David Walters
Soul Tropical
Sortie le 3 mars 2023
Label: Heavenly Sweetness
Soul Tropical, en deux mots qui font titre, David Walters pose les lignes de force de son nouvel album. Soul Tropical, cette âme tropicale qui sait célébrer en musique les grands moments de la vie, le connecte à nouveau à son histoire, à sa famille originaire des Antilles, au moment où sa mère est partie rejoindre d’autres mondes. Cette âme caribéenne qui a su le soulager, il en est aujourd’hui plus que jamais le dépositaire.
Soul Tropical, en deux mots qui font titre, David Walters pose les lignes de force de son nouvel album. Soul Tropical, cette âme tropicale qui sait célébrer en musique les grands moments de la vie, le connecte à nouveau à son histoire, à sa famille originaire des Antilles, au moment où sa mère est partie rejoindre d’autres mondes. Cette âme caribéenne qui a su le soulager, il en est aujourd’hui plus que jamais le dépositaire.
Depuis Awa, son premier opus, David n’a eu de cesse de chanter ce chapelet d’îles jetées entre les Amériques, tout en affirmant son chemin à quelques milliers de kilomètres de là. « Awa veut dire non en créole » expliquait-il à l’époque avec un large sourire. « Un non aux comportements ou opportunités qui ne te conviennent pas, un non positif en quelque sorte qui peut laisser émerger ce qui est bon ». Plus d’une quinzaine d’années après, David n’a pas changé. Ce sourire illumine toujours son visage. Partie visible de cette profonde quête d’harmonie, il est son guide, telle une étoile polaire accrochée au plafond de ses pensées et résolutions. David va de l’avant avec joie et détermination et cela s’entend sur ses 13 nouveaux titres.
Family Affair
Cette âme tropicale est une family affair, de celles qu’ont chanté les grands noms de la soul ou du funk à commencer par Sly Stone. Une affaire de famille qui le connecte à jamais aux siens, à ses disparus qui reposent aux Antilles et à son fils qui grandit ici en métropole. Elle le relie aussi à ceux, artistes et label qui font famille désormais autour de lui et dont il se sent proche. Une affaire de famille qui se moque de la nostalgie car David carbure au présent, à l’instant comme en témoigne cet album taillé pour le dancefloor, gorgé de rythmes caribéens, de funk et autres grooves actuels des mégapoles occidentales. Un album qui libère de la joie.
Des étoiles et des astres alignés de Sheffield à Los Angeles.
Pour son Bow Down, son E.P. paru en septembre dernier, David était parti sur les conseils de Guts, à Sheffield travailler avec le producteur britannique Tom Excell. « Guts et moi sommes très proches humainement et artistiquement. Qu’il me propose de m’accompagner sur mon nouveau projet, d’être mon troisième œil, m’a porté » explique-t-il, « honoré de cette pluie d’étoiles qu’il a jeté sur mon album en devenir. ». Après la sortie du E.P., de retour à Marseille, David a passé au crible toutes les structures avancées avec le producteur britannique. Il les a re-découpées une à une à l’exception du feat’ du Ghanéen de Sheffield K.O.G. qu’il a n’a pas retouché. A Paris, il a convié pour de nouveaux enregistrements le percussionniste guadeloupéen Roger Raspail, le violoncelliste tout terrain Vincent Segal et le joueur de kora Ballaké Sissoko - ces trois collègues dans l’aventure Nocturne - mais aussi la légende du piano antillais Mario Canonge et (remplacer par le nombre) choristes caribéennes (leurs noms peut-être). « Ma rencontre avec Captain Planet lors d’un concert de Guts a fait le reste » explique David Walters qui a fini par s’envoler pour Los Angeles où le producteur américain a son studio. « Un rêve de gosse » se souvient-il les yeux écarquillés comme si toutes les étoiles jetées par Guts sur son projet, étaient venues se mettre en orbite autour de ses pupilles. « Je ne peux que remercier Franck Descollonges, le boss d’Heavenly Sweetness, de m’avoir donné les moyens de cette aventure marquée par les empreintes fortes de ces villes cosmopolites » ajoute David qui sait la force du travail en équipe : « C’est ainsi qu’ont été créé les plus grands succès de La Motown ou Stax » précise celui qui aime cette énergie et loue les rencontres qui font du bien. « Il y a eu de la magie et une saine émulation comme à la grande époque de la soul ! ».
Un album pour demain
C’est dans cet esprit qu’ont avancé David, Captain Planet et de plus loin, mais toujours attentifs, Guts et Franck. « Soul Tropical n’est pas un album hommage aux grandes heures de la créolité, mais plutôt le reflet de mes ouvertures, des origines afro-caribéennes des musiques de ces îles aux grooves qui résonnent dans les clubs à la mode à travers le monde » à en croire les propres mots de son créateur. Un esprit caribéen bien sûr parce qu’on ne convie pas en studio le martiniquais Mario Canonge, le guadeloupéen Roger Raspail, le trinidadien Anthony Joseph, la rappeuse cubaine La Reyna et la brésilienne de Paris Flavia Cœlho par hasard. David sait la force de cette âme caribéenne, de cette fraternité qui les lie les uns aux autres. Il sait aussi que « cette âme tropicale est un cœur battant qui vibre aux rythmes et mélodies de l’Afrique, un cœur prodigue ouvert sur le monde » confie-t-il avant de glisser un ultime détail au sujet de sa collaboration avec Captain Planet : « C’est le seul producteur que je connais qui travaille debout, dix heures par jour. ». Un détail pour nous, mais pour David, ça veut dire beaucoup, ça veut dire que cet album conçu dans et pour la danse, nous rend intrinsèquement joyeux, même si parfois la vie teint nos émotions en gris.
Depuis Awa, son premier opus, David n’a eu de cesse de chanter ce chapelet d’îles jetées entre les Amériques, tout en affirmant son chemin à quelques milliers de kilomètres de là. « Awa veut dire non en créole » expliquait-il à l’époque avec un large sourire. « Un non aux comportements ou opportunités qui ne te conviennent pas, un non positif en quelque sorte qui peut laisser émerger ce qui est bon ». Plus d’une quinzaine d’années après, David n’a pas changé. Ce sourire illumine toujours son visage. Partie visible de cette profonde quête d’harmonie, il est son guide, telle une étoile polaire accrochée au plafond de ses pensées et résolutions. David va de l’avant avec joie et détermination et cela s’entend sur ses 13 nouveaux titres.
Family Affair
Cette âme tropicale est une family affair, de celles qu’ont chanté les grands noms de la soul ou du funk à commencer par Sly Stone. Une affaire de famille qui le connecte à jamais aux siens, à ses disparus qui reposent aux Antilles et à son fils qui grandit ici en métropole. Elle le relie aussi à ceux, artistes et label qui font famille désormais autour de lui et dont il se sent proche. Une affaire de famille qui se moque de la nostalgie car David carbure au présent, à l’instant comme en témoigne cet album taillé pour le dancefloor, gorgé de rythmes caribéens, de funk et autres grooves actuels des mégapoles occidentales. Un album qui libère de la joie.
Des étoiles et des astres alignés de Sheffield à Los Angeles.
Pour son Bow Down, son E.P. paru en septembre dernier, David était parti sur les conseils de Guts, à Sheffield travailler avec le producteur britannique Tom Excell. « Guts et moi sommes très proches humainement et artistiquement. Qu’il me propose de m’accompagner sur mon nouveau projet, d’être mon troisième œil, m’a porté » explique-t-il, « honoré de cette pluie d’étoiles qu’il a jeté sur mon album en devenir. ». Après la sortie du E.P., de retour à Marseille, David a passé au crible toutes les structures avancées avec le producteur britannique. Il les a re-découpées une à une à l’exception du feat’ du Ghanéen de Sheffield K.O.G. qu’il a n’a pas retouché. A Paris, il a convié pour de nouveaux enregistrements le percussionniste guadeloupéen Roger Raspail, le violoncelliste tout terrain Vincent Segal et le joueur de kora Ballaké Sissoko - ces trois collègues dans l’aventure Nocturne - mais aussi la légende du piano antillais Mario Canonge et (remplacer par le nombre) choristes caribéennes (leurs noms peut-être). « Ma rencontre avec Captain Planet lors d’un concert de Guts a fait le reste » explique David Walters qui a fini par s’envoler pour Los Angeles où le producteur américain a son studio. « Un rêve de gosse » se souvient-il les yeux écarquillés comme si toutes les étoiles jetées par Guts sur son projet, étaient venues se mettre en orbite autour de ses pupilles. « Je ne peux que remercier Franck Descollonges, le boss d’Heavenly Sweetness, de m’avoir donné les moyens de cette aventure marquée par les empreintes fortes de ces villes cosmopolites » ajoute David qui sait la force du travail en équipe : « C’est ainsi qu’ont été créé les plus grands succès de La Motown ou Stax » précise celui qui aime cette énergie et loue les rencontres qui font du bien. « Il y a eu de la magie et une saine émulation comme à la grande époque de la soul ! ».
Un album pour demain
C’est dans cet esprit qu’ont avancé David, Captain Planet et de plus loin, mais toujours attentifs, Guts et Franck. « Soul Tropical n’est pas un album hommage aux grandes heures de la créolité, mais plutôt le reflet de mes ouvertures, des origines afro-caribéennes des musiques de ces îles aux grooves qui résonnent dans les clubs à la mode à travers le monde » à en croire les propres mots de son créateur. Un esprit caribéen bien sûr parce qu’on ne convie pas en studio le martiniquais Mario Canonge, le guadeloupéen Roger Raspail, le trinidadien Anthony Joseph, la rappeuse cubaine La Reyna et la brésilienne de Paris Flavia Cœlho par hasard. David sait la force de cette âme caribéenne, de cette fraternité qui les lie les uns aux autres. Il sait aussi que « cette âme tropicale est un cœur battant qui vibre aux rythmes et mélodies de l’Afrique, un cœur prodigue ouvert sur le monde » confie-t-il avant de glisser un ultime détail au sujet de sa collaboration avec Captain Planet : « C’est le seul producteur que je connais qui travaille debout, dix heures par jour. ». Un détail pour nous, mais pour David, ça veut dire beaucoup, ça veut dire que cet album conçu dans et pour la danse, nous rend intrinsèquement joyeux, même si parfois la vie teint nos émotions en gris.