un des meilleurs crooners au monde.
Ian Shaw, chanteur de jazz, auteur-compositeur (et humoriste, présentateur radio et producteur !) revient avec un ensemble classique du jazz, le piano trio. Soliste accompli, Ian désirait être cette fois accompagné sur son nouvel enregistrement, et quelle compagnie il a trouvée ! Ce sont trois des meilleurs instrumentistes du Royaume-Uni qui l’entourent : le pianiste exceptionnel Barry Green, le bassiste légendaire Mick Hutton et l’excellent batteur Dave Ohm. Le groupe effectue une série d’arrangements novateurs sur la scène des festivals et des clubs britanniques et européens, dont quatre tournées à guichets fermés au Ronnie Scott Club. Ces nouvelles chansons, finement ciselées, furent ensuite enregistrées pour ce nouvel album, The Theory of Joy, sur le label de harmonia mundi, JazzVillage. Enregistré chez Snap ! Studios dans le nord de Londres pendant l’été 2015, ce disque a également été produit par Claire Martin, chanteuse de renommée mondiale. La participation de l’ingénieur du son visionnaire Joe Leach a également permis de réaliser un vœu de longue date.
The Theory Of Joy est tout cela : une collection de chansons à l’inspiration et la structure pop, incluant des nouvelles approches extraordinaires de Bowie, Lionel Bart, Jacques Brel, Joni Mitchell, Mel Tormé et même Traffic. L’humeur générale de cet opus, pleine d’espoir, est également au questionnement, politisé et honnête. Ian Shaw signe les arrangements de l’album, mais aussi trois compositions originales, qui témoignent de bons souvenirs musicaux, d’émotions et de possibilités. All This And Betty Too raconte ses débuts avec sa grande amie Claire Martin à Ronnie Scott, en écoutant Betty Carter.
Somewhere Towards Love est une chanson retravaillée, qui apparaissait sur l’album du même nom chez Slash Point Records. My Brother quant à elle raconte l’histoire du frère d’Ian, Gareth (« le premier bébé »), décédé avant la naissance de l’artiste. Cette dernière chanson raconte au fond une histoire universelle.
Après de nombreuses collaborations – il a travaillé, au fil des années, avec un nombre incalculable d’artistes incluant Quincy Jones, Abdullah Ibrahim, Kenny Wheeler et John Taylor, Georgie Fame, The BBC Big Band, the NDR, HR Big Bands en Allemagne, the BBC Concert Orchestra, Eddi Reader, Claire Martin, Guy Barker, Cleo Laine et John Dankworth, Van Morrison, Jon Hendricks, Cedar Walton, Joe Lovano, Iain Ballamy, Sarah Jane Morris, Liane Carroll, Jamie Cullum, Madeline Bell, Eric Alexander, Arturo O’Farrill, Charlotte Church, ou encore Fabrizio Bosso – Ian Shaw exprime son style propre sur ce nouvel album.
BIOGRAPHIE
Deux fois élu « Best Jazz Vocalist » (meilleur chanteur jazz) au prestigieux BBC Jazz awards, Ian Shaw, chanteur londonien et showman accompli a plus d’une douzaine d’albums à son actif. Parmi les précédents opus parus en Grande-Bretagne, trois sont sortis d’abord sur le label Ronnie Scott’s Jazzhouse. Grâce à ceux-ci, Shaw a rejoint Milestone, où sa première sortie s’est faite avec le légendaire Cedar Walton (In A New York Minute, 1999), suivie de près par Soho Stories, là encore avec Cedar Walton. Sorti sur 441 Records, A World Still Turning, enregistré au fameux Avatar Studio, compte parmi les artistes invités le pianiste Billy Childs et le mentor de Ian Shaw, Mark Murphy, présent pour un duo. En 2006, il sort Drawn to All Things – The Songs of Joni Mitchell (Linn Records), un album marquant, qui lui a valu d’être « Loué de long en large comme étant le seul et le meilleur chanteur de jazz que le Royaume Uni ait offert » par Jazz Times (USA). Lifejacket, paru ensuite chez Linn Records également, livre une collection de chansons originales et autobiographiques et consolide sa réputation d’auteur compositeur et de chanteur de jazz de talent. En 2009 sort Somewhere Towards Love (Splash Point Records), son premier album solo, où il s’accompagne sur tous les morceaux. Un an plus tard, The Abbey Road Sessions le voit faire son retour avec un ensemble incluant le bassiste vétéran Peter Ind.
Sur son dernier album paru jusqu’alors, A Ghost in Every Bar, les paroles de Fran Landesman lui donnent un formidable espace d’expression, faisant dire à Jazz Time que « le chanteur Gallois demeure le plus galant des troubadours et le plus simplement magique des conteurs ».
La carrière scénique de Shaw a commencé, fait rare pour un jazzman, sur les scènes d’Alternative Cabaret, aux côtés d’artistes tels que Julian Clary, Rory Bremner et Jo Brand. Shaw est alors repéré par Dave Illic, critique de jazz pour City Limits, qui le décrit comme « la voix de la décennie ». Ronnie Scott en personne l’encourage à devenir chanteur de jazz et dès lors, il apparaît régulièrement dans le fameux club de Scott et dans la plupart des salles et festivals de Grande- Bretagne.
Il retourne à ses premières amours en tant que comédien en 2011, rejoignant Rory Bremner pour une tournée stand-up en Grande-Breta- gne, mélange de chansons originales et de comédie. Il poursuit ensuite avec son spectacle d’humour, « A Bit of a Mouthful » à l’Edinburgh Festival pendant un mois. En 2015, il est invité à jouer ce spectacle à Berlin et à l’Adelaïde Cabaret Festival, ce qui marque les débuts de Shaw en Australie, suivis par des performances jazz dans des clubs de Melbourne, Sydney et Perth avec des trios locaux.
En tant qu’artiste de Jazz, Ian Shaw est populaire en Amérique du Nord, puisqu’il a joué sur les côtes Est et Ouest des USA et régulièrement au Canada. Les tournées Européennes ont quant à elles compté de nombreuses dates, aussi bien en salles de concert qu’en festivals – et notamment au North Sea Festival en 2014 –, en solo qu’en trio.
Le succès de Shaw en solo et en trio prouve qu’il est autant réclamé en tant que chanteur vedette de groupes et orchestre, en Grande- Bretagne et à l’internationale. Au fil des années, il a collaboré avec des artistes comme Quincy Jones, Georgie Fame, Cleo Laine, Kenny Wheeler, Dee Dee Bridgewater, Nigel Kennedy, Kurt Elling et The Who de Pete Townsend et est parti en tournée avec Abdullah Ibrahim, The Boston Pops et Cedar Walton.
Régulièrement présent ces dernières années à la radio britannique (BBC Radio 2, 3, 4 et Londres) aussi bien en interview qu’en tant que présentateur, Ian anime actuellement l’émission hebdomadaire diffusée sur les stations FM de jazz britanniques, canadiennes et américaines, ainsi que pendant les vols British Airways. Il compte notamment parmi ses invités spéciaux Al Jarreau, Kenny Garrett, Patti Austin, Ruby Turner, Van Morrison, Fred Wesley et Marlena Shaw.
« Loué de long en large comme étant le seul et le meilleur chanteur de jazz que le Royaume Uni ait offert » Christopher Loudon, Jazz Times (USA)
« Un des chanteurs de jazz les plus honnêtes et musicaux d’Angleterre »
The Guardian
« Tout simplement notre meilleur chanteur de jazz »
Time Out
MUSICIENS
● Ian Shaw : chant, piano (12) Barry Green : piano
● Mick Hutton : basse
● Dave Ohm : batterie
The Theory Of Joy est tout cela : une collection de chansons à l’inspiration et la structure pop, incluant des nouvelles approches extraordinaires de Bowie, Lionel Bart, Jacques Brel, Joni Mitchell, Mel Tormé et même Traffic. L’humeur générale de cet opus, pleine d’espoir, est également au questionnement, politisé et honnête. Ian Shaw signe les arrangements de l’album, mais aussi trois compositions originales, qui témoignent de bons souvenirs musicaux, d’émotions et de possibilités. All This And Betty Too raconte ses débuts avec sa grande amie Claire Martin à Ronnie Scott, en écoutant Betty Carter.
Somewhere Towards Love est une chanson retravaillée, qui apparaissait sur l’album du même nom chez Slash Point Records. My Brother quant à elle raconte l’histoire du frère d’Ian, Gareth (« le premier bébé »), décédé avant la naissance de l’artiste. Cette dernière chanson raconte au fond une histoire universelle.
Après de nombreuses collaborations – il a travaillé, au fil des années, avec un nombre incalculable d’artistes incluant Quincy Jones, Abdullah Ibrahim, Kenny Wheeler et John Taylor, Georgie Fame, The BBC Big Band, the NDR, HR Big Bands en Allemagne, the BBC Concert Orchestra, Eddi Reader, Claire Martin, Guy Barker, Cleo Laine et John Dankworth, Van Morrison, Jon Hendricks, Cedar Walton, Joe Lovano, Iain Ballamy, Sarah Jane Morris, Liane Carroll, Jamie Cullum, Madeline Bell, Eric Alexander, Arturo O’Farrill, Charlotte Church, ou encore Fabrizio Bosso – Ian Shaw exprime son style propre sur ce nouvel album.
BIOGRAPHIE
Deux fois élu « Best Jazz Vocalist » (meilleur chanteur jazz) au prestigieux BBC Jazz awards, Ian Shaw, chanteur londonien et showman accompli a plus d’une douzaine d’albums à son actif. Parmi les précédents opus parus en Grande-Bretagne, trois sont sortis d’abord sur le label Ronnie Scott’s Jazzhouse. Grâce à ceux-ci, Shaw a rejoint Milestone, où sa première sortie s’est faite avec le légendaire Cedar Walton (In A New York Minute, 1999), suivie de près par Soho Stories, là encore avec Cedar Walton. Sorti sur 441 Records, A World Still Turning, enregistré au fameux Avatar Studio, compte parmi les artistes invités le pianiste Billy Childs et le mentor de Ian Shaw, Mark Murphy, présent pour un duo. En 2006, il sort Drawn to All Things – The Songs of Joni Mitchell (Linn Records), un album marquant, qui lui a valu d’être « Loué de long en large comme étant le seul et le meilleur chanteur de jazz que le Royaume Uni ait offert » par Jazz Times (USA). Lifejacket, paru ensuite chez Linn Records également, livre une collection de chansons originales et autobiographiques et consolide sa réputation d’auteur compositeur et de chanteur de jazz de talent. En 2009 sort Somewhere Towards Love (Splash Point Records), son premier album solo, où il s’accompagne sur tous les morceaux. Un an plus tard, The Abbey Road Sessions le voit faire son retour avec un ensemble incluant le bassiste vétéran Peter Ind.
Sur son dernier album paru jusqu’alors, A Ghost in Every Bar, les paroles de Fran Landesman lui donnent un formidable espace d’expression, faisant dire à Jazz Time que « le chanteur Gallois demeure le plus galant des troubadours et le plus simplement magique des conteurs ».
La carrière scénique de Shaw a commencé, fait rare pour un jazzman, sur les scènes d’Alternative Cabaret, aux côtés d’artistes tels que Julian Clary, Rory Bremner et Jo Brand. Shaw est alors repéré par Dave Illic, critique de jazz pour City Limits, qui le décrit comme « la voix de la décennie ». Ronnie Scott en personne l’encourage à devenir chanteur de jazz et dès lors, il apparaît régulièrement dans le fameux club de Scott et dans la plupart des salles et festivals de Grande- Bretagne.
Il retourne à ses premières amours en tant que comédien en 2011, rejoignant Rory Bremner pour une tournée stand-up en Grande-Breta- gne, mélange de chansons originales et de comédie. Il poursuit ensuite avec son spectacle d’humour, « A Bit of a Mouthful » à l’Edinburgh Festival pendant un mois. En 2015, il est invité à jouer ce spectacle à Berlin et à l’Adelaïde Cabaret Festival, ce qui marque les débuts de Shaw en Australie, suivis par des performances jazz dans des clubs de Melbourne, Sydney et Perth avec des trios locaux.
En tant qu’artiste de Jazz, Ian Shaw est populaire en Amérique du Nord, puisqu’il a joué sur les côtes Est et Ouest des USA et régulièrement au Canada. Les tournées Européennes ont quant à elles compté de nombreuses dates, aussi bien en salles de concert qu’en festivals – et notamment au North Sea Festival en 2014 –, en solo qu’en trio.
Le succès de Shaw en solo et en trio prouve qu’il est autant réclamé en tant que chanteur vedette de groupes et orchestre, en Grande- Bretagne et à l’internationale. Au fil des années, il a collaboré avec des artistes comme Quincy Jones, Georgie Fame, Cleo Laine, Kenny Wheeler, Dee Dee Bridgewater, Nigel Kennedy, Kurt Elling et The Who de Pete Townsend et est parti en tournée avec Abdullah Ibrahim, The Boston Pops et Cedar Walton.
Régulièrement présent ces dernières années à la radio britannique (BBC Radio 2, 3, 4 et Londres) aussi bien en interview qu’en tant que présentateur, Ian anime actuellement l’émission hebdomadaire diffusée sur les stations FM de jazz britanniques, canadiennes et américaines, ainsi que pendant les vols British Airways. Il compte notamment parmi ses invités spéciaux Al Jarreau, Kenny Garrett, Patti Austin, Ruby Turner, Van Morrison, Fred Wesley et Marlena Shaw.
« Loué de long en large comme étant le seul et le meilleur chanteur de jazz que le Royaume Uni ait offert » Christopher Loudon, Jazz Times (USA)
« Un des chanteurs de jazz les plus honnêtes et musicaux d’Angleterre »
The Guardian
« Tout simplement notre meilleur chanteur de jazz »
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MUSICIENS
● Ian Shaw : chant, piano (12) Barry Green : piano
● Mick Hutton : basse
● Dave Ohm : batterie