Vinicio Capossela
Marinai, Profeti e Balene
Sortie le 3 Avril 2012
Label : Ponderosa
Songwriter visionnaire et excentrique, Vinicio Capossela nous propose Marinai, Profeti e Balene, son treizième album. Il serait temps que la France rende hommage à un artiste adulé, quasi culte dans son pays, considéré à juste titre comme LA PLUS GRANDE ROCK STAR D’ITALIE.
Songwriter visionnaire et excentrique, Vinicio Capossela nous propose Marinai, Profeti e Balene, son treizième album. Il serait temps que la France rende hommage à un artiste adulé, quasi culte dans son pays, considéré à juste titre comme LA PLUS GRANDE ROCK STAR D’ITALIE ou encore LE TOM WAITS ITALIEN.
Né en 1965, Vinicio est un artiste aussi insaisissable que prolifique. Très inspiré par la littérature américaine, de John Fante à la beat generation (Kerouac, Bukowski), par le swing incandescent de Luis Prima ou encore par les exubérances de Renato Carosone en Italie, il compose pour le théâtre, publie des livres et bien sur nous enchante à chacun de ses albums.
En vingt ans de carrière, Vinicio Capossela a croisé la route des plus grands (Joan Baez, Jimmy Scott), a collaboré avec les artistes les plus avant-gardistes (Evan Lurie des Lounge Lizards), joué dans les plus grands festivals (SXSW à Austin avec Calexico) et les théâtres les plus prestigieux dans le monde entier.
En 2010 le prestigieux label Nonesuch (John Cage, Ry Cooder, Caetano Veloso,…) lui a même consacré une anthologie « The Story Faced Man » explosif condensé de son savoir faire.
On découvre un artiste unique, au langage musical très imagé, dont les spectacles sont inévitablement très théâtraux, formidablement construits autour de thèmes toujours bien précis. Pour Marinai, Profeti e Balene, Vinicio s’est inspiré de la littérature classique et contemporaine qui évoque les grandes légendes de la mer. De l’Odyssée d’Homère aux Romans d’Herman Melville, toujours en recherche d’inspirations, il y propose des chansons dans lesquelles on croise créatures mythologiques, personnages extraordinaires, animaux farfelus… Un univers bien évidemment à découvrir lors de ses concerts, véritables performances dans lesquelles il embarque son auditoire à bord d’un navire brinquebalant mais tellement poétique. Vinicio dédicace d’ailleurs son album à Joseph Conrad qui dans son roman Nostromo cite Shakespeare : « Un ciel si ténébreux ne s’éclaircit pas sans une tempête ». Que vogue la galère !
Né en 1965, Vinicio est un artiste aussi insaisissable que prolifique. Très inspiré par la littérature américaine, de John Fante à la beat generation (Kerouac, Bukowski), par le swing incandescent de Luis Prima ou encore par les exubérances de Renato Carosone en Italie, il compose pour le théâtre, publie des livres et bien sur nous enchante à chacun de ses albums.
En vingt ans de carrière, Vinicio Capossela a croisé la route des plus grands (Joan Baez, Jimmy Scott), a collaboré avec les artistes les plus avant-gardistes (Evan Lurie des Lounge Lizards), joué dans les plus grands festivals (SXSW à Austin avec Calexico) et les théâtres les plus prestigieux dans le monde entier.
En 2010 le prestigieux label Nonesuch (John Cage, Ry Cooder, Caetano Veloso,…) lui a même consacré une anthologie « The Story Faced Man » explosif condensé de son savoir faire.
On découvre un artiste unique, au langage musical très imagé, dont les spectacles sont inévitablement très théâtraux, formidablement construits autour de thèmes toujours bien précis. Pour Marinai, Profeti e Balene, Vinicio s’est inspiré de la littérature classique et contemporaine qui évoque les grandes légendes de la mer. De l’Odyssée d’Homère aux Romans d’Herman Melville, toujours en recherche d’inspirations, il y propose des chansons dans lesquelles on croise créatures mythologiques, personnages extraordinaires, animaux farfelus… Un univers bien évidemment à découvrir lors de ses concerts, véritables performances dans lesquelles il embarque son auditoire à bord d’un navire brinquebalant mais tellement poétique. Vinicio dédicace d’ailleurs son album à Joseph Conrad qui dans son roman Nostromo cite Shakespeare : « Un ciel si ténébreux ne s’éclaircit pas sans une tempête ». Que vogue la galère !