Denis Gancel
Ainsi de Suites
Sortie le 29 mars 2024
Label: Carte Blanche Records
Cinq albums en quartet, à penser, à jouer, à respirer en groupe, Denis Gancel a donc choisi de tenter l’aventure en solo.
Pas un besoin mais une envie. Pas de prendre l’air, mais de prendre des risques. Passer de leader à soliste, c’est désormais affronter seul les portées vierges. Comme se lancer dans le vide avec juste son piano et découvrir jusqu’où pourront le porter les touches quand il prendra l’initiative de s’échapper des partitions noircies.
Pas un besoin mais une envie. Pas de prendre l’air, mais de prendre des risques. Passer de leader à soliste, c’est désormais affronter seul les portées vierges. Comme se lancer dans le vide avec juste son piano et découvrir jusqu’où pourront le porter les touches quand il prendra l’initiative de s’échapper des partitions noircies.
Cinq albums en quartet, à penser, à jouer, à respirer en groupe, Denis Gancel a donc choisi de tenter l’aventure en solo.
Pas un besoin mais une envie. Pas de prendre l’air, mais de prendre des risques. Passer de leader à soliste, c’est désormais affronter seul les portées vierges. Comme se lancer dans le vide avec juste son piano et découvrir jusqu’où pourront le porter les touches quand il prendra l’initiative de s’échapper des partitions noircies.
Des partitions qui n’existaient pourtant que dans son esprit puisque, pour cet album en solo, Denis Gancel n’a pas tout couché sur le papier. « L’improvisation ne s’improvise pas » disait Keith Jarrett, alors thèmes et arrangements, tout a été mémorisé. Non pas joué par cœur, mais avec le cœur.
Les repères du quartet de fait disparus, l’alchimie de groupe s’est évaporée au profit d’une réflexion forcément plus personnelle. L’inspiration est alors venue des rencontres et des souvenirs, lointains ou présents, de ces vignettes laissées ici ou là quelque part dans son esprit. Des boîtes de photos musicales qui, une fois ouvertes, ramènent instantanément les souvenirs qui y sont liés.
Lui qui n’aime rien de plus que d’explorer pour surprendre, d’assembler diverses pièces pour construire une œuvre cohérente, s’est plongé dans la musique qu’il aime pour revisiter le genre de la Suite qui relie depuis toujours classique (de Rameau à Ravel) et Jazz (de Gershwin à Corea) en se parant d’autres couleurs : la chanson française de Juliette Gréco, le jazz, le classique , l’orthodoxie de Bartok, la simplicité d’une comptine, d’une valse ou d’une pop song.
Surtout, des mélodies. Ces quelques notes, parfois pour toujours inoubliables, L’album leur rend hommage en 19 Suites. A leur pouvoir d’imprimer l’imaginaire d’y dessiner un moment, un lieu, une situation tout au long desquels Denis Gancel a déposé des repères. Des repères à destination de ceux qui connaissent déjà sa musique et qui y reconnaîtront ce sceau personnel, dans ses 14 compositions comme dans ses 5 reprises.
Album solo, Ainsi De Suites, n’est pour autant pas un album en solitaire. Le maître des lieux du studio Joel Fajerman, l’ingénieur du son Jean Paul Gibi, Philippe Nadaud, saxophoniste du quartet, et Luis Nicolas Morançon, conseillers artistiques, le Mecca Recording Studio à Saint-Sébastien (Mastering) ont chacun en bon artisan, apporté leur tour de main expert à l’enregistrement. Faisant d’Ainsi De Suites un album qui, jusque dans leurs silences qui suspendent le temps, capte et restitue chaque note avec précision pour en faire une expérience intime autant qu’intimiste.
Pas un besoin mais une envie. Pas de prendre l’air, mais de prendre des risques. Passer de leader à soliste, c’est désormais affronter seul les portées vierges. Comme se lancer dans le vide avec juste son piano et découvrir jusqu’où pourront le porter les touches quand il prendra l’initiative de s’échapper des partitions noircies.
Des partitions qui n’existaient pourtant que dans son esprit puisque, pour cet album en solo, Denis Gancel n’a pas tout couché sur le papier. « L’improvisation ne s’improvise pas » disait Keith Jarrett, alors thèmes et arrangements, tout a été mémorisé. Non pas joué par cœur, mais avec le cœur.
Les repères du quartet de fait disparus, l’alchimie de groupe s’est évaporée au profit d’une réflexion forcément plus personnelle. L’inspiration est alors venue des rencontres et des souvenirs, lointains ou présents, de ces vignettes laissées ici ou là quelque part dans son esprit. Des boîtes de photos musicales qui, une fois ouvertes, ramènent instantanément les souvenirs qui y sont liés.
Lui qui n’aime rien de plus que d’explorer pour surprendre, d’assembler diverses pièces pour construire une œuvre cohérente, s’est plongé dans la musique qu’il aime pour revisiter le genre de la Suite qui relie depuis toujours classique (de Rameau à Ravel) et Jazz (de Gershwin à Corea) en se parant d’autres couleurs : la chanson française de Juliette Gréco, le jazz, le classique , l’orthodoxie de Bartok, la simplicité d’une comptine, d’une valse ou d’une pop song.
Surtout, des mélodies. Ces quelques notes, parfois pour toujours inoubliables, L’album leur rend hommage en 19 Suites. A leur pouvoir d’imprimer l’imaginaire d’y dessiner un moment, un lieu, une situation tout au long desquels Denis Gancel a déposé des repères. Des repères à destination de ceux qui connaissent déjà sa musique et qui y reconnaîtront ce sceau personnel, dans ses 14 compositions comme dans ses 5 reprises.
Album solo, Ainsi De Suites, n’est pour autant pas un album en solitaire. Le maître des lieux du studio Joel Fajerman, l’ingénieur du son Jean Paul Gibi, Philippe Nadaud, saxophoniste du quartet, et Luis Nicolas Morançon, conseillers artistiques, le Mecca Recording Studio à Saint-Sébastien (Mastering) ont chacun en bon artisan, apporté leur tour de main expert à l’enregistrement. Faisant d’Ainsi De Suites un album qui, jusque dans leurs silences qui suspendent le temps, capte et restitue chaque note avec précision pour en faire une expérience intime autant qu’intimiste.
