Horseman
Dawn of the Dread
Sortie le 18 novembre 2014
Label : Mr Bongo
Après avoir collaboré pendant plus 30 ans avec les plus prestigieux artistes de la scène reggae, Winston Williams alias Horseman exprime enfin tout son talent sur l’album « Dawn Of The Dread » qui sortira chez Mr Bongo courant Novembre 2014.
Après avoir collaboré pendant plus 30 ans avec les plus prestigieux artistes de la scène reggae, Winston Williams alias Horseman exprime enfin tout son talent sur l’album « Dawn Of The Dread » qui sortira chez Mr Bongo courant Novembre 2014.
Avec « Dawn Of The Dread » Horseman dévoile son imposante personnalité pour la première fois sur un album qui lui est entièrement consacré. En tant que batteur et MC de renom, il a collaboré avec de nombreux musiciens et producteurs tels que Tippa Irie, Max Romeo, Gregory Isaacs, Sugar Minott, Jah Shaka, Mad Professor, Barrington Levy, Eeka Mouse ou encore avec le Royal Philarmonic Orchestra avant de s’associer plus récemment au groupe Hollie Cook et à Prince Fatty. C’est à l’occasion d’un concert avec le célèbre Ruff Cut Band qu’il fait la rencontre du producteur Mike « Prince Fatty » Pelanconi avec qui il travaillera longuement.
Issu d’une lignée d’artistes, Horseman a la musique dans la peau. Son père avait son propre soundsystem et sa mère Eureka Icelyn Barnes, alias « Miss Girlie » était chanteuse. Elle avait eu l’occasion d’enregistré avec Laurel Altkins ainsi que Palmer Dice dans les années 50-60.
« Dawn Of The Dread » a été enregistré au Studio Dub en Thaïlande avant d’être mixé à l’Ironworks Studio de Prince Fatty à Brighton.
Inspiré par une course de chevaux, le morceau Horsemove a été enregistré à l’origine sous le nom de Giddiup en 1985 et avait passé plus de quatre semaines au sommet des top charts de reggae en Grande Bretagne.
La nouvelle version proposée sur l’album a été remasterisé avec une ligne de basse plus solide et des percussions plus modernes.
Computer détaille l’histoire des tendances informatiques sur un rythme dancehall. « On a d’abord enregistré la ligne rythmique pour un autre morceau avant de s’amuser dessus avec une boîte à effets et d’y ajouter des sons typiques de Commodore 64s, ZX Spectrums, Xbox ou Playstation, puis les paroles sont venues naturellement. »
En radical contraste avec le titre de l’album, qui tire son inspiration du visionnage de plusieurs films de zombies au court d’une longue nuit passée dans les studios, « Dawn Of The Dread » est rempli d’ondes positives insufflées par Horseman dont l’objectif est avant tout de véhiculer l’amour.
« Ma musique est là pour rendre les gens heureux. Je ne suis pas en compétition avec qui que ce soit, la musique ne devrait pas servir à cela, je fais juste mon truc. »
Avec « Dawn Of The Dread » Horseman dévoile son imposante personnalité pour la première fois sur un album qui lui est entièrement consacré. En tant que batteur et MC de renom, il a collaboré avec de nombreux musiciens et producteurs tels que Tippa Irie, Max Romeo, Gregory Isaacs, Sugar Minott, Jah Shaka, Mad Professor, Barrington Levy, Eeka Mouse ou encore avec le Royal Philarmonic Orchestra avant de s’associer plus récemment au groupe Hollie Cook et à Prince Fatty. C’est à l’occasion d’un concert avec le célèbre Ruff Cut Band qu’il fait la rencontre du producteur Mike « Prince Fatty » Pelanconi avec qui il travaillera longuement.
Issu d’une lignée d’artistes, Horseman a la musique dans la peau. Son père avait son propre soundsystem et sa mère Eureka Icelyn Barnes, alias « Miss Girlie » était chanteuse. Elle avait eu l’occasion d’enregistré avec Laurel Altkins ainsi que Palmer Dice dans les années 50-60.
« Dawn Of The Dread » a été enregistré au Studio Dub en Thaïlande avant d’être mixé à l’Ironworks Studio de Prince Fatty à Brighton.
Inspiré par une course de chevaux, le morceau Horsemove a été enregistré à l’origine sous le nom de Giddiup en 1985 et avait passé plus de quatre semaines au sommet des top charts de reggae en Grande Bretagne.
La nouvelle version proposée sur l’album a été remasterisé avec une ligne de basse plus solide et des percussions plus modernes.
Computer détaille l’histoire des tendances informatiques sur un rythme dancehall. « On a d’abord enregistré la ligne rythmique pour un autre morceau avant de s’amuser dessus avec une boîte à effets et d’y ajouter des sons typiques de Commodore 64s, ZX Spectrums, Xbox ou Playstation, puis les paroles sont venues naturellement. »
En radical contraste avec le titre de l’album, qui tire son inspiration du visionnage de plusieurs films de zombies au court d’une longue nuit passée dans les studios, « Dawn Of The Dread » est rempli d’ondes positives insufflées par Horseman dont l’objectif est avant tout de véhiculer l’amour.
« Ma musique est là pour rendre les gens heureux. Je ne suis pas en compétition avec qui que ce soit, la musique ne devrait pas servir à cela, je fais juste mon truc. »