Dona Onete
Banzeiro
Sortie 12 mai 2017
Label : Mais Um Discos
Originaire de Belém, dans le nord-est amazonien du Brésil, Dona Onete a consacré sa vie à la recherche sur les traditions populaires et à leur enseignement. Professeur d’histoire, chercheuse, représentante syndicale, elle avoue n’avoir jamais imaginer devenir chanteuse. D’ailleurs c’est à 73 ans qu’elle enregistre son premier album « Feitiço Caboclo » paru il y a deux ans sur l’intransigeant label Mais Um Discos. Le 12 mai 2017 paraîtra « Banzeiro », son deuxième album, nouvelle odyssée sur les eaux de l’Amazone, nouvelle aventure musicale et sociale.
Originaire de Belém, dans le nord-est amazonien du Brésil, Dona Onete a consacré sa vie à la recherche sur les traditions populaires et à leur enseignement. Professeur d’histoire, chercheuse, représentante syndicale, elle avoue n’avoir jamais imaginer devenir chanteuse. D’ailleurs c’est à 73 ans qu’elle enregistre son premier album « Feitiço Caboclo » paru il y a deux ans sur l’intransigeant label Mais Um Discos. Le 12 mai 2017 paraîtra « Banzeiro », son deuxième album, nouvelle odyssée sur les eaux de l’Amazone, nouvelle aventure musicale et sociale.
Qu’elle défende les droits de gays (Na Linha de Arco Iris), qu’elle chante les délices de certaines propositions indécentes (Proposta Indecente) ou qu’elle encense un ancien amant pour sa folle façon de faire l’amour Quando Eu Te Conheci), Banzeiro incarne à merveille la vision canaille d’Onete et ses réflexions sur la vie, l’amour, le sexe et les multiples petits plaisirs de vivre au quotidien le long de l’Amazone, ses baisers salés et ses eaux odorantes et poissonneuses. D’ailleurs Banzeiro c’est la vague qui se forme dans le sillage du bateau et madame Onete y creuse le sillon de sa propre histoire.
Née en 1938 à Pará, Onete a des origines indiennes par sa mère et africaines par son père. Elle commence à chanter au bord de la rivière dès son plus jeune âge, pour les dauphins dit-elle, mais surtout parce que cela lui était interdit à la maison. Dès 15 ans elle chante dans des bars mais, mariée à 22 ans doit se contraindre d’abandonner cette ambition.
Devenue une ardente chercheuse sur les traditions de l’Amazonie et de ses peuples, cela lui inspira un besoin de composer ses propres chansons, qu’elle utilisera d’ailleurs pour enseigner l’histoire de la région à ses élèves. Elle quitte l’enseignement au début des années 80 pour s’investir aux côtés des travailleurs puis suivant sa retraite en 1990, elle devient ministre régional de la culture entre 1993 et 1996.
Au début des années 2000, son second mari l’ecourage à revenir à ses premières amours musicales et lors d’une soirée entre amis en 2006 alors qu’elle attrape le micro, elle rencontre quelques musiciens ébahis devant les textes sulfureux et coquins de la septuagénaire. « Feitiço Caboclo » sera le fruit de cette rencontre fortuite et sera présenté sur toutes les scènes du Brésil. L’album sera également l’objet de multiples critiques élogieuses à travers l’Europe et les Etats- Unis.
Qu’elle défende les droits de gays (Na Linha de Arco Iris), qu’elle chante les délices de certaines propositions indécentes (Proposta Indecente) ou qu’elle encense un ancien amant pour sa folle façon de faire l’amour Quando Eu Te Conheci), Banzeiro incarne à merveille la vision canaille d’Onete et ses réflexions sur la vie, l’amour, le sexe et les multiples petits plaisirs de vivre au quotidien le long de l’Amazone, ses baisers salés et ses eaux odorantes et poissonneuses. D’ailleurs Banzeiro c’est la vague qui se forme dans le sillage du bateau et madame Onete y creuse le sillon de sa propre histoire.
Née en 1938 à Pará, Onete a des origines indiennes par sa mère et africaines par son père. Elle commence à chanter au bord de la rivière dès son plus jeune âge, pour les dauphins dit-elle, mais surtout parce que cela lui était interdit à la maison. Dès 15 ans elle chante dans des bars mais, mariée à 22 ans doit se contraindre d’abandonner cette ambition.
Devenue une ardente chercheuse sur les traditions de l’Amazonie et de ses peuples, cela lui inspira un besoin de composer ses propres chansons, qu’elle utilisera d’ailleurs pour enseigner l’histoire de la région à ses élèves. Elle quitte l’enseignement au début des années 80 pour s’investir aux côtés des travailleurs puis suivant sa retraite en 1990, elle devient ministre régional de la culture entre 1993 et 1996.
Au début des années 2000, son second mari l’ecourage à revenir à ses premières amours musicales et lors d’une soirée entre amis en 2006 alors qu’elle attrape le micro, elle rencontre quelques musiciens ébahis devant les textes sulfureux et coquins de la septuagénaire. « Feitiço Caboclo » sera le fruit de cette rencontre fortuite et sera présenté sur toutes les scènes du Brésil. L’album sera également l’objet de multiples critiques élogieuses à travers l’Europe et les Etats- Unis.