Blundetto

Good Good Things
Sortie le 18 juin 2020
Label: Heavenly Sweetness

Son pseudo hérité des Soprano avait-il fini par lui attirer des ennuis ? Son passé musical l’avait-il rattrapé ? Cette proposition reçue par Blundetto avait pourtant des airs, au mieux d’un canular, au pire d’un guet-apens. En fait, ni l’un ni l’autre. Juste un deal musical tout ce qu’il y a de plus sérieux… Car, à La Creme Garcia Club, cercle privé de fumeurs avertis Barcelonais, Blundetto était en rotation lourde dans les playlists. Si lourde que ces gens de décidément bon goût à l’activité légale de ce côté des Pyrénées mais interdite de bénéfices, eurent l’idée de devenir les partenaires privilégiés d’un nouvel album. Sans droit de regard, sans intervention dans l’artistique, mais avec un seul mot d’ordre : que Blundetto reviennent à ses premières amoures de sono mondiale.

Son pseudo hérité des Soprano avait-il fini par lui attirer des ennuis ? Son passé musical l’avait-il rattrapé ? Cette proposition reçue par Blundetto avait pourtant des airs, au mieux d’un canular, au pire d’un guet-apens.


 

En fait, ni l’un ni l’autre. Juste un deal musical tout ce qu’il y a de plus sérieux…


 

Car, à La Creme Garcia Club, cercle privé de fumeurs avertis Barcelonais, Blundetto était en rotation lourde dans les playlists. Si lourde que ces gens de décidément bon goût à l’activité légale de ce côté des Pyrénées mais interdite de bénéfices, eurent l’idée de devenir les partenaires privilégiés d’un nouvel album. Sans droit de regard, sans intervention dans l’artistique, mais avec un seul mot d’ordre : que Blundetto reviennent à ses premières amoures de sono mondiale.


 

Que le résultat soit un voyage en stéréo illustré par l’artwork de Mossy Giant, un trip à travers le monde sans quitter son canapé.


 

Une proposition qu’on ne peut pas refuser...


 

Dix ans étaient passés depuis Bad Bad Things, c’était là l’occasion de fêter cette décennie en réanimant son état d’esprit. Celui qui brasse les collaborations, les ambiances et les styles. Exilé au vert, en autarcie musicale depuis plusieurs albums, Blundetto s’est donc remis au rythme de la vie citadine et des studios. A bouleversé son mode de fonctionnement, ouvert son répertoire et invité proches et amis sur ces nouveaux titres qu’il avait pensés pour eux.


 

Le cercle des intimes déjà présents sur Bad Bad Things (Blundetto, Hindi Zahra, General Electric, Chico Mann) s’est élargi aux complices réguliers (Biga Ranx) pour s’étendre vers des artistes avec lesquels Blundetto se sentait en évidente connexion (Crime Apple, Leonardo Marques). Guidés par cette feuille de route écrite par Blundetto, tous se sont succédés pour poser leurs couleurs et diffuser leur âme musicale le temps de quelques minutes. Emprunter la direction du Brésil, de l’Afrique ou de l’Amérique Latine, s’étourdir dans les fumées Jamaïcaines, s’ébrécher sur les angles saillants du hip hop.


 

S'engouffrer dans les nouveaux accès ouverts par les arrangements de Clément Petit, désormais plus sophistiqués que ceux sur lesquels Blundetto à l’habitude d’évoluer, de ceux capables d’apporter une dimension orchestrale faites de cordes et de cuivres. Ouverture directe sur les émotions, générateur spontané d’images pour accompagner la bande son par le sceau de producteur de Blackjoy.


 

Quelque soit l’orientation, chacun des invités devient une pièce à la fois unique et essentielle d’un ensemble dont Blundetto reste le fil rouge. A la fois le ciment et le vernis final d’une mosaïque musicale nommée Good Good Things.