Emicida
About kids, hips, nightmares and homework…
Sortie le 24 juin 2016
Label : Sterns Music
Figure de proue d’un hip-hop pauliste social et revendicatif, suivi par plusieurs millions de fans sur les réseaux sociaux, Leandro Roque de Oliveira aka Emicida est une voix qui porte au Brésil.
Figure de proue d’un hip-hop pauliste social et revendicatif, suivi par plusieurs millions de fans sur les réseaux sociaux, Leandro Roque de Oliveira aka Emicida est une voix qui porte au Brésil.
Artiste éminemment respecté dans le milieu hip-hop de Sao Paulo, Emicida a su également se faire un nom au delà de cet univers cloisonné. Il est considéré comme une sorte de poète urbain, socialement engagé dans ses textes, respectueux des traditions et tout en revendiquant viscéralement son héritage hip-hop, à la fois musicalement mais aussi comme art de vivre, il s’avère d’une ouverture d’esprit assez remarquable et se plait à insuffler maracatu, forro et funk psyché et métissé des années 70’s brésiliennes.
Mais il entend bien ne pas oublier ses racines et l’Afrique pour « retrouver le fil de l’histoire noire au Brésil ». C’est au Cap Vert et en Angola qu’il a enregistré ‘About kids, hips, nightmares and homework ...’ (Gosses, déhanchés, cauchemars et devoirs...). Un titre inspiré de son vécu et de ses expériences en Angola. C’est avec cet album qu’Emicida va pour la première fois défendre sa musique en France , même s’il déjà foulé les scènes de quelques festivals prestigieux.
Sur Mufete, on entend l’Angolais João Morgado, percussionniste et maître du ‘semba’ (à l’origine de la samba brésilienne), et Kaku Alves, l’ancien guitariste de Cesária Évora s’invite sur Passarinhos et Madagascar.
Le Brésil reste toutefois au cœur de ce nouvel album, qui nous offre des collaborations inédites et remarquées avec Vanessa da Mata (Passarinhos) et Caetano Veloso sur (Baiana).
Artiste éminemment respecté dans le milieu hip-hop de Sao Paulo, Emicida a su également se faire un nom au delà de cet univers cloisonné. Il est considéré comme une sorte de poète urbain, socialement engagé dans ses textes, respectueux des traditions et tout en revendiquant viscéralement son héritage hip-hop, à la fois musicalement mais aussi comme art de vivre, il s’avère d’une ouverture d’esprit assez remarquable et se plait à insuffler maracatu, forro et funk psyché et métissé des années 70’s brésiliennes.
Mais il entend bien ne pas oublier ses racines et l’Afrique pour « retrouver le fil de l’histoire noire au Brésil ». C’est au Cap Vert et en Angola qu’il a enregistré ‘About kids, hips, nightmares and homework ...’ (Gosses, déhanchés, cauchemars et devoirs...). Un titre inspiré de son vécu et de ses expériences en Angola. C’est avec cet album qu’Emicida va pour la première fois défendre sa musique en France , même s’il déjà foulé les scènes de quelques festivals prestigieux.
Sur Mufete, on entend l’Angolais João Morgado, percussionniste et maître du ‘semba’ (à l’origine de la samba brésilienne), et Kaku Alves, l’ancien guitariste de Cesária Évora s’invite sur Passarinhos et Madagascar.
Le Brésil reste toutefois au cœur de ce nouvel album, qui nous offre des collaborations inédites et remarquées avec Vanessa da Mata (Passarinhos) et Caetano Veloso sur (Baiana).