Amparo Sanchez
Alma de Cantaora
Sortie le 14 Janvier 2013
Label : Kasba Music
Leader pendant dix ans du groupe de rock alternatif Amparanoïa, Amparo Sanchez entamait il y a deux ans une carrière solo. Enregistré entre l’Arizona et Cuba, son premier album Tucson-Habana a reçu un accueil dithyrambique de la part du public et des critiques. Aujourd’hui, elle signe son retour avec Alma de Cantaora (littéralement « l’âme d’une chanteuse ») un nouvel album inspiré dans lequel elle joue davantage sur la corde sensible et l’émotion pure.
Depuis 2010 et la sortie de Tucson-Habana, Amparo Sanchez se produit à travers l’Europe entière, accompagnée de ses six musiciens. Lorsqu’elle s’accorde une pause, elle se ressource auprès de sa famille. Au cœur des montagnes catalanes, l’inspiration jaillit et les premières lignes de son nouvel album sont vite apparues. « Pour moi, les morceaux de Alma de Cantaora ont été créés de manière naturelle. C’était vraiment quelque chose de simple et instinctif » explique-t-elle. La majorité des enregistrements ont eu lieu début 2012, chez elle, dans son propre studio ainsi qu’au Kasba Studio de Barcelone. A ses côtés, on retrouve Gerald « Chalart58 » Casajús, connu pour son travail de percussionniste avec Radio Bemba (groupe de Manu Chao). Durant l’été 2012, plusieurs morceaux sont enregistrés et terminés dans le Pays basque espagnol, avec Kaki Arcarazo (ancien membre de Negu Gorriak et de Kortatu), musicien et producteur avec qui elle avait déjà travaillé à l’époque d’Amparanoïa.
Un album aux nombreuses collaborations. Les paroles de la chanson éponyme sont signées Abuela Margarita, chamane mexicaine qui voyage de temps à autre à Barcelone pour conter ses rêves et ses histoires.
La Flor de la Palabra, duo avec la rappeuse espagnole Arianna « Ari » Puello marque une fois de plus son engagement et son enracinement social, tout comme Fuera Fiera, enregistré avec la chanteuse espagnole Bebe. C’est avec le talentueux compositeur cubain Mane Ferret qu’elle échange sur Pulpa de Tamarindo et Vieja Pasion, deux magnifiques boléros. De jeunes artistes espagnols sont également du voyage : Muerdo, auteur-compositeur de Murcie, et le collectif déjanté Bongo Botrako. Quant au titre Muchacho, c’est au Wavelab Studios de Tucson en Arizona qu’il a été enregistré, avec Joey Burns, John Convertino et Jairo Zavala du groupe Calexico. Durant ce même voyage, elle enregistre Free Day avec Howe Gelb, ex-Giant Sand.
« Je ne peux pas chanter ce que je ne ressens pas » explique Amparo. Cette phrase, inspirée par Billie Holiday, donne tout son sens à cet album, authentique, sincère et profond. Elle défendra Alma de Cantaora avec ferveur sur les scènes européennes début 2013.
Un album aux nombreuses collaborations. Les paroles de la chanson éponyme sont signées Abuela Margarita, chamane mexicaine qui voyage de temps à autre à Barcelone pour conter ses rêves et ses histoires.
La Flor de la Palabra, duo avec la rappeuse espagnole Arianna « Ari » Puello marque une fois de plus son engagement et son enracinement social, tout comme Fuera Fiera, enregistré avec la chanteuse espagnole Bebe. C’est avec le talentueux compositeur cubain Mane Ferret qu’elle échange sur Pulpa de Tamarindo et Vieja Pasion, deux magnifiques boléros. De jeunes artistes espagnols sont également du voyage : Muerdo, auteur-compositeur de Murcie, et le collectif déjanté Bongo Botrako. Quant au titre Muchacho, c’est au Wavelab Studios de Tucson en Arizona qu’il a été enregistré, avec Joey Burns, John Convertino et Jairo Zavala du groupe Calexico. Durant ce même voyage, elle enregistre Free Day avec Howe Gelb, ex-Giant Sand.
« Je ne peux pas chanter ce que je ne ressens pas » explique Amparo. Cette phrase, inspirée par Billie Holiday, donne tout son sens à cet album, authentique, sincère et profond. Elle défendra Alma de Cantaora avec ferveur sur les scènes européennes début 2013.