Djeli Moussa Condé
Djeli
Sortie le 26 Mars 2012
Label : Polychrone
Après avoir collaboré avec Manu Dibango, Salif Keïta, Mory Kanté, Richard Bona, Alpha Blondy, Cesaria Evora, Hank Jones, Cheick Tidiane Seck et avoir enregistré un album en duo avec Janice De Rosa, Djeli Moussa Condé sort son premier album solo !! Griot urbain aux allures de rocker, Djeli Moussa Condé chante, au travers de textes engagés, la paix et l’espoir qu’il a en l’humanité…
Après avoir collaboré avec Manu Dibango, Salif Keïta, Mory Kanté, Richard Bona, Alpha Blondy, Cesaria Evora, Hank Jones, Cheick Tidiane Seck et avoir enregistré un album en duo avec Janice De Rosa, Djeli Moussa Condé sort son premier album solo !! Griot urbain aux allures de rocker, Djeli Moussa Condé chante, au travers de textes engagés, la paix et l’espoir qu’il a en l’humanité...
Né en Guinée-Conakry, issu d’une famille de griots, Djeli Moussa Conde apprend très jeune l’art du chant et de la kora. Pendant quatre ans le Maître Lamine Sissoko lui enseigne la Kora et la culture musicale de son pays. Très doué, Djeli se voit décerner par l’Unesco le diplôme de participation au premier Festival de Kora d’Afrique de l’Ouest à Conakry. Déjà, il commence a exprimer ses talents de compositeur. Il part ensuite a l’aventure, durant plusieurs année, à travers l’Afrique de l’Ouest.
De séjour à Abidjan, il est repéré par Souleyman Koly, et devient de 1989 à 1993, auteur-compositeur de l’ensemble Kotéba d’Abidjan (Souleyman Koly) avec lequel il participe à de prestigieuses tournées internationales. Dans le même temps, il compose quatre morceaux pour « Waramba », premier Opéra mandingue primé au Festival d’Avignon en 1993. Djeli Moussa s’installe en suite à Paris en 1993.
Sans papiers, il est parrainé par Bernadette Lafont et « Musiciens sans frontières » et finit par obtenir son titre de séjour.
"Djeli" va alors collaborer avec des artistes tels que Manu Dibango (wakafrica), Salif Keïta, Richard Bona (Kalaban koro), Mory Kante, Alpha Blondy, Césaria Evora, Hank Jones, Cheick Tidiane seck (Sarala), Sekouba Bambino… Il contribue avec sa kora et sa voix puissante aux albums de chacun et les suivra sur leurs tournées françaises et internationales.
Engagé, Il participe à de nombreux concerts de soutien aux grandes causes humanitaires (Secours Populaire français, Unesco, Musiciens sans frontières...). En 1998, il est sollicité pour le Festival « Voix du Monde » à Rio. En Juillet 2002, Djeli fait la connaissance de Janice DeRosa, diva du blues. Ils enregistrent ensemble l’album "ADUNA", qui sortira en juin 2003. Il enregistre également les « Comptines et berceuses du baobab » avec Paul Mindy.
En 2010, il fait la rencontre de Vincent Lassalle, qui lui propose de réaliser son prochain album. S’en suivra une longue période de composition et de travail qui verra naître l’album éponyme « Djeli », entièrement enregistré a Ménilmontant, son quartier de prédilection.
Enregistré à Paris, en trio, avec Jouni Isoherranen (finlande) à la basse, et Vincent Lassalle (France), aux percussions, sampler et à la réalisation.
Né en Guinée-Conakry, issu d’une famille de griots, Djeli Moussa Conde apprend très jeune l’art du chant et de la kora. Pendant quatre ans le Maître Lamine Sissoko lui enseigne la Kora et la culture musicale de son pays. Très doué, Djeli se voit décerner par l’Unesco le diplôme de participation au premier Festival de Kora d’Afrique de l’Ouest à Conakry. Déjà, il commence a exprimer ses talents de compositeur. Il part ensuite a l’aventure, durant plusieurs année, à travers l’Afrique de l’Ouest.
De séjour à Abidjan, il est repéré par Souleyman Koly, et devient de 1989 à 1993, auteur-compositeur de l’ensemble Kotéba d’Abidjan (Souleyman Koly) avec lequel il participe à de prestigieuses tournées internationales. Dans le même temps, il compose quatre morceaux pour « Waramba », premier Opéra mandingue primé au Festival d’Avignon en 1993. Djeli Moussa s’installe en suite à Paris en 1993.
Sans papiers, il est parrainé par Bernadette Lafont et « Musiciens sans frontières » et finit par obtenir son titre de séjour.
"Djeli" va alors collaborer avec des artistes tels que Manu Dibango (wakafrica), Salif Keïta, Richard Bona (Kalaban koro), Mory Kante, Alpha Blondy, Césaria Evora, Hank Jones, Cheick Tidiane seck (Sarala), Sekouba Bambino… Il contribue avec sa kora et sa voix puissante aux albums de chacun et les suivra sur leurs tournées françaises et internationales.
Engagé, Il participe à de nombreux concerts de soutien aux grandes causes humanitaires (Secours Populaire français, Unesco, Musiciens sans frontières...). En 1998, il est sollicité pour le Festival « Voix du Monde » à Rio. En Juillet 2002, Djeli fait la connaissance de Janice DeRosa, diva du blues. Ils enregistrent ensemble l’album "ADUNA", qui sortira en juin 2003. Il enregistre également les « Comptines et berceuses du baobab » avec Paul Mindy.
En 2010, il fait la rencontre de Vincent Lassalle, qui lui propose de réaliser son prochain album. S’en suivra une longue période de composition et de travail qui verra naître l’album éponyme « Djeli », entièrement enregistré a Ménilmontant, son quartier de prédilection.
Enregistré à Paris, en trio, avec Jouni Isoherranen (finlande) à la basse, et Vincent Lassalle (France), aux percussions, sampler et à la réalisation.