Hollie Cook
Hollie Cook
Sortie le 6 juin 2011
Label : Mr Bongo
Hollie Cook est née dans l’ouest de Londres. Un père célèbre, le bien nommé Paul Cook, émérite batteur des Sex Pistols, lui donna très tôt l’occasion de forger son identité musicale.
Mr Bongo fut tout d’abord ce magasin de disques spécialisé en musiques latines et sud américaines, ouvert en 1989 et qui a vu passer dans ses rayons tout ce que Londres comptait de DJ et de spécialistes du genre. Puis cette officine, devenue culte pour beaucoup, devint le pourvoyeur officiel de toute la scène latine mais également hip-hop du Londres underground des années 90 pour devenir un label à part entière. Et même si la mythique enseigne ferma ses portes en 2004, le catalogue de Mr Bongo Records reste une référence internationale de l’expérimentation sonore pointue et d’une qualité artistique incomparable.
Hollie Cook est née dans l’ouest de Londres. Un père célèbre, le bien nommé Paul Cook, émérite batteur des Sex Pistols, lui donna très tôt l’occasion de forger son identité musicale.
Elle grandi au son de Marc Bolan, The Cure, David Bowie mais va très vite s’intéresser au rocksteady, au reggae et se prendre de passion pour des chanteuses comme Janet Kay ou Phyllis Dillon. Hollie voue également un culte aux groupes féminins des années 60. D’ailleurs, sa mère Jennie fut la chanteuse des Belle Stars et Hollie sera d’ailleurs un long moment membre des Slits).
Petrie de toutes ces influences, Hollie Cook invente un style qu’elle a elle même baptisé « Tropical Pop ». Elle entend d’ailleurs le faire partager à travers ce premier album, produit par son ami et collaborateur de longue date, Mike Pelanconi, plus connu sous le nom de Prince Fatty.
On y retrouve les deux hits « Milk and Honey » et « That Very Night », mais aussi une reprise tout en rondeur du Remember (walking in the sand) des Shangri-las.
Hollie Cook est née dans l’ouest de Londres. Un père célèbre, le bien nommé Paul Cook, émérite batteur des Sex Pistols, lui donna très tôt l’occasion de forger son identité musicale.
Elle grandi au son de Marc Bolan, The Cure, David Bowie mais va très vite s’intéresser au rocksteady, au reggae et se prendre de passion pour des chanteuses comme Janet Kay ou Phyllis Dillon. Hollie voue également un culte aux groupes féminins des années 60. D’ailleurs, sa mère Jennie fut la chanteuse des Belle Stars et Hollie sera d’ailleurs un long moment membre des Slits).
Petrie de toutes ces influences, Hollie Cook invente un style qu’elle a elle même baptisé « Tropical Pop ». Elle entend d’ailleurs le faire partager à travers ce premier album, produit par son ami et collaborateur de longue date, Mike Pelanconi, plus connu sous le nom de Prince Fatty.
On y retrouve les deux hits « Milk and Honey » et « That Very Night », mais aussi une reprise tout en rondeur du Remember (walking in the sand) des Shangri-las.