Kobo Town
Jumbie In The Jukebox
Sortie 22 Mai 2013
Label : Cumbancha
Fondé par le trinidado/canadien Drew Gonsalves, Kobo Town, tire son nom d’un quartier historique de Port Of Spain, capitale de Trinidad, qui selon la légende est le berceau du Calypso. Style musical proche du Mento jamaicain, le Calypso est comme un miroir de la société trinidadienne. C’est certes une musique de fête, véritable bande son du Carnaval de Trinidad mais c’est également une satire sociale, éloge du double sens, dans laquelle tous les thèmes sont abordés sans censure. L’esclavage, les rapports entre les classes sociales, les sexes, mais aussi les petits problèmes du quotidien.
Fondé par le trinidado/canadien Drew Gonsalves, Kobo Town, tire son nom d’un quartier historique de Port Of Spain, capitale de Trinidad, qui selon la légende est le berceau du Calypso. Style musical proche du Mento jamaicain, le Calypso est comme un miroir de la société trinidadienne. C’est certes une musique de fête, véritable bande son du Carnaval de Trinidad mais c’est également une satire sociale, éloge du double sens, dans laquelle tous les thèmes sont abordés sans censure. L’esclavage, les rapports entre les classes sociales, les sexes, mais aussi les petits problèmes du quotidien.
Véritable étendard de Trinidad, nous connaissons essentiellement le Calypso à travers quelques standards de Harry Belafonte ou encore Robert Mitchum. C’est pourtant une musique en mouvement. En perpétuel besoin d’évolution, le calypso est inscrit dans l’ADN de chaque Trinidadien, ceux de l’intérieur et ceux de l’extérieur.
Drew Gonsalves grandit dans la classe moyenne du quartier de Diego Martin à la périphérie de Port of Spain, élevé par une mère québécoise et un père trinidadien. Comme les jeunes de son âge, submergé de rythmes caraïbes, il préfère le rock. Mais ces sons partout présents, dans les cafés, les ruelles, les places ne s’oublient pas si facilement. Il a treize ans quand sa mère décide de retourner vivre au Canada à Ottawa. Drew est du voyage, l’acclimatation ne va pas être facile. Une nostalgie profonde va le conduire à se plonger dans l’histoire de son pays, sa culture, sa musique. Il retournera pour la première fois à Trinidad à dix-huit ans, pour rendre visite à son père. Ce dernier l’emmène dans les salles où se joue, se chante et se partage cette musique, il est subjugué. Lors de chacun de ses voyages, il écume ces endroits, écoute, apprend et s’imprègne de cette culture.
A Toronto en 2004 il monte une troupe d’expatriés de Trinidad, Kobo Town est né. En 2007, leur premier album « Independance » reçoit un accueil enthousiaste au Canada.
Le groupe attire l’oreille avisée de Jacob Edgar, directeur artistique de Putumayo et créateur du label Cumbancha. Ce dernier présente Drew au producteur Ivan Duran de Belize (qui a produit Andy Palacio). Ces deux là partagent la même vision, faire revivre ces musiques traditionnelles des Caraibes en leur apportant de nouvelles idées créatives. Le resultat de cette collaboration de 4 années se trouve dans « Jumbie in the Jukebox ».
Véritable étendard de Trinidad, nous connaissons essentiellement le Calypso à travers quelques standards de Harry Belafonte ou encore Robert Mitchum. C’est pourtant une musique en mouvement. En perpétuel besoin d’évolution, le calypso est inscrit dans l’ADN de chaque Trinidadien, ceux de l’intérieur et ceux de l’extérieur.
Drew Gonsalves grandit dans la classe moyenne du quartier de Diego Martin à la périphérie de Port of Spain, élevé par une mère québécoise et un père trinidadien. Comme les jeunes de son âge, submergé de rythmes caraïbes, il préfère le rock. Mais ces sons partout présents, dans les cafés, les ruelles, les places ne s’oublient pas si facilement. Il a treize ans quand sa mère décide de retourner vivre au Canada à Ottawa. Drew est du voyage, l’acclimatation ne va pas être facile. Une nostalgie profonde va le conduire à se plonger dans l’histoire de son pays, sa culture, sa musique. Il retournera pour la première fois à Trinidad à dix-huit ans, pour rendre visite à son père. Ce dernier l’emmène dans les salles où se joue, se chante et se partage cette musique, il est subjugué. Lors de chacun de ses voyages, il écume ces endroits, écoute, apprend et s’imprègne de cette culture.
A Toronto en 2004 il monte une troupe d’expatriés de Trinidad, Kobo Town est né. En 2007, leur premier album « Independance » reçoit un accueil enthousiaste au Canada.
Le groupe attire l’oreille avisée de Jacob Edgar, directeur artistique de Putumayo et créateur du label Cumbancha. Ce dernier présente Drew au producteur Ivan Duran de Belize (qui a produit Andy Palacio). Ces deux là partagent la même vision, faire revivre ces musiques traditionnelles des Caraibes en leur apportant de nouvelles idées créatives. Le resultat de cette collaboration de 4 années se trouve dans « Jumbie in the Jukebox ».