Federico Bianconi
Forever
Sortie le 27 janvier 2023
Label: Ponderosa Records
“Forever”, produit par Amedeo Pace (Blonde Redhead) et enregistré aux Real World Studios de Bath, est le premier album de Federico Bianconi, leader du trio rock indé Baustelle, originaire de Montepulciano près de Sienne en Toscane.
Featuring: Rufus Wainwright, Kaku (Blonde Redehead), Hindi Zahra, Eleanor Friedberger (The Fury Furnaces),…
Précédé par la sortie des chansons “Il Bene” et “L'abisso”, et par le dernier single “Certi Uomini”, “Forever” est un album universel et probablement intemporel, où la seule chose qui compte vraiment, sont les chansons.
“Forever”, produit par Amedeo Pace (Blonde Redhead) et enregistré aux Real World Studios de Bath, est un disque aux arrangements essentiels et sans les rythmes traditionnels basse-guitare-batterie, conçu avec l'idée d'utiliser la voix comme un élément unique de percussion et avec la présence, dans le tissu de base de chaque chanson, d'un quatuor à cordes, le Quatuor Balanescu ensemble, et des pianistes Michele Fedrigotti (collaborateur historique de Franco Battiato) et Thomas Bartlett qui se succèdent dans l'exécution des chansons.
Dans sa nouvelle œuvre, Bianconi a voulu avec force la participation d'autres voix: Rufus Wainwright, Eleanor Friedberger, Kazu Makino et Hindi Zahra; tous des artistes internationaux avec qui il a eu le plaisir de collaborer tant pour écrire les chansons, que pour l'exécution de la partie vocale.
Après deux œuvres maximalistes et pop avec les Baustelle, j'avais envie de reprendre quelque chose de plus minimaliste et pur", raconte Bianconi “Je me suis mis à réécouter “Desert Shore” de Nico et certains autres disques caractérisés par le fait que la scène était dominée par quelques éléments. Parfois, que deux: la voix et un instrument d'accompagnement. J'ai pensé qu'à presque cinquante ans, et en me mettant pour la première fois en jeu en solo, j'aurais aimé faire un disque comme ça, en me concentrant sur la pureté et sur la chanson plutôt que sur les superstructures que les modes courantes, l'âge et la culture imposent parfois ...
A un certain point, je me suis rendu compte d'avoir écrit des chansons qui avaient un aspect nouveau pour moi, des chansons anciennes et en même temps très modernes, des petits lieder qui m'inquiétaient pourtant un peu. Parce que la musique a évoqué des paroles qui n'ont jamais été si crues et si peu ironiques, sans filtres, sans manœuvres linguistiques, sans masques. C'est la première fois, et je dois l'admettre, qu'il m'arrive d'être si sincère dans une chanson.
Puis, le reste est arrivé. L'idée de ne pas vouloir forcer dans un concept ces bouts sincères et libres d'analyse psychanalytique, par exemple. C'est l'idée très simple d'un album de chansons qui m'intéressait, un point, c'est tout. Chacune différente de l'autre, dans les paroles et dans la musique...
Je voulais que ce disque soit hors du temps, universel, non lié aux géographies, si italien à ne l'être plus et à savoir s'envoler ailleurs. J'aimais que la langue italienne y soit, qui est la mienne, certes, mais je voulais également me mettre mal à l'aise, me rendre un émigrant en terre étrangère, faire participer d'autres voix et d'autres langues, pour démontrer que les chansons sont la seule chose qui compte vraiment, et que celui-ci est finalement un disque folk universel”.
“Forever”, produit par Amedeo Pace (Blonde Redhead) et enregistré aux Real World Studios de Bath, est un disque aux arrangements essentiels et sans les rythmes traditionnels basse-guitare-batterie, conçu avec l'idée d'utiliser la voix comme un élément unique de percussion et avec la présence, dans le tissu de base de chaque chanson, d'un quatuor à cordes, le Quatuor Balanescu ensemble, et des pianistes Michele Fedrigotti (collaborateur historique de Franco Battiato) et Thomas Bartlett qui se succèdent dans l'exécution des chansons.
Dans sa nouvelle œuvre, Bianconi a voulu avec force la participation d'autres voix: Rufus Wainwright, Eleanor Friedberger, Kazu Makino et Hindi Zahra; tous des artistes internationaux avec qui il a eu le plaisir de collaborer tant pour écrire les chansons, que pour l'exécution de la partie vocale.
Après deux œuvres maximalistes et pop avec les Baustelle, j'avais envie de reprendre quelque chose de plus minimaliste et pur", raconte Bianconi “Je me suis mis à réécouter “Desert Shore” de Nico et certains autres disques caractérisés par le fait que la scène était dominée par quelques éléments. Parfois, que deux: la voix et un instrument d'accompagnement. J'ai pensé qu'à presque cinquante ans, et en me mettant pour la première fois en jeu en solo, j'aurais aimé faire un disque comme ça, en me concentrant sur la pureté et sur la chanson plutôt que sur les superstructures que les modes courantes, l'âge et la culture imposent parfois ...
A un certain point, je me suis rendu compte d'avoir écrit des chansons qui avaient un aspect nouveau pour moi, des chansons anciennes et en même temps très modernes, des petits lieder qui m'inquiétaient pourtant un peu. Parce que la musique a évoqué des paroles qui n'ont jamais été si crues et si peu ironiques, sans filtres, sans manœuvres linguistiques, sans masques. C'est la première fois, et je dois l'admettre, qu'il m'arrive d'être si sincère dans une chanson.
Puis, le reste est arrivé. L'idée de ne pas vouloir forcer dans un concept ces bouts sincères et libres d'analyse psychanalytique, par exemple. C'est l'idée très simple d'un album de chansons qui m'intéressait, un point, c'est tout. Chacune différente de l'autre, dans les paroles et dans la musique...
Je voulais que ce disque soit hors du temps, universel, non lié aux géographies, si italien à ne l'être plus et à savoir s'envoler ailleurs. J'aimais que la langue italienne y soit, qui est la mienne, certes, mais je voulais également me mettre mal à l'aise, me rendre un émigrant en terre étrangère, faire participer d'autres voix et d'autres langues, pour démontrer que les chansons sont la seule chose qui compte vraiment, et que celui-ci est finalement un disque folk universel”.