El Hijo de la Cumbia
Freestyle de Ritmos
Sortie le 12 Sept 2011
Label : Ya Basta !
Après la vague de l’electro tango, place à la déferlante nueva cumbia… Un vrai tsunami électronique qui inonde Buenos Aires, et débarque sur la vieille Europe !
Emiliano Gómez (pour l’état-civil) a commencé à tâter des claviers à douze ans, en 1996. Depuis, il mixe avec doigté tous les styles et remixe avec maestria de nombreux groupes « sonideros » du Mexique et des Etats-Unis, mais aussi Gotan Project ou Toy Selektah de Sonidero Nacional, produisant même le groupe hip-hop MP3. En filigrane de ses rythmes concassés, l’Argentin grandi dans la périphérie s’est fixé un objectif : unir tous les ghettos du monde dans son ghetto-blaster…
…Rien à voir donc avec une pâle copie des productions made in UK, ni avec un énième épigone de la techno américaine USA. Cette fois, il s’agit d’inventer une bande-son électronique qui va chercher dans la tradition du terroir local. Résultat un télescopage de sons urbains et de musiques folkloriques, propre à bousculer les a priori et à faire transer le dance-floor. Il suffit d’ailleurs d’avoir transpiré, de la tête aux pieds, à un de ses DJ set pour mesurer l’enjeu de « Freestyle de Ritmos », un titre on ne peut plus explicite. C’est ce disque que publiera en septembre 2011 sous nos tropiques Ya Basta ! : du hip-hop au dance-hall, du dubstep à la house, El Hijo y infeste les standards cumbia de breakbeats hallucinés, histoire d’en faire jaillir une créativité tout à la fois sauvage et sophistiquée. En un mot : unique.
Emiliano Gómez (pour l’état-civil) a commencé à tâter des claviers à douze ans, en 1996. Depuis, il mixe avec doigté tous les styles et remixe avec maestria de nombreux groupes « sonideros » du Mexique et des Etats-Unis, mais aussi Gotan Project ou Toy Selektah de Sonidero Nacional, produisant même le groupe hip-hop MP3. En filigrane de ses rythmes concassés, l’Argentin grandi dans la périphérie s’est fixé un objectif : unir tous les ghettos du monde dans son ghetto-blaster…
…Rien à voir donc avec une pâle copie des productions made in UK, ni avec un énième épigone de la techno américaine USA. Cette fois, il s’agit d’inventer une bande-son électronique qui va chercher dans la tradition du terroir local. Résultat un télescopage de sons urbains et de musiques folkloriques, propre à bousculer les a priori et à faire transer le dance-floor. Il suffit d’ailleurs d’avoir transpiré, de la tête aux pieds, à un de ses DJ set pour mesurer l’enjeu de « Freestyle de Ritmos », un titre on ne peut plus explicite. C’est ce disque que publiera en septembre 2011 sous nos tropiques Ya Basta ! : du hip-hop au dance-hall, du dubstep à la house, El Hijo y infeste les standards cumbia de breakbeats hallucinés, histoire d’en faire jaillir une créativité tout à la fois sauvage et sophistiquée. En un mot : unique.
Emiliano Gómez, "El Hijo de la cumbia", est un des producteur les plus en vue de nueva cumbia. Cette fusion de musiques traditionnelles sud-américaines et de dancehall, de hip-hop ou encore de dubstep, enflamme depuis déjà quelques années les dancefloors des capitales d’Amérique du sud où Emiliano se produit régulièrement. Celles-ci lui ont d’ailleurs permis de faire parler de lui dans le monde entier.
C’est en 1996, que celui-ci, alors âgé de seulement 12 ans, découvre le monde de la musique et commence à jouer du clavier dans des groupes de cumbia avec lesquels il parcourra presque toute l’Argentine. Au fil des années, il s’ouvrira à d’autres genres de musique et commencera à travailler un son plus urbain, reflet des ghettos du monde, qu’il rêve d’unir.
Après avoir travaillé plusieurs années à produire et à remixer de nombreux groupes "sonideros" du Mexique et des Etats-Unis, il commence à s’investir de plus en plus dans les scènes reggae et hip-hop argentines.
En 2007, Il produit le groupe hip-hop MP3 entre autres, avec lequel il aura l’honneur de faire, la première partie d’un des artistes préférés de son adolescence, le porto- Ricain Vico-C. Mais on compte aussi parmis ses collaborations, Fidel Nadal (ex Todos Tus Muertos), la chanteuse Alika ou encore le rappeur Mustafa Yoda.
Ce "fils de la cumbia" remix et trifouille dans les tripes des grooves latins pour en extraire la quintessence et revenir aux bases par les basses. Un son qui envahit les clubs d’une vague sonore latine, tropicale tsunamiesque. Aux riffs standards de la cumbia viennent se greffer beats, basses et flow méchamment moderne. Un DJ set aux contours plus hip-hop, dance hall, dub, qui tire parfois du côté de la transe.
Parfait pour découvrir en filigrane des standards cumbia qu’il étire, malaxe, passe par les filtres d’une imagination qui garde les traces de la passion latine.
El Hijo de la Cumbia est à ce genre musical colombien ce que Gotan Project est au tango. Moins connu en France que le groupe helvetico- franco-argentin, mais des qualités équivalentes.
El Hijo de la Cumbias’inscrit dans un mouvement continu de la modernisation de la Cumbia traditionelle. Comme de nombreuses musiques d’Amérique latine, la Cumbia est une musique du métissage : tambours des esclaves africains, flûtes et ocarina des Indiens de la Caraïbe, mélodies importées par les Espagnols.
Plus encore qu’une musique, la cumbia est une danse et une culture avec son folklore, ses costumes et ses fêtes. Elle a été électrisée donnant lieu à des variantes de la cumbia-rock à la technocumbia. Elle a diffusé dans de nombreux pays de l’Amérique hispanophone, au Pérou voisin, au Mexique et même en Argentine.
Emiliano Gomez, ce DJ argentin d’une vingtaine d’années a fondé El Hijo de la Cumbia pour tracer une nouvelle voie qu’il appelle "cumbia new roots", infuencée par la Jamaïque et son dub et bien évidemment par le Hip Hop.
Avec l’arrivée des beaux jours, il est grandement conseiller à ceux qui veulent raviver les dancefloors d’aller voir El Hijo de La Cumbia et d’ecouter son Freestyle de Ritmos, le dernier album en date. Emiliano sera en Europe sur la route dans les festivals cet été.
Il a récemment collaboré pour des remix avec des artistes tels que Toy Selektah de Sonidero Nacional, Sekreto ou encore Gotan Project, avant de repartir sur la production de son deuxième album qui sortira 2eme semestre 2010 sur le label Ya Basta Records et sera distribué dans le monde entier.
Ce fils prodige de la Nueva Cumbia et de l’Urban Beat a été sélectionné par le comité de programmation du BABEL MED MUSIC 2010 pour se produire en concert et pour la première fois accompagné par deux musiciens argentins. Une version Live’Act présentée en avant-première d’une tournée européenne qui s’annonce unique. C’est d’ailleurs à cette occasion que l’artiste c’est vu décerné le prix BABEL - MONDOMIX 2010, qui lui apportera une année de visibilité médiatique sur Mondomix.
En nouvelle formule Live’Act, EL HIJO DE LA CUMBIA continue de créer et d’enrichir ce son nouveau avec son musicien argentin et sa chanteuse cumbia, qui manient maintes instruments tels que accordéon, mélodica, trompette, percussions latines, synthés, voix filtrées, samples ... Bref, un plateau qui regorge d’imagination et d’originalité, à découvrir sur scène.
C’est en 1996, que celui-ci, alors âgé de seulement 12 ans, découvre le monde de la musique et commence à jouer du clavier dans des groupes de cumbia avec lesquels il parcourra presque toute l’Argentine. Au fil des années, il s’ouvrira à d’autres genres de musique et commencera à travailler un son plus urbain, reflet des ghettos du monde, qu’il rêve d’unir.
Après avoir travaillé plusieurs années à produire et à remixer de nombreux groupes "sonideros" du Mexique et des Etats-Unis, il commence à s’investir de plus en plus dans les scènes reggae et hip-hop argentines.
En 2007, Il produit le groupe hip-hop MP3 entre autres, avec lequel il aura l’honneur de faire, la première partie d’un des artistes préférés de son adolescence, le porto- Ricain Vico-C. Mais on compte aussi parmis ses collaborations, Fidel Nadal (ex Todos Tus Muertos), la chanteuse Alika ou encore le rappeur Mustafa Yoda.
Ce "fils de la cumbia" remix et trifouille dans les tripes des grooves latins pour en extraire la quintessence et revenir aux bases par les basses. Un son qui envahit les clubs d’une vague sonore latine, tropicale tsunamiesque. Aux riffs standards de la cumbia viennent se greffer beats, basses et flow méchamment moderne. Un DJ set aux contours plus hip-hop, dance hall, dub, qui tire parfois du côté de la transe.
Parfait pour découvrir en filigrane des standards cumbia qu’il étire, malaxe, passe par les filtres d’une imagination qui garde les traces de la passion latine.
El Hijo de la Cumbia est à ce genre musical colombien ce que Gotan Project est au tango. Moins connu en France que le groupe helvetico- franco-argentin, mais des qualités équivalentes.
El Hijo de la Cumbias’inscrit dans un mouvement continu de la modernisation de la Cumbia traditionelle. Comme de nombreuses musiques d’Amérique latine, la Cumbia est une musique du métissage : tambours des esclaves africains, flûtes et ocarina des Indiens de la Caraïbe, mélodies importées par les Espagnols.
Plus encore qu’une musique, la cumbia est une danse et une culture avec son folklore, ses costumes et ses fêtes. Elle a été électrisée donnant lieu à des variantes de la cumbia-rock à la technocumbia. Elle a diffusé dans de nombreux pays de l’Amérique hispanophone, au Pérou voisin, au Mexique et même en Argentine.
Emiliano Gomez, ce DJ argentin d’une vingtaine d’années a fondé El Hijo de la Cumbia pour tracer une nouvelle voie qu’il appelle "cumbia new roots", infuencée par la Jamaïque et son dub et bien évidemment par le Hip Hop.
Avec l’arrivée des beaux jours, il est grandement conseiller à ceux qui veulent raviver les dancefloors d’aller voir El Hijo de La Cumbia et d’ecouter son Freestyle de Ritmos, le dernier album en date. Emiliano sera en Europe sur la route dans les festivals cet été.
Il a récemment collaboré pour des remix avec des artistes tels que Toy Selektah de Sonidero Nacional, Sekreto ou encore Gotan Project, avant de repartir sur la production de son deuxième album qui sortira 2eme semestre 2010 sur le label Ya Basta Records et sera distribué dans le monde entier.
Ce fils prodige de la Nueva Cumbia et de l’Urban Beat a été sélectionné par le comité de programmation du BABEL MED MUSIC 2010 pour se produire en concert et pour la première fois accompagné par deux musiciens argentins. Une version Live’Act présentée en avant-première d’une tournée européenne qui s’annonce unique. C’est d’ailleurs à cette occasion que l’artiste c’est vu décerné le prix BABEL - MONDOMIX 2010, qui lui apportera une année de visibilité médiatique sur Mondomix.
En nouvelle formule Live’Act, EL HIJO DE LA CUMBIA continue de créer et d’enrichir ce son nouveau avec son musicien argentin et sa chanteuse cumbia, qui manient maintes instruments tels que accordéon, mélodica, trompette, percussions latines, synthés, voix filtrées, samples ... Bref, un plateau qui regorge d’imagination et d’originalité, à découvrir sur scène.